DIPLOMATIE INTERNATIONALE ET SOCIÉTÉ, par Dan Albertini
Entre (). Les politiques échouent ; on parle de bonne gouvernance. La diplomatie s’affaisse ; l’on prétend la victoire. Les dirigeants s’abattent sur l’argent sale, le lessivent au sein même de la ville intelligente. Les convictions tombent, la police politisée ; on parle de liberté. Le riche pense, le pauvre subit. Révolution de l’Occident interdit en Occident. Fermons les ().
Qui sont ceux qui diffusent subtilement l’hétérophobie, en tentant de nous rendre coupables de notre choix ? L’hétérophobie est d’ailleurs une faute d’orthographe que le dictionnaire numérique propose en contreproposition tendancieuse. Il n’est donc légalement justiciable.
On tente nous annihiler de notre vivant. D’abord, ne comptez sur nos bras croisés, nous livrerons bataille. Il ne fallait pas nous attaquer, monsieur le président. Dites, quel est le statut d’un jeune garçon abusé sexuellement par le prêtre ? Quel le statut de la jeune fille abusée aussi par la conseillère ? Avaient-ils le droit de rester hétérosexuel ? Monsieur le président, ayez le courage de votre nature-cachée et, respectez mon hétéro-sens. Il y a de plus en plus cette tendance à vouloir forcer la majorité, la grande majorité, à se sentir coupable de ce qu’ils sont, de ce qu’ils ne sont pas, de ce qu’ils ne font pas. Je suis hétéro que ça vous plaise ou non, point. Gageons que ceux du paradoxe pointe notre droit comme vice caché, comme insulte, qui ferait augmenter leur nombre par la nature d’un changement refusé.
Si par définition l’hétérosexualité se résumerait à une considération de l’égoïsme. C’est à dire à un besoin humain de ne reproduire naturellement, au service de l’humanité. Ce qui ne consisterait à refuser cette joie du partage qui produit par une liaison naturelle. En quoi veut-on nous rendre coupable de notre conviction, en passant par la diplomatie pour ce faire, et désormais par la voix de ce président qui se prend pour un expert en sciences médicales et en santé mentale. Question que nous posons à notre tour : se cache-t-il derrière la porte de la honte, pour plaider la culpabilité des hétéros ?
Veut-il nous forcer à changer dans nos manières, sur le couvert du bien-être sur une autre plage, cela s’appelle déjà de l’hétérophobie politique. C’est une faute grave contre l’humanité et c’est une lâcheté de la part du président.
Nous sommes à un carrefour où l’impassibilité devient un consentement en soi. Plus tard sera trop tard. D’abord, le harcèlement est devenu politique-légal et le refus de s’afficher non-hétéro devient de plus en plus une agression commentée par ceux qui nous visent du doigt. Si vous êtes un politicien avec un mandat et vous vous affichez comme tel, l’obligation vous est imposée de vous déclarer victime consentante. Sinon, c’est une association devenue-loi qui viendra manifester par-devers vous et vous accuser d’être hétérosexuel. Un harcèlement par agression. Vous risquez alors vous voir dans une photo truquée pour vous forcer dans une direction contraire à vos valeurs personnelles légitimes. Peur sera alors et vous serez illégal dans un monde qui se réclamait de la tolérance et de l’affirmation de soi. Le premier ministre américain est aveuglé par sa nature. Laquelle nous ne saurons le dire. Je suis hétéro. Point !
Le voisin différend par ses vœux, devient de plus en plus le responsable de nos enfants dans leur choix et dans leur reconnaissance naturelle. Mais on nous accuse d’être intolérants. La défense du Noir devient subordonnée à son acceptation de ne plus être hétérosexuel. C’est la voie de ce président arrogant.