ÉDITORIAL
- Lambert, plus haute autorité politique légale légitime élue, en Haïti
- LE SÉNAT SIÈGE EN PERMANENCE
Un an depuis, le tout politico foule aux pieds le rôle vital inscrit dans l’esprit même de la Constitution haïtienne, le sénat de la République siège en permanence, su de l’OEA et tout le monde le sait, le Canada aussi. Le constat du RACISME d’Ottawa nous dit que le Canada mine l’exercice constitutionnel du SÉNAT d’Haïti avec l’imposteur.
Pourquoi vouloir by passer le Parlement et le rôle du Sénat pour créer un correctif qui n’existe pas, pour l’exécutif ? Sur le principe de la reconduction du Budget quand il n’y a pas de vote validant un nouveau budget, par cette institution [que le président Martelly a fait d’ailleurs avec Kato avant de partir] que s’imbrique l’inviolabilité de la position étatique politique de Lambert assermenté dans la logique de la Constitution sans détour ni besoin d’ajustement de familles colonialistes telles que T Vorbe ?
L’Ouverture de 1803 a permis de réaliser 1804 pour Haïti, État souverain reconfirmé par la Constitution de 1986. Bien plus que la haute distinction honorifique, le sénateur Joseph Lambert est la plus haute autorité politique légale légitime élue, en Haïti [Pays où le Sénat de la République siège en permanence]. Sussex vit la diplomatie en erreur.
Sinon le diplomate n’est plus ambassadeur, après Paris la rançonneuse, Ottawa vit…
Brusquement, le Parlement par le bras du Sénat en siège permanent perd le droit de convocation pour l’imposture politique. Dr Ariel Henry s’est fait imposteur devenu un escroc par la force d’actions internationales qui veulent le valider au mépris du peuple souverain d’Haïti, tandis que pour Juan Guaidò Màrquez au Venezuela vs Maduro, la politique étrangère canadienne en particulier a tout fait pour l’imposer, s’appuyant sur la forme opératrice de Bogota en vain. La tradition raciste de la politique colombienne perd le pourvoir au profit d’anciens révolutionnaires élus à la déception de ce Canada devenu accroc démocratique par l’intrusion dans les affaires internes d’autres Nations. Comme si le Québec à l’image de Taïwan volée aux Chinois et Kiev en discussion, où Trudeau n’a pas été élu pour partir en guerre, et miner le Canada, les Canadiens, en guerre aussi, après la COVID-19. Loi martiale en vue ? Ce n’est pas là, la diplomatie.
Bâti, le raffut roule sur Joseph Lambert ciblé par le FBI, sans preuve établie, sans argument de justice en Haïti ni sentence internationale pour le crime présumé par la convention en vigueur. Mais, les erreurs volontaires pour aboutir à l’arrêt R. Jordan au Canada, qui a vu libérer tant de vrais criminels d’accusés pour se réorganiser dans la société, le MOB aux É.-U. d’Amérique aussi, mais on veut faire payer une culpabilité héréditaire pour cause d’indépendance haïtienne depuis l’Empereur J-J Dessalines assassiné en 1806. C’est pourtant le racisme dénoncé par Justin Trudeau, dans le passé seulement qui prévaut.
Compréhension politique responsable de régie au Ministère des Affaires étrangères du Canada. Quand, Nicolas Bouchard et d’autres ne savent même pas l’abécédaire des RI, et sont en quête d’information salutaire auprès même de ceux qu’ils prétendent assister dans l’affaire haïtienne, à Ottawa.
Depuis le ver de 2004 où le 2e coup d’État a dicté l’exil au président élu J-B Aristide une fois de plus, dans des circonstances même interdites par la Constitution haïtienne, un autre coup d’État vient affaiblir la République d’Haïti en conspuant contre le Sénat d‘un pouvoir légal. Il n‘y a pas ici d’amalgame de présidence du pays en la présidence du Sénat par Joseph Lambert. Il est néanmoins la plus haute autorité politique légale légitime élue (Haïti), par qui, d’où le Sénat, doit passer toute décision politique, avec pouvoir de convocation. Les considérants associés font foi de la démarche.
Le reste est un crime dans lequel participe le gouvernement de Justin Trudeau, contre l’État souverain [Ariel Henry est le Jean Conzé nouveau qui a trahi le pays], cela doit cesser sans délai, c’est un risque qu’il fait courir à tout Canadien qui quitte le pays.ID Canada / ISSN 2563-818X (En ligne) – ISSN 2563-8181 (Imprimé)