DIPLOMATIE INTERNATIONALE & SOCIÉTÉ Par Dan Albertini
Entre (). Il ne suffit de se faire en intention, le devoir est un impératif. Fermons les ().
Bravo, de mieux en mieux
Je le vois à titre personnel, j’assume. La frappe tant attendue, plus que nécessaire, impérative, Damas n’en croira. On ne joue au paratonnerre dans l’orage. Une frappe conjointe-israélienne eut été une foudre utilitaire. Mieux que Bachar, tel monde a compris le message utilitaire : couvre-feu sur Damas. On rentre en guerre « par le bras armé de l’Éternel », dirait jadis le roi David. On n’extermine pas sans retenue son peuple, sans conséquence. Le centre névralgique, vital de Bachar, doit subir en conséquence de ses inconséquences. Le temps n’est ainsi plus notre allié, mais l’imprévisibilité, si Jéricho doit tomber. Tel est l’indice et le plan aussi.
Couvre-feu sur Damas
Tillerson a pourtant avisé Damas, basta. Le monde tourne à reculons depuis le temps passé du Butlerisme au point que l’assassin s’est vu associé, tout permis. Il croyait l’Administration Trump-Pence sous pression au domestique, donc insolvable sur l’autre piste. Le clan criminel de Bachar sait savoir, dorénavant la coalition peut signifier la foudre israélienne d’une part, d’autre part, la nuit s’annonce ; couvre-feu et silence parisien. Comment interpréter tandis que Tillerson démontre l’autre forme de diplomatie active. Realistic, permettez l’anglicisme. Pas de discours sans action. Immédiate. Pragmatisme ! Situation paradoxale pour Jean-Marc Airault au MAEF, au moment même de la visite du Président chinois, comme pour souligner un accord bilatéral. Pékin approuve de gré ou de force mais aussi, Pékin prend note du sérieux de la Présidence Trump dans le dossier Pyongyong. Acta non verba. Paris se terre dans un silence relatif de surprise. Salomon savait trancher a fortiori en situation délicate.
La fin annoncée de la flibusterie démocrate comme véritable cible politique
Cela a-t-il pris (8) ans avant de comprendre que le vent doit changer tandis que le Butler a fait la promotion d’autre chose. Pourquoi en fait ? Le Président Donald Trump a saisi l’occasion de la Syrie fautive pour rentrer sans conteste dans la principe de défense de la veuve et de l’orphelin, de la victime, contre le dictateur prédateur, pour passer à la modification des règles du Sénat, faire voter un juge à la Cour Suprême. Crée le silence conjoncturel. Ce qui implique de nettoyer la rue, de retourner au travail. Faudra-t-il construire le mur que l’on en construira un avec le trésor du Canada à Justin. Je l’ai dit plus tôt, l’Amérique enverra une part de réfugiés syriens vers nos frontières canadiennes sur demande de prince-Justin qui s’est cru humaniste aux dépens de. Il est parti en guerre inutile camouflée avec la France. Verra-t-on cette forme de détermination dans l’assistance stratégique qui va s’en suivre ? Ottawa ferait mieux réajuster rapidement le discours et ses attaques diplomatiques futiles du terroir voisin en approchant maires et ONG qui ont fait leur temps. Oui j’étais contre l’invasion de l’Irak. La situation est complètement différente ici. Le DNC ferait mieux se refaire une santé.
Frappe divisible
Il ne fait aucun doute que la Corée du Nord devra tirer des leçons. Sa forme de pression n’est plus une action innocente. La frappe est donc divisible en termes d’actions proportionnelles aux menaces. S’il faut attendre une action catastrophique, qui peut évaluer l’impact en termes de déstabilisation, sur l’économie mondiale ? Voyons, la Chine n’épargne Tiananmen ni le Tibet. Elle comprend le langage du couvre-feu élargie. Le tango est en piste, il faut danser !