L’Ère Post Pinochet de Trump Veut Imposer Guaidó-l’Idiot à Caracas : shame on him !

DIPLOMATIE INTERNATIONALE & SOCIÉTÉ par Dan Albertini

  • L’Ère Post Pinochet de Trump Veut Imposer Guaidól’Idiot à Caracas : shame on him !

Entre () on nous accuse de sauvages d’avoir assassiné Dessalines en 1806. Ce on américain a assassiné Kennedy à Dallas […] israélien a assassiné Rabin à domicile […] allemand n’a pas assassiné Hitler. Achtum, notre faute est peut-être d’avoir par Duvalier aimé Georges de Mohrenschildt pour quelques 200’ de pipe morts sous terre. Curieux quand la nouvelle filière ukrainienne remonte par Manafort dans le rapport Mueller/Cohen. Fermons (). 

Il y a un illogisme dans la lâcheté de Guaidó au Parlement, dans sa folie furieuse présidentielle pour trahir Caracas comme l’a fait Pinochet dans le temps à Santiago par le syndrome Allende forgé dans les officines connues. En trahissant ainsi le Vénézuélien, Guaidó a commencé par trahir le Parlement en bafouant les règles du navire qu’il abandonne du même coup. Le tempo se mesure à la manière de Pinochet, sans le syndrome forgé du transport. Quelle loi pourrait-il suggérer au pays quand il lui impose un coup d’état étranger, un naufrage parlementaire dans l’arbitraire, un rejet des principes de justice qui le protégeaient auparavant. Il est malgré tout libre quand lui veut exiler, emprisonner, tuer. Il faut croire que Le Caire et Ankara lui seraient tristement utilitaires comme ceux qui s’y sont tentés soit d’une part, soit d’autre part. Question utilitaire : Guaidó-l’Idiot en envoyant sa femme à celui qui a la réputation de se les faire dans les injures, dixit ‹‹me too››, a-t-il conclu un pacte avec le D…, en payant deux fois ? Pour une foto ‹‹apprentice››, mais dont le fond dévoilera un peu plus tard : ‹‹je ne peux pas changer›› ? Si on dit non sans raison que l’histoire est un perpétuel recommencement, seul le scélérat peut mettre son pays dans un tel état, pour ensuite décolérer en Anastasio. Somoza ! 

Prit personnellement, je crois, Maduro dans l’erreur de jugement sans recours avec le Russe Vladimir Poutine qui ne respecte pas sa maison. Mais, les US victime d’une main mafieuse Capone voulant puiser la vache et le lait quand à New York même, la veuve et l’orphelin ne sont pas nourris, mais le nouvel ‘Onassis’ plus riche que Crésus, par la corruption politique, jugule en famille. D’ailleurs, tel le cas-Snowden, qui de ces agences privées, de ce contractuel forcent la loi, telle qu’on le voit dans les efforts du Congrès, dans l’affaire Trump-en-cours, pour tirer le vrai du faux. Toute la bande à épices pénalisée, mais le boss libre et innocent ?

Maduro n’a d’autres choix que : soit faire arrêter Guaidó, soit le faire accuser et que l’armée le remette à la justice parce que Guaidó a déclaré la guerre au pays, soit traiter politiquement, l’invitant à dialoguer comme l’enfant du pays bolivarien, et inviter Pékin comme modérateur.

Les autres avenues sont la catastrophe comme celle du Nicaragua et tout le monde le sait.

Conscience républicaine. Pourquoi Haïti a-t-elle trahi si ce n’est pas jòv Moïse dans son absurdité et Brochitt dans son incompétence ? Haïti n’a pas trahi, mais Maduro avait corroboré la version des voleurs de Petrocaribe approuvant leur gestion criminelle des fonds, aux dépens du peuple affamé par la misère que lui font les voleurs éternels. Le crachat lui retombe sur le nez avec jòv. En outre, jòv est resté conséquent avec lui-même : traitre dans son pays traitre partout. Est-il d’ailleurs autre ego que le vil menteur l’accusé perfide que la rue la rue, la clameur publique (constitutionnelle) dénoncent, en Haïti, c’est d’une ambigüité qui apostrophe autrement : est-il d’après la déclaration de son frère Gabriel Moïse invité de Luko Désir (record à l’appui), le déclarant incestueux avec la femme de son premier lit, dont un fils, Joverlein, Ottawa devrait mieux s’en saisir du cas présumé de Mme Marcellus, potentielle même incestueuse sur son territoire qui l’aurait caché à l’immigration, si Gabriel Moïse, le frère du président dit vrai, plutôt que d‘appuyer imprudemment, Guaidó-l’Idiot, là où Justin Trudeau patauge dans l’erreur et le mensonge de mauvais prince en déchéance.

Le temps est à guerre partout, guerre des nerfs pour le moindre, mais, Pékin est au commerce.