Un Nouvel Ouzbékistan en Initiatives
L’Ouzbékistan figurait parmi les 28 pays invités à se joindre au Conseil de facilitation de l’Initiative d’accélération de l’accès aux outils de la COVID-19.
Ce nouveau mécanisme de coopération vise à accélérer le développement, la production et la distribution équitable d’outils de diagnostic et de traitement, ainsi que de vaccins contre la COVID-19.
Le Cœur de son message est «Personne n’est en sécurité jusqu’à ce que tout le monde le soi»
L’initiative du Président Shavkat Miriyoyev de l’Ouzbekistan, sur l’adoption sous les auspices de l’ONU, d’un code international d’obligations volontaires des États pendant une pandémie est pertinente pour soutenir la communauté mondiale, et son énoncé sera expliqué en détails à la conférence de presse à Genève le 23 septembre à 17h, au Club Suisse de la Presse.
Le Secrétaire général des Nations Unies, António Guterres, a mis en garde contre une “urgence alimentaire mondiale” résultant de la pauvreté croissante et de la pandémie de coronavirus.
L’initiative a été annoncée pour la 1e fois au Sommet mondial de l’Organisation internationale du Travail sur la COVID-19 et le Monde du Travail en juillet.
À la suite de la 73e session de l’Assemblée Générale de l’OMS en mai 2020, une résolution a été adoptée laquelle appelle à une riposte intensifiée à la pandémie et à garantir un accès universel et équitable à toutes les technologies et produits de santé essentiels, qui sont nécessaires dans la réponse à la COVID-19.
De plus, le directeur général de l’Organisation mondiale de la Santé, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, a déclaré : « La pandémie de COVID-19 nous a volé des vies et des moyens de subsistance; elle a ébranlé les fondements de notre monde; elle menace de déchirer le tissu de la coopération internationale. Mais cela nous rappelle aussi que, malgré toutes nos différences, nous formons une seule race humaine et que nous sommes plus forts ensemble. »
L’Ouzbékistan énoncera les conditions et les obligations minimales des pays, tant à l’égard de leurs citoyens que de leurs partenaires internationaux, dans les domaines politique, socio-économique, commercial, humanitaire, des droits de la personne et autres.
Les mesures restrictives liées à la COVID-19 devraient être temporaires et proportionnelles aux risques, tout en garantissant les droits et libertés des citoyens, sans entraver le commerce international, en particulier le commerce des biens essentiels et des produits médicaux, et intensifier le travail pour soutenir les segments socialement vulnérables de la population.