DIPLOMATIE INTERNATIONALE & SOCIÉTÉ
- Denis CODERRE un Ancien Maire Diplomate Disponible par Dan Albertini
- LA SIMULATION FAVORABLE POUR MENER LE QUÉBEC
- Entre (), si le président a été aux urnes sur l’axe défensif en offrant Jo comme président, c’est un grief non un atout défendu. S’il doit faire face à l’offensive de Jo chez lui, s’il écoute Jo, la hochant vertical. La rue parle si on lit le grief, fermons-les ().
C’est ainsi, à la radio, je prenais position en faveur de l’émancipation du Québec, j’ai été plus loin déposant un mémoire. Ben Landry a été l’ultime symbole. Il a pourtant eu une bonne marchandise. Mais, même l’audace de ben Landry tel je l’ai surnommé dans Québec-2001 une nouvelle République au Sommet, accueillant le Sommet des Amériques où le président des É. U. d’Amérique, en l’occurrence Georges Walker Bush eut à dire aux leaders associés présents : «je viens ici pour apprendre, car c’est vous qui aviez l’expérience». Personne ne l’a cru, nous savons tous ce qui s’est passé par la suite avec 9/11. La sécurité ne pouvait alors laisser la place aux amateurs, le Canada a offert des garanties qu’il a tenues. La minute du Québec avait sonné pour enterrer la république imaginaire de ben Landry, il l’avait mis en emballage fissuré. (C’est de là où vient François Legault, le premier ministre croque-morts à Québec).
2002. J’ai signé Salut Jean bye bye ben, Ben Landry dans une impasse Libérale. Je ne voulais pas nécessairement chasser dans les intentions, le PM Bernard Landry ni de faire place à Jean Charest non plus. En effet plus tard, j’ai dit La République de Ben Landry marque des points. En ce temps-là je tenais la chronique sociopolitique pour Journal PAMH. La simulation proposa clairement un changement de matelots et du timonier à la barre (Québec). À l’époque, la mort assistée du plan de séparation avec l’un des derniers acteurs a offert la planche de salut au négativisme affaibli de l’ère.
On ne faillit pas sans conséquence en politique, à ses propres projets. Rappelons-nous, l’affaire des Commandites secoua tout Québec avec J Chrétien, l’empire et la Reine. En outre, le racisme a déçu par les propos de J Parizeau/ben Landry, le soir du référendum des années nonante. Il accusa l’immigrant récent. Incluant vertement tout filii d’immigrant qui n’était pas de souche comme on le dit sur une base raciste stricte : «pure laine». L’affaire a été encore plus loin en proposant en préséances aux anglophones, aux premières nations, des avantages contre les autres que l’on invita à en faire partie du pacte à l’aveuglette. L’indépendantiste doit bien le comprendre, c’est l’histoire. Charest ne fit pas mieux par la suite avec sa diplomatie-Macerola.
C’est en ce sens que bien plus tard, le maire Coderre est arrivé à Montréal avec son projet diplomatique. Il secoua plus que les racines de la ville, mais celles du Québec, et même celles du Canada. Sa diplomatie personnelle puisque de municipalité, porta ombrage à celle du fédéral qu’il connaissait très bien d’ailleurs. C’était un handicap, mais en même temps un spectre en émergence. Une valeur en douane à mon avis !
COVID-19 nous oblige une fois de plus comme en 2001. Québec-Legault ne possède pas les compétences pour sauvegarder la province de la catastrophe ni cette partie du Canada pour stabiliser la lutte du reste du monde. La faille risque de s’agrandir. La primature de croque-morts sans coroner en amont est le délire d’un menteur. Et, Dr Aruda accuse la mauvaise fixation du masque comme coupable après l’avoir renié.
Québec navigue sur le fleuve du délire, nous avons l’urgent besoin du vrai leadership pour ne pas sombrer. La bulle pathogène Legault-Aruda, là où Dubé le défend : «bon latin» de caractère est aveu d’échec. La ministre Guilbault est peut-être confortable en mort covidienne massive après le séjour accommodé au Coroner du Québec, elle a laissé enfreindre la loi provinciale sur l’urgence sanitaire. Un cas d’assises fédérales pour gestion d’une pandémie qui tue. Que dirait E Marcon s’il était son patron.fr ?
Ce n’est pas avec D Anglade (elle n’est pas plus haïtienne que Denis) que le PLQ ira chercher plus d’adhérents. Elle se considère si l’on en juge par sa mimique, malaise d’enfant d’importé, associée à ses p’tits compliments immatures malséants du début de la pandémie à la valse catastrophique en cours de F Legault. Problème de vision, problème de leadership, problème électoral, égal à problèmes de société.
Le Québec canadien a besoin d’une main habile comme Coderre sur un terrain où la France planifie maladroitement une fausse percée nouvelle au Québec. Piétinant les amitiés canadiennes en injectant tant de français mal nourris chez eux, car le nanti vit en France. Ce en région, pour faire balancer la tendance électorale, convertissant canadien-français une fois de plus, et croire faire renaître une ardeur référendaire par une nouvelle toponymie électorale. Influencer les statistiques par le racisme.
Coderre devrait de ce fait prendre la tête du PLQ… la tête du Québec. Salut, Denis !