HAITI SUCRE ET COLONIE : DE SAINT-DOMINGUE À RÉPUBLIQUE
- ‘de la France colonialiste aux États-Unis complice’
- Ou Jean-Élie Gilles l’autre neuvaine un calibre Insoupçonné le pas introverti d’un descendant-lévite haïtien. D’Edgard Gousse à Charles Moravia, une vie intense
La conclusion sans hâte se fera dans le confort de ces enfants nés de 1804 au gré d’une grande culture connue, mais étouffée par le poids de colonialistes aigris.
Le sucre dans votre tasse est au gré de l’échelle ICUMSA qui le qualifie, objet de pouvoir de par le globe au point de l’imposer en crime contre l’humanité de l’homme pour certaines ambitions démesurées lues en centenaires. Ici à travers un document de la France colonialiste aux États-Unis d’Amérique dans sa Louisiane sudiste, la mémoire impose un retour sur le parcours qui réclame le coup d’œil d’expert. Dans le fief aussi bien que dans l’histoire. Nous évoquons la spécialité certes, mais offrons là l’œil averti, Jean-Élie Gilles Ph D., en l’occurrence qui est à tant d’adresse le commentateur habile pour ce faire.
Le calibre insoupçonné est le pas introverti d’un descendant-lévite haïtien, conservateur collectionneur qui a vu passer tant de témoignages inexpliqués à ce jour dans sa vie, Dr Jean-Élie Gilles tient des trésors de connaissances personnelles historiques, patriotiques étatiques universelles. C’est avec ce creuset que nous proposons au lecteur grand amant de relations internationales et spécifiquement pour la diplomatie bien que nous devons traverser de l’autre rive de Vienne pour toucher du consulaire aussi puisqu’il y a échange commercial au comptoir.
La cadence est annoncée par le bouleversement tel, que par les monts et vallées autant que si la plaine de canne à sucre borde l’horizon sur les habitations désormais patrimoines protégés de plus d’un pays. Haïti par la nature de sa naissance qui interpelle Saint-Domingue, a pris sans crier gare, le haut de ces relations où les accusations fondées, l’histoire vacillante de trucages de tragédies où le crime s’étale sur plus que la notion de siècles. C’est éloquemment le pas de ces relations multiples nouvelles avec l’émergence d’un Empire tricéphale colossal obscur, là où va ressurgir la République d’Haïti dans sa fondation d’État indépendant souverain jamais connu depuis l’histoire du monde connu, d’où Jean-Élie Gilles Ph. D, est de cette grille de fortunes même fabuleuses selon les particularités, pour nous faire vivre de ses recherches, surtout pour trouver. Ce qu’il a découvert là. Mieux, les oraisons qui font de lui, cet éloquent homme tant consulté.
De cette traversée sucrière et colonialiste que son pays de naissance, que sa ville natale a vécue [incluant le fameux Charles Moravia éditeur de Le Temps (Jacmel) qui fait partie de nos recherches et de notre mémoire honorée], dans sa quête commune que l’Observatoire du dies a rencontrée au gré du hasard du lancement de l’ouvrage d’un autre Jacmélien au parcours sans aliénation des racines mélangées, de ceux qui le Code noir exposé dans cette édition en cours, a victimisé particulièrement à Saint-Domingue, mais ailleurs aussi, d’où la traversée vers une racine du Bolivarisme dédié à Simon Bolivar par la plaque: «ici a résidé Bolivar en 1816, dans le numéro 17 de la revue Raj de Jacmel ISSN-1998-8893, en page 16, qui présente l’extrait de l’ouvrage ’’Jacmel, entre fragments et mémoire’’ de Michelet Divers», dont nous citons un extrait publié :
«Ici a résidé Simon Bolivar en 1816, n’est pas un acte gratuit. Elle est un témoignage de la présence de Jacmel dans la lutte pour la libération des pays de l’Amérique espagnole. Elle fut apposée par le chargé d’affaires du Venezuela en Haïti, M. Raphael Paredes Urdaneta, le 17 juin 1945 au cours d’une cérémonie officielle».
La plaque collée au timbre du discours dont l’extrait cité : «Le choix de votre ville pour initier la pose des plaques commémoratives dans les différents endroits qui donnèrent l’hospitalité au Libertador n’est pas un simple effet d’un hasard circonstanciel, mais émerge plutôt d’un impératif historique de priorité. Dans vos murs fut hissé pour la première fois le drapeau vénézuélien…»
Dr. Jean-Élie Gilles est aussi d’une érudition dans l’écriture dont la lecture à travers le tissage biblique hérité de la formation catholique qui, même si malheureusement est hérité des campagnes hérétiques de l’Église catholique depuis les sévices exercés contre les Noirs et les Juifs cités de ce même Édit du Roi, puisque de descendance de Lévites, et de Noirs depuis la colonie de Saint-Domingue, état sucrier devenu l’État d’Haïti cité de mémoire d’archives du colonel Malenfant que l’on retrouve dans ce numéro IDC de mars, le malheur religieux s’est transformé en bonheur séculier pour et par Dr Jean-Élie Gilles qui englobe toute une connaissance dont la reconnaissance de l’ex-GG du Canada, Michaëlle Jean, en visite à Jacmel, en quête de ses racines familiales aussi, sur ce parcours.
- Alors, à avril, avec J-ÉG
ID Canada / ISSN 2563-818X (En ligne) – ISSN 2563-8181 (Imprimé)