IRAN 2009 – 2023
- DANS LES AFFAIRES OU DANS LA GUERRE
Si l’OACI perdait des membres, la Corée du Nord, la Turquie, la Russie, la Chine, etc., partis s’allier en faveur d’un autre type d’organisation naissante, puisqu’on semble leur montrer la porte des parias aux UN, cela vaudrait-il pour la gestion des espaces aériens alors en comptabilité différente?
Ceci n’est pas une simulation à proprement parler, il est dans l’ordre du réel avec l’humanité de l’homme pris à refaire tout, même de dire à l’homme qu’il n’en est plus un à condition de se soumettre à la loi de l’autre ou d’un groupe d’autres dont la raison du plus fort est offerte en obligation. En outre, il est plus que probable que le Canada perde le siège de l’OACI avec les nouvelles émergences et les nouveaux pactes non saxons. Pourquoi alors tenter le…, si la réversibilité peut piéger le Canada et jouer contre l’économie?
Il serait temps pour le monde politique de comprendre que la chute de l’un entrainera de fait l’autre aussi, car les capitaux investis sont liés par le marché des garanties et des risques partagés.
Pourquoi Séoul serait plus fiable que Téhéran quand des deux capitales, on tente de s’aligner sur le marché mondial de l’aviation civile de l’OACI ?
Le ministre des AE, Manouchehr Mottaki a-t-il plaidé en vain à cette époque, ou, les Nations au Palais étaient-elles sourdes ou partisanes adverses, l’OACI reste-t-elle un dernier recours de négociation raisonnable ?
S’il est aisé pour les capitales nord-américaines et certaines capitales européennes de se croire encore à l’abri d’effondrement financier, c’est plus qu’un leurre volontaire, c’est de l’obscurantisme, puisque la bourse de ses effets néfastes, par exemple en partant de 1987 à nos jours, il y a eu des désastres parjurant les génies disponibles qui n’avaient pas anticipé que dalle s’ils l’avaient fait, car sans effets, ce sont toujours les citoyens qui payent tandis que l’on prétend les un de dictature autoritaire et les autres de démocratie, mais les effets sont pernicieux en démocratie, le citoyen est ficelé comme une saucisse en attendant des élections prochaines, pour voir les mêmes rebondir au nom de la pseudo démocratie, mais en même temps le retour des autres pose problème dans leur conception. Intolérance, hypocrisie, déni.
Si l’Iran valait mieux, plus?
Son Exc. Manouchehr Mottaki ancien ministre des AÉ iranien en conférence de presse à Genève en 2008 – Illustration : aviation civile iranienne à GANIS-2017
ID Canada / ISSN 2563-818X (En ligne) – ISSN 2563-8181 (Imprimé)