Quand la CIA espionne l’hebdomadaire Haïti-Observateur
Haïti-Observateur espionné par la CIA, telle est la bulle ovale qui échappe à tous à ce jour. Raymond A Joseph de mémoire d’ambassadeur, de Chargé d’affaires, ai, de journaliste, de coéditeur, d’ambition à la présidence, publie un livre intitulé: For whom the dogs spy. Le beau slogan avec l’œil de l’hebdomadaire espionné est moins fort par contre, que le chien noir qui tient le journal de sa gueule laissant paraître le titre: Haïti-Observateur. Est-ce la ‘Danse des saltimbanques’ pour emprunter le titre du livre de Paul Arcelin, un autre ambassadeur haïtien qui parle de mémoire de couloirs diplomatiques?
Si le dossier est complexe, il y a lieu de croire que c’est par la peur des gens d’en savoir sur lui. Nous croyons le contraire, c’est la paranoïa même des uns, et la trahison des autres qui ont permis tel exercice qui est un crime diplomatique selon la convention. Les intérêts de citoyens de l’État d’envoi ont été foulés, aux gains de ceux de l’État d’accueil paranoïde.
C’est à cette époque-là que le duvaliériste François a eu la carte à deux faces pour se faire protéger par l’État d’accueil qui est le pays qui accueille l’ONU et délégations diplomatiques, espionnant le système, et soi-même. Raymond A Joseph (et son frère Léopold qui a préféré New York à Chicago) a eu l’idée de mettre en œuvre celle de Ray (Raymond), et de fonder l’hebdomadaire Haïti-Observateur, en 1971. Duc de bourgade et d’exil, Ray a souvent étonné son frère cadet, Léo, d’où ce chien qui espionne dans son livre, mais tient aussi H-O!
Après les Allemands de 14-18, l’Amérique avait peur de l’ours qui fit tomber la croix gammée en 45. Tout sembla dans la paranoïa, surtout par H Kissinger en tête, indiquer la trace d’un ennemi potentiel par la CIA, même à H-O qui devait naître en ce temps qui a suivi la naissance de la GF. Controversant et bien de ce réalisme pathogène, CIA, KGB, SIS, MSS par ce pas, allaient se livrer une guerre.
Chicago, là où tout a commencé quand Léo Joseph au défi de l’arrêt de ‘radyo vonvon’ animé par son frère Ray lui a proposé une autre approche plus indépendante, mais surtout plus symbolique aussi: Haïti-Observateur. De cette ville avant de traverser à New York, quand le boulot était autre, qui était ce Léopold Joseph, fils de pasteur protestant qui jaugea déjà la radio, aux Cayes?
Des collaborateurs de la première heure, la femme complice de sa démarche, donc la famille élargie: Dr Glaudy St-Phard, G D Rigaud, P Laraque, etc., le journal hebdomadaire est né, pour devenir cinquantenaire, et espionné de la CIA. Est-ce par défaut du protestantisme du journal qui n’a pas pris le pli du réformé saxon américain, voie que Léo va garder pour cet hebdo opposant politique?
- POST ÉPILOGUE D’OBSERVATOIRE
Les documents sont d’office vrai par la bonne foi de la source officielle qui a cru avoir ôté l’essentiel, après avoir tenu secret une banalité de peur que l’opéra, dira-t-on en dérision, l’hebdomadaire a bel et bien fait l’objet d’espionnage de toutes sortes de la CIA, ce dès sa fondation, ce qui cadre l’intrigue ardente du banquier, Clémard Joseph Charles, l’intrus.
La CIA porte le nom de son sigle, l’agence centrale d’intelligence du pays, mais l’on découvre par l’usure du temps qu’il n’y a pas plus borné qu’un de ses agents qui pour la cause de la raison simplifiée, commet des crimes impunément. Il n’y a pas de lois valides sans l’observance de cette loi, c’est pourtant ce que fait la CIA au su et à la vue de tous. Elle crie en outre que ceux des autres pays sont criminels. Mais restons-en à l’intelligence!
Depuis la surveillance de Clémard Joseph Charles, il faut croire que l’hebdomadaire qui n’était encore né en 1969, était voué à être espionné par la CIA, que dire des autres agences aussi. Un mot: influence, va faire toute la différence en passant par Firmin Joseph qui quitta l’hebdomadaire (des raisons que nous taisons encore ici), pour aller forger sa publication parallèle. Le ver était là dans le fruit. Autre mot: intérêt.
Dans le sens de nos intérêts. On a souvent eu bonne conscience, même par-devant Dieu. Comme l’histoire biblique d’Adam et de son créateur. Qui donc a bénéficié de cet espionnage illégal inutile? Insultant, puisque la décharge est garantie contre toute poursuite; un pays qui se veut réputé champion des droits humains, de la liberté de la presse, de la liberté économique.
Ce n’est pas de la religiosité ni le caractère pastoral caché pour l’exercer par vocation médiatique. Ce sont les voies et moyens qui gèrent la psyché de l’humain en général dont la domination même à l’absurde qui forge. Utiliser l’induction touche l’immanence, les intérêts sont la loi dans l’action pérenne.
