Éditorial – Grande hypocrisie diplomatique canadienne contre les Premières Nations

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  • COP15 MONTRÉAL
  • Grande hypocrisie diplomatique canadienne contre les Premières Nations

C’est la gargote royale d’un nouveau roi quand les chefs des Premières Nations sont dépouillés depuis les temps des colonies anciennes. Le gouvernement doit s’avouer menteur de promesses quand les fausses promesses de justice à l’égard des victimes d’orphelinats chrétiens, et leurs descendants sont encore dépouillés de leurs biens, de leur nature ? Au nom d’une loi d’envahisseurs déshumanisants. Parlera-t-on alors de grandes écoles en France, d’académie royale en Angleterre pour borner la société dite démocratique. Mais, en limitant les ayants droit inscrits aux grandes écoles qui gardent royalement les secrets de l’édifice politique de l’élite. Les petites écoles pour ignorer.

La relation comme les RI directes sont intimement liées à l’environnement que l’on tente de rattacher avec la qualité de vie quand Justin Trudeau fait semblant de lutter pour la rainette faux-grillon (grenouille) sur la Rive-Sud, Mtl. Entre-temps, l’habitacle des Premières Nations a été plus que mutilé, mais détruit au profit de personnes qui n’habitent même le terroir, d’une couronne réfractaire en matière de droits humains et de racisme. Le simple mariage familial en a fait découvrir les dessous des écuries de… et du bastringue. Guterres aveugle ou borgne de l’œil gauche ne voit que ce qui lui plaît, et non ce qui répond au statut des (193) Nations mandataires hélas!

Gorée au Sénégal, là où se trouve la porte du non-retour est la preuve du coupable responsable qui siège en donneur de leçons quand il accueille les autres Nations en accusant leur pseudo retard par rapport à ses lumières. Elle est bien assise au Palais des Congrès avec la complicité de la diplomatie canadienne qui ne souffle mot. Peut-on reconnaître les portes de Jérusalem si éloignées dans l’histoire pour les honorer, les adorer, quand on ignore les trous de cachots où l’on a mis des «récalcitrants» pour y avoir résisté au rapt ? Guterres du Portugal mis à l’ONU doit mieux s’en mêler si l’environnement est un souci social, où sont les victimes africaines de Gorée, ici ?

Des milliards de kilomètres d’asphalte, de béton qui empêchent l’absorption naturelle de l’eau dans la terre pour plaire à des constructeurs dont les employés sont orientés vers les parlements pour gérer les relations frauduleuses en les transformant en loi imposée.

La mémoire du déchet toxique, contaminé exporté dans des paradis locaux outremers quand les RI en ont fait une spécialité pour experts.

Jardin botanique, insectarium… camoufler l’échec de décennies de politiciens de plus en plus avares, pour des politiques infertiles.

Des fleurs oiseaux du paradis (Strelitzia) de la Barbade, en avait-on et si oui de quelle beauté ! Peu importe la variété, l’origine, la couleur, ou la racine, même des orchidées importées pour embellir la boîte vitrée du Palais des Congrès au service du diplomate canadien, des onusiens de Guterres, le coût du transport, le principe même a généré du carbone sur un passeport approprié. Beaucoup. Les critiques canadiennes sur le Brésil pour l’Amazonie sont donc d’autant plus une véritable farce politique onusienne, mais aussi la gifle pour le peuple canadien qui paie de taxes d’espoir. Se faire embobiner. Ceci ne répond pas aux besoins démocratiques sinon à ceux de Justin Trudeau.

Le discours ne suffit plus même si une partie de la presse locale affine de chauvinisme se veut d’atteindre des sommets révisés en avançant des chiffres des pourcentages. Il faut reconnaître néanmoins que le fait de parler définition de nouveaux objectifs, si les anciens n’ont été atteints au point de réviser les ambitions camouflées en hausse, c’est faire des précédents organisateurs et de l’ONU, menteurs. Élaborer un nouveau plan d’action renforce l’idée que l’ancien était non réaliste, de ce fait, pas réalisé. Le Jardin botanique de Montréal l’insectarium ne représentent pas le macrocosme de l’univers connu quand on a détruit des humains qui vivaient dans le pays d’accueil même, sans non seulement réparer les torts, mais vivre de ces torts profitables aux agresseurs de l’humanité de l’homme ici comme ailleurs, que dire d’outiller comme à …par exemple avec le seul fait de procurer de l’eau potable à Neskantaga quand on va jusqu’à livrer des armes de guerre destructrice pour faire la guerre en Ukraine quand cette même diplomatie est révoquée par Justin Trudeau qui n’en fait qu’à sa tête en renouvelant ministres sous-ministres à l’improviste, aux impulsions d’occasion comme n’importe quel dictateur ailleurs. Non, la COP15 est tout sauf la réussite l’espoir l’agrément. C’est ridiculiser diplomates et délégués déplacés aux frais de l’État d’envoi, pour faire dire que l’ONU est maître des lieux en ce temps avec Guterres.

Si le PM Trudeau contribue à faire tomber la diplomatie la gouvernance globale, sommes-nous de la diplomatie renaissante de blocs ?

Va-t-on remettre les droits du sol aux Premières Nations, c’est déjà une question qui ne sera jamais discutée en plénière à la COP15, ni dans les officines de l’État.

ID Canada / ISSN 2563-818X (En ligne) – ISSN 2563-8181 (Imprimé)