Prisonnier Politique en Haïti : Indice du Coût de Réparation

DIPLOMATIE INTERNATIONALE & SOCIÉTÉ Par Dan Albertini 

PRISONNIER POLITIQUE EN HAITI : INDICE DU COÛT DE RÉPARATION

Entre (). Gender Equity, salaire per diem. Hop, Guterres slam après Ki moon. Fermons les ().

Si la Chine de Mao a toujours été en salle de tortures tout genre confondu, le voisinage le sait. Rizière infernale cachée, Tiananmen dévoilé. Place du martyr nous voyons se défiler l’ombre. Géant multi Céphale, contexte de puissant bras armé, dépasse l’entendement des UN. Charte catégorisée grand État petit État, l’économie en a décidé ainsi du tiers-monde. Il a fallu en dépit de toute audace de cette organisation globale, plus de réalisme car le Bouddhiste maoïste prône la résignation-même en faveur d’autres vies. Réparation. Le Chinois s’en accommode à cette virgule religieuse qui est son socle de résilience. Il feint renier en politique la religion chinoise où, éléphant rat cochon…, leur wanga, le progrès fait le reste, élisant chaque année de plus en plus de riches rehaussant la classe aisée en profil numéral. La mort perd du terrain. Haïti en outre, petit état pestiféré de l’État de crime, mortifère. Le mort préfère le zombi-sme. Se récupérer par le gangan. Néanmoins la goutte de sel, il garde l’espoir de réhabilitation tant il ne sait mourir. Il évince la misère. La chute du règne-barbare Duvalier/consorts, a proposé l’autre forme d’espoir inscrit in Constitution 87. La Femme est même réhabilitée, pour ne dire reconnue, désormais ayant droit à la régence…. La cupidité a récupéré un nouvel espace vital. Exilé, prisonnier politique, intimidation, tel l’ancien pattern revampé installé, avec présidence interventionniste. Jovenel Moïse président béat de confrérie relative au docket-05-20874-CR-ALTONAGA dont on n’a encore mesuré la vertu politique épargnée à Haïti, soupçonné de l’UCREF de béatitude présidentielle, se développe à la manière de. François Duvalier en serait même triste de se voir perdre en ombre par cet Alibaba de Moïse-Lafontant. Le drame !

San Francisco, Droits humains, TPI sont vœux pieux, le mal est pathogène. Haïti déçoit. Jean Jackson Michel est lourdement pénalisé, réduit à sa plus simple expression, humilié, torturé ruiné psychologiquement, privé de soins de santé et médicaux nécessaires à son état de santé, dévalorisé. Considérant le Préambule de la Constitution, para.1 sur les droits inaliénables, para.6 sur la séparation des pouvoirs, para.7 sur les libertés fondamentales ; l’art.16 sur la jouissance, l’exercice des droits civils et politiques, art.19 sur le droit à la vie et à la santé, art.24, 24.1, 24.2, 24.3 sur la liberté individuelle, 25.1 sur la représentation, 26, 26.2 sur la détention, sur la libération. La loi matrice du pays. Non les codes de procédures civiles, pénales, subséquemment violés de fait. L’art.41 sur la sécurité dans le cas de J Willer Marius. Haïti doit grandir, être déclaré responsable de ses actes après 214 ans d’indépendance.

Tillerson plaide mal Moïse président, est-il marchand de ou négociant un projet à venir ?

Voici donc l’image choquante qui démontre ce qu’on a fait subir à un citoyen. Jean Jackson Michel. La folle déclaration inopportune du président en délire in République-de-banane le classe schizophrène lui-même, paranoïaque car il rêve d’attaque terroriste contre sa personne. L’a-t-il peut-être convoité planifié, le président du Sénat oppose un démenti formel, affirmant qu’il était dans la voiture présidentielle aussi avec le président de la Chambre basse. Internat.

Merci miracle, Jean Willer Marius son attenant politique a pu s’échapper à temps pour l’exil.

