LA SYRIE LÉZARDÉE SANS EDEN Plaidoyer pour une Syrie renouvelée par une Syrie renouvelée, Dan Albertini

DIPLOMATIE INTERNATIONALE & SOCIÉTÉ

  • LA SYRIE LÉZARDÉE SANS EDEN
  • Plaidoyer pour une Syrie Renouvelée  par une Syrie Renouvelée par Dan Albertini

Entre (), qui propose la nouvelle formule des accords partiels pour former un véritable accord global des peuples, des Nations, afin d’éviter une guerre mondiale catastrophique où personne ne peut gagner sans perdre ses frères, sa communauté, sa vie. Cet impératif dépasse l’ONU mise en échec depuis la guerre du mensonge en Irak, car le mensonge n’est pas sanctionné, mais récompensé. Les pays sous leur forme actuelle devront rivaliser de génie et d’ingénierie dans un but premier qui consiste à sauver le patrimoine menacé qui reste, sinon, ce sera le feu qui est déjà au bout des canons allumé à travers tant d’éléments de l’humanité de l’homme. Nous devons réaliser que la guerre est une économie, donc industrie pour les uns, partout, fermons-les ().

DAMASCUS

C’est ici pour l’espoir que le nouveau pacte est nécessaire en faveur du berger qui a tout perdu incluant le droit de planifier sa vie afin de se développer, de voir à ses enfants. Damascus ne doit pas mourir dans l’indifférence, la caméra touriste doit le montrer.

[GUERRE]

Israël occupe une partie du territoire depuis trop longtemps sans espoir de progrès pour les gens du terroir tandis que le calcul politique a visé clairement une possession de territoire pour installer les siens sous une forme discriminatoire. La guerre ici est terminée, il faut remettre le Golan et toute autre possession illégale de la région. Sinon ce sera l’effet boomerang, histoire du monde, elle se répète sans fin. Israël!

L’occasion du séisme là-bas en Syrie doit être celle d’un nouvel envol qui sait se doter de plus d’intelligence et de faire place au bonheur. La problématique est aussi israélienne, le principe des vases communicants règne avec tout voisin immédiat jusqu’à l’autre éloigné, pour se garantir une paix en faisant la guerre. Le colon [I] est là, avec des maisons modernes érigées au gré de résister aux secousses atypiques de la région. Pourquoi pas en Syrie aussi, d’où vient l’argent. Sept ans ont passé à se faire la guerre sans penser au berger sur qui repose un patrimoine ancestral qui remonte aux origines de la notion de communauté. Le fonctionnaire (haut) onusien circule à coup de per diem et de frais de transport avec salaire international en conséquence, mais Damacus brûle encore. Après les [7] ans pour Israël, puis les [3] ans de remises, puis [3] ans encore qui s’achèvent. Le berger syrien se meurt au mépris de fausses crises canadiennes en faveur de ce migrant quand on va faire la guerre en Ukraine avec le denier canadien sans une élection référendaire sur le sujet qui finira par coûter la vie aux Canadiens aussi. Ce n’est pas vrai, les Américains ne sont pas invincibles, le 11/09 le prouve at large. Au contraire, Justin Trudeau agit de manière à ramener la guerre ici au Canada aussi. Il est insensé de se taire, ici là.

Quid de l’architecture quand l’UNESCO ramasse aussi en subsidiaire des Nations Unies pour nourrir ce fonctionnaire international qui n’apporte de  résultats ni de paix. À qui prie donc le berger grand patrimoine de l’humanité tandis que la fausse propagande est faite sur son dos alors qu’il vit au grand air pour ne plus vivre sous la bombe intelligente le trouve. Caméra touriste, on doit ravoir le sente, gêner l’action militaire criminelle programmée en faveur de cette économie de cette industrie. La question se pose ainsi aussi : comment consolider ce qui existe afin d’éviter d’autres drames encore, quand il y a d’autres séismes.

La diplomatie est antérieure à l’ONU, ce spectre ne doit pas faire périr le diplomate pour le bâtard politico qui ne cesse de mettre en péril, par égo, par fanatisme. On est en situation de force majeure.

Cela prendrait pourtant tant moins de dollars investis du Canada pour supporter le berger qui reste là-bas, au lieu de le délocaliser post mortem, pour faire croire à une action civilisée canadienne qui accueille le réfugié sous le couvert du droit de l’homosexuel syrien en fuite quand on méprise l’humain son voisin.

Il n’y a aucune histoire prescrite en faveur d’un peuple, d’une Nation contre l’autre.

Pourquoi Israël doit aider à rebâtir, est une sinécure si l’on doit apprendre à s’attabler pour en discuter. On ne peut condamner Bachar si l’on tarde à comprendre qui a fait mourir Yitzhak Rabin dans un élan de fanatisme religieux. C’est aussi de la  prothèse dans le moule de la corruption quand on vit des suites de Netanyahou relégitimé quand on condamne un autre dans le pays voisin.


DEUX OCULUS À TRAVERS OÙ ON LIT DAMAS

  • PORTRAIT DE PATRIMOINE AVANT LES EFFETS DE L’ÉNERGIE SISMIQUE
  • Pourquoi la Syrie doit être prise en compte, ce sérieusement dans les considérations de paix, en passant par la culture ?

Il y a des provisions à même l’UNESCO, ce qui en valorisant ce subsidiaire des UN, offre comme effet de causalité, la justification des fonds et des ressources, comme de l’appartenance avec un effet d’entrainement dans toute la zone qui se voit abandonnée non sans raison, mais laissée pour cause par rapport à Israël. La question religieuse vieille de millénaires soulevés, le judéo-chrétien aura à domicile comme à l’instar de la mecque, son foyer ami.

Quelle considération sur Bachar?

  • Nous ne pouvons ni devons nous immiscer une fois de plus dans ses affaires internes. Il faut lui rendre ses terres occupées, garant de la paix régionale, d’autres chefs d’État sont nourris en dictature par les mêmes qui prêchent la démocratie sans en savoir le sens de leurs propos dans un contexte des RI qui râlent la souveraineté. Le Canada, la France, les É.-U, soufflent sur un brasier.

Quel sera le poids de la négligence internationale dans les considérations sur le Liban, à partir de la Syrie?

  • L’équilibre dans les pays occidentaux est profondément touché par la distorsion de la valeur universelle qui a toujours démontré un besoin de domination pour exister tandis que l’on se soumet à la raison du plus fort, exemple tacite du Canada comme de la France dans ce conflit qui oppose les intérêts de la Russie face à ceux des É.-U. 

LA SYRIE LÉZARDÉE

Pourquoi Israël doit-il collaborer dans l’effort de paix en Syrie en passant par l’abnégation?

  • Le passé récent n’a apporté aucune réponse tandis que le passé lointain propose Israël perdant ses terres de par ses fautes, à même son histoire de désobéissance. Ce n’est là  un point de vue religieux ni fanatique opposé. La boussole est de l’Observatoire du dies, basée sur des éléments de la Géographie Cybernétique où toute porte s’ouvre.

Ce qui est prévisible, ce que peut faire le tourisme

  • Ce que l’ONU néglige

UNESCO: quel rôle attribué dans le contexte des UN?

ID Canada / ISSN 2563-818X (En ligne) – ISSN 2563-8181 (Imprimé)