DIPLOMATIE INTERNATIONALE ET SOCIÉTÉ par Dan Albertini
Entre (). Je ne voulais plus retourner sur le sujet, le sujet Clinton candidate. Mais, par la force de la cupidité de certaines éditions devenues des secrétariats de rédaction, il faut toujours rectifier. Car ne rien dire finit par passer pour la vérité consentie. Clinton est une image forgée qui n’a rien du réel. Les conséquences de la naïveté n’auront d’instrument de mesure que la perte de liberté et le ‘’forçat’’ pour nous imposer le contraire de nous-mêmes. Assoiffée de pouvoir personnel, visionnant l’immense pouvoir que risque de provoquer une