Pourquoi alors le pm Lafontant aurait-il été visiter la population archeloise, sur ce fond de dossier, le 29-12 tandis qu’on lui aurait livré l’extrait d’articles publiés sur l’affaire ? Des données nous portent-elles à croire que le juge d’Instruction Berge O Surpris aurait accordé la main levée partielle près du Commissaire du gouvernement en vue d’alléger, de libérer Jean Jackson Michel, peu importe, ses avocats n’ont été joignable afin de vérifier la validité du document, si émis, en leur possession. Ce, malgré le coût de fortes sommes qu’il aurait déjà engagées en frais d’avocats. Contexte peu reluisant, à la lueur du verbe du Bâtonnier de Port-au-Prince en session d’ouverture. Le sort réservé de l’État-républicain le retient détenu en prisonnier politique. Sans charge. Sur une charge mensongère dénoncée, du président de la République, qui déboucha sur un interdit de départ illégal. Politique et main de Lucien Jura.

Qui a signifié en conséquence l’interdiction de départ légale à JJ Michel, avant de l’arrêter à l’aéroport, le 13 avril 2017 : Antonio Rodrigue, Heidi Fortuné, J Moïse-le-huissier ? Tenant alors compte de l’art.27 sur le droit de poursuivre les auteurs en cas de violations des dispositions relatives à la liberté individuelle inscrit dans la Constitution. Le civil n’étant tributaire du pénal/criminel, vice versa, la cause de ce prisonnier politique, victime maquillée en action du Commissaire du gouvernement rendue en Instruction politisée, a le droit entier de poursuivre au civil son tortionnaire, sans discrimination ni perversion de dossier, fut-ce même que ça soit l’État le coupable, de négligence ou de sévices. Sinon, c’est la connivence, c’est l’injustice en lieu et place de l’État de droit dans la continuité. L’affaire va plus loin que de se déporter au civil avec une poursuite contre l’État, pour diffamation, perte de liberté civile, économique, individuelle, perte de jouissance de la vie civile, perte matérielle, détention illégale prolongée, dédommagement, réparation, atteinte à la liberté d’expression, complot politique. Haïti et son crime contre la personne en corrélation avec les UN qui occupent la place, l’État coopérant qui lui construit prisons pour prisonnier politique, pour détention arbitraire, illégale prolongée, sans procès ni jugement ni droit à la défense. Est-ce là une affaire d’un complot d’intérêts où, de l’administration Trudeau, on a vu A Rodrigue ministre (MAEHC) en visite d’État opportuniste à Montréal, avec l’ancien maire libéral déchu, tenter rencontrer le demandeur de statut selon la convention, moment même où le tenant politique échappé du drame rentrait à Montréal. L’apparence est souvent trompeuse mais la connivence des enfants « des Commandites » ne peut être esquivée par défaut, il faut justifier. Scrutons à la lueur d’accusations contre Maduro parce que le cas Jackson est une censure à l’économie.

Ce n’est donc en aveugle que, dans le No du 16/08 2017 de H-O, non en connaissance de cause de la profondeur découverte de l’affaire Willer-Jackson, l’auteur traite le sujet du Budget en rapport à la Justice, aux juges qui y siègent, en termes d’intimidation tirés de la compréhension du leader du RNDDH. Je cite : « faute de pouvoir modifier le système judiciaire, tel qu’il a fait pour ces deux institutions, le chef de l’exécutif, de concert avec ses alliés du Parlement, a décidé de le priver des moyens de fonctionner […]. Cela s’explique par le fait que Moïse veut mettre le système judiciaire dans l’impossibilité de décider contre lui. Avec l’UCREF et l’ULCC pilotés par ses propres partisans et des autorités judiciaires incapables d’agir en toute dépendance, Jovenel Moïse se croit assuré que le dossier d’inculpation retenu contre lui restera bloqué indéfiniment au Parquet de Port-au-Prince ». Le Président ne serait donc sans intérêt ni écarté de soupçons en ces lieu et cause. Si candidat dérouté, Lucien Jura aurait-il dans cette évidence de larbin, reçu mandat pour renforcer ce clan, comme à l’époque de tous les pouvoirs accordés à François Duvalier par le filon aveuglé de Luc Stephen sénateur ? N’est-il pas retourné vers ses anciennes besognes de porte-parole de la présidence du sinueux personnage de PHTK devenu Chef de l’État ? Rex Tillerson félicitant J Moïse n’est autre que la réplique réduite de Nelson Rockefeller saluant la foule avec Duvalier François, au parfum du pays-Watergate. Malheureux Tillerson qui ignore par contre, peut-être que les agents d’information russes infiltrés aux US auraient déjà tissé une toile étalée qui dévoile de plus en plus d’indices sur la chute politique potentielle de personnes impliquées dans son entourage, de son calibre, au service d’un président bruyant qui félicite Moïse afin de mieux valider au départ sa prochaine action calculée contre le migrant haïtien. Jackson libre, un homme d’affaires qui évoluait dans une économie, un marché, des échanges.