Nous avons retracé des éléments sérieux qui soulèvent beaucoup d’interrogations à l’intérieur de missions évangéliques dites chrétiennes réformées, opérant sur le terrain. Si Haïti est un État souverain dont l’histoire au monde connu pèse du poids du tombeur du Code noir, et de Napoléon, il y a eu bien d’autres journaux de cette histoire, même ceux éphémères à l’étranger. New York, NY US n’était pas la Havane-Moscou de l’ère des Soviétiques. Mieux encore à Haïti-Observateur, c’était les opposants de l’école-PUCH de René Théodore et de ses marxistes en rivalité de chapelle avec les maoïstes.
D’une part, Haïti-Observateur est issu de filii du pasteur évangélique haïtien qui nageait dans les eaux américaines par la croyance des ‘rejetes’ depuis l’occupation américaine de 1915, du président démocrate qui a eu en fait peur des Allemands à Port-au-Prince et dans les grandes villes.
Que vient faire Jeffrey Hakeem ou Antony Blinken si ce n’est cette fourbe d’intérêt pour cet instrument d’un empire défaillant qui a peur comme en 1914-1915, en Haïti, de l’axe allemand dans la région? Aujourd’hui, on a Taïwan qui veut jouer au contact de la CIA en Haïti, contre la Chine qui est bien définie comme une seule Chine aux Nations Unies.
Blinken ni Hakeem n’ont aucune solution attentive de la justice contre Trump désormais visée par une guérilla politique de la judiciaire qui a tenté de camoufler les pas de Hunter Biden le fils du président. Ils viennent eux-mêmes des pas défaillants du 09/11, que peuvent-ils pour Haïti quand plus de 10 G$ US ont disparu aux UN?
À ce stade-ci, ne devinons plus si le 11/09 est arrivé en dépit de la CIA, de toutes ces agences thermales, et de toutes ces balnéaires manipulées sous le prétexte de la prévention, est-il si difficile de saisir le pourquoi, la CIA a tout bêtement espionné l’hebdomadaire, Haïti-Observateur en l’occurrence, en gardant la correspondance classifiée, et en protégeant des sources au pays où le Dr François Duvalier fut président à vie, là où il laissa le fils, président?
Quand la CIA espionne l’hebdomadaire Haïti-Observateur via
- Clémard Joseph Charles & Luis A Brun
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Clémard Joseph Charles serait-il devenu un des puissants banquiers à New York, à l’époque, n’était-ce les barrages systémiques de la CIA, la question vaut son poids.
La raison est aléatoire, mais le banquier était-il enquêté par le FBI pour malversations, ou de la CIA, pour une affaire de politique interne?
Haïti-Observateur par un de ses fondés de pouvoir a soutenu ne pas avoir fait l’objet d’espionnage de la CIA, à un journaliste de IDC. Si par contre nous raisonnons par l’absurde, R Alcide Joseph révèle dans son livre ‘For whom the dogs spy’ (2014), qu’il a infiltré la CIA pour servir son pays. Était-ce l’inverse ou double le jeu qu’il dévoile? Il ne nous appartient pas de juger X, mais d’analyser les données à la lueur de faits démontrés.
Luis A Brun, d’après la réponse de la source consultée aux É.-U., d’Amérique, était du type d’ascendance française, et serait probablement de famille liée au Siclait cité.
Siclait de son côté faisait-il partie de la descendance des indemnisés de l’État d’Haïti en vertu du pacte avec la France, il est réputé en fuite avec des fonds détournés?
Ce dossier est loin d’être clos pour nous, car de mémoire genevoise, plus d’un se plaignait au Palais des Nations de l’interférence des agents du consulat.us voisin.
Trudeau
12 juillet à l’OTAN ; le 28 juillet au REM; le 26 juillet en changement de cabinet; le 28 juin sur la famille; le 21 août sur les familles PEI; début août des propos dénigrants, sur la responsabilité de la situation en Haïti
Un mensonge, puis un désaveu. Il censure Ariel Henry qui a pris la tête d’un coup d’État en Haïti, avec la complicité de son administration. Justin Trudeau, et son allié au double jeu, le député E Dubourg, peinent à le dire.
N’était-ce pas la Chine et la Russie au conseil de sécurité, le même Justin Trudeau qui désespère retrouver l’autre non-membre à ce conseil, a tout fait pour déplaire aux Haïtiens en plaisant à Biden, Pire, il laisse le Canada avec un drame du drogué, et avec celui de l’hétérophobie.
Où sont passés ces fonds récoltés, à quand le bilan?
Près de 10 milliards de dollars récoltés à la Conférence internationale des donateurs « vers un nouvel avenir pour Haïti », étaient en mars 2010.
https://press.un.org/fr/2010/ag10932.doc.htm
Tout le monde sait que le fait Ariel-Henry est ultra vires, en dépit de cela, Justin Trudeau tel un mégalomane, a lu en ce médecin comme en Jovenel Moïse de la normalité. Aujourd’hui, il dénigre?
ID Canada / ISSN 2563-818X (En ligne) – ISSN 2563-8181 (Imprimé)