Comment traverser en surélévation, ne fait plus partie de la fiction à Montréal, là où il fallait se rendre au cinéma pour y vivre son rêve. C’est la tendance qui rentre en accéléré. Le génie de la cité en évolution réelle par rapport aux permissions des autres sphères de décision du passé. Une question cependant intrigue encore l’observateur dans sa curiosité, d’où vient cette nouvelle impulsion et pour nous mener vers où? Les passerelles souterraines cèderont ainsi le pas à cette nouvelle ambition ici.
Quelle est la valeur réelle de la cité montréalaise dans la projection vers 2035 si la tendance se maintient?
En passant par deux simulations distinctes, la différence serait-elle si évidente en allant vers l’avenir?
Le coût établi sur le pas de porte et sur le patrimoine incluant le développement immédiat, par rapport au coût établi sur les valeurs fictives bâties sur le virtuel dont les bases s’étalent comme s’imbriquent par défaut. Qu’est-ce qui serait donc l’influence dans quinze ans ?
L’évolution de l’intégration de nouveaux matériaux tels ceux des composites dans le revêtement (intérieur et extérieur) apportent une adaptation extraordinaire de ce qui se voyait ailleurs tandis que les règlements municipaux ignoraient même leur existence. Les recherches de l’ingénierie avec la coopération technique et scientifique vont de pair aujourd’hui. Cet effort meuble la compétition.
La mentalité montroyaloise a en effet bien changé, même si le plateau propose encore une forme d’immersion de la verdure et dans la verdure simultanément. En outre, il y a de plus en plus un barrage autrefois inconcevable, qui renfermera le Mont comme un espace réservé au milieu d’une réserve naturelle multicolore en automne et vert au printemps et en été, pour se blanchir en hiver. La fièvre gagnera-t-elle le pari au profit de l’Ouest aussi?
ID Canada / ISSN 2563-818X (En ligne) – ISSN 2563-8181 (Imprimé)