L’affaire serait extrêmement grave, réellement insidieuse. L’émigration n’aurait de toute évidence, reçu le document sans date, après avoir franchi l’étape d’identification, l’allégation tend à démontrer la main-vue de Lucien Jura dans l’arrestation de JJM à l’aéroport. Aurait-il eu en sa possession avant publication/signification à l’intéressé, un blanc-seing d’un juge ou du commissaire auquel il aurait parlé afin d’obtenir ce document à la suite d’information récoltée ? JJM partait pour les funérailles d’un proche aux US. L’aurait-il même complété en personne, puisque JJM une fois rendu au Parquet, est présenté au Juge Pharel. Les policiers l’ayant accompagné depuis le comptoir du boarding pass de Jet Bleu : « voici l’homme de l’Arcahaie que vous aviez demandé d’arrêter ». Le juge aurait signifié aux accompagnateurs, qu’il n’est l’émetteur du mandat, donc le citoyen devrait être interrogé par celui-là. Curieux effet de la présence de son nom sur le mandat. Ou donc, à l’aéroport là où les sources croisées auraient remarqué la présence de Lucien Jura porte-parole de la présidence, attendant dans sa voiture à l’extérieur. Visible de celle dans laquelle a été embarqué JJM qui corrobore dans sa complainte. Il n’est à ce stade-ci question de certifier la responsabilité de Jura lors de cette opération déclenchée au comptoir final Jet Bleu d’embarquement. Il faut se demander d’une part, si Jura était présent sur les lieux (une autre cause par hasard). Ou, en service commandé. Comment ? Vérifier ses minutes d’appel ce jour-là et, que faisait-il à cet effet, selfie et vertu du portable ont la langue pendue. Curieuse négligence pour ce porte-parole qui était directeur de l’information à Signal-FM, avant cette nouvelle carrière. Car, quand l’agent de service de Jet Bleu a reçu l’appel et prétexta la panne d’imprimante à Jackson, tandis que l’autre agent en présence affirma le contraire, certifiant l’avoir utilisée la seconde d’avant. Traçabilité !

Histoire qui n’est sans rappeler des souvenirs. Rétention du président déchu, Leslie Manigat, au comptoir d’une ligne aérienne US tandis qu’il voulait regagner son pays lui-même, dans un pays où l’on déporte généralement. Commande, connivence, complot ?

La presse locale n’a de quoi être fière de cet ancien confrère, ni de ses passe-droits potentiels.

Ainsi, une enquête minimale aurait-elle prouvé soit l’écriture soit l’empreinte digitale de Jura sur 1/2 documents, ça invaliderait le mandat du constat d’infraction tout en accusant Jura de violation grave de la Constitution. De connivence avec l’exécutif, le président dont il est le porte-parole. Il faudrait dès lors une saisie légale de ce document, ipso facto cesser Jura dans ses fonctions de porte-parole de la présidence, en attendant une main levée, si inculpé. En termes de procédure c’est l’art.26.2 cité plus haut. Référence et calcul politique.

L Jura candidat aurait déjà accusé JJ Michel candidat, d’organiser les protestations populaires contre le décret politisé contesté de la division de la commune de l’Arcahaie, l’associant à la violence. Émergeant de bras manipulés de nulle part. Forme de répression aux dénonciations partisanes visant à dévoiler son jeu de porte-parole. S’il y aurait eu incitation à la violence, de Jura sur des ondes privilégiées, rappelons-nous de la triste affaire-Mungesera. Rwanda-94.

L’information n’a pu donc être validée auprès du conseil de Jackson, à savoir (3) ordonnances de libération auraient été émises tandis que Lucien Jura aurait vertement bloqué l’exécution. Aurait-il un quota de prisonnier à livrer ? En outre, les sources croisées consultées nous ont permis de comprendre des insinuations de plus d’un avocat concerné par la défense, je cite : « nous, nous-nous battons avec des lois en mains. Mais, si c’est la politique qui bloque la libération, nous ne faisons de politique ». La pertinence ne peut être écartée ici par le fait d’un indice plat. Incompétence, empressement ou véracité de la version qui veut que Jura l’ait eu ad hoc. Mandat d’amener signé le 10/04 par le Substitut ou la note signée du commissaire Daméus déposée au Service d’Immigration/Émigration puisque celle-ci ne comporte de date tandis que la procédure est respectée à la réception (datée sans heure) sans s’interroger sur le fait cité. Référons-nous alors à l’interdiction de départ émis dans le cas-Bellerive, signé/daté par le juge d’Instruction JW Morin, comme la réception du 13/04. Comment donc est parvenu ce mandat d’amener ou la note, en référence à l’interdiction de départ, qui cite la plainte de Jovenel Moïse, sans être signifié par huissier à l’intéressé ni publié antérieurement ? Notons que la présumée affaire se serait d’après les accusations légères, passée dans la Commune de l’Arcahaie tandis que l’ordonnance concernerait Port-au-Prince, dans un document libellé en français et rédigé en français et en créole, contrairement aux prescriptions de la Constitution.

C’est donc pourquoi j’ai lancé le défi au Bureau du PM Justin, pour qu’il nous accompagne lui-même ou par voie de sa diplomatie agréée à Port-au-Prince, en visite libre à la presse, à la prison là où est incarcéré injustement et illégalement JJ Michel. Il ne saura repartir convaincu du contraire avec la dégradation évidente de l’état de santé de cet homme qui aurait tout perdu par défaut d’être prisonnier d’une dictature en émergence tandis qu’Ottawa dénonce, accuse Maduro, en diplomatie canadienne dévitalisée. D’autant plus que sa politique d’accueil a mis à risque l’entourage de J Willer Marius. Le même Justin qui réclame au Vatican l’élément de mémoire tombé dans la passivité des réparations judiciaires et les coupables, brusquement en état de mort subite. Faudrait-on alors comprendre Justin prôner excuse et dédommagement à la victime de politiques-dites antérieures à son temps, se taire là où le crime est évident en Haïti. Ne pas réclamer l’équité haïtienne en ce monde globalisé où la victime canadienne d’erreurs locales dans le traitement du dossier de tortures syriennes contre O. Kader est dédommagée. Ou, appliquer l’interface canadien global du dédommagement par la retenue à la source à même la coopération bilatérale canadienne qui construit des prisons politiques là-bas. JJ Michel est pénalisé dans tous les sens du terme, avec sa famille élargie, cela a un coût. Faut-il de ce fait déposer une requête internationale en recours collectif, à la manière Me. Ira Kurzban (Floride), Me. Julius Gray (Montréal), Me. Jacques Sales (Paris, Cap-Haïtien, Port-au-Prince), Me. Marc Henzelin (Genève), Me. Reed Brody « le chasseur de dictateur » (US) dont la fameuse citation du quotidien Le Monde : « Le monde entier a compris qu’avec une plainte solide et des conditions politiques favorables, un tortionnaire peut être jugé, où qu’il soit » ? Saisir les biens, appliquer un gel préventif sur les avoirs de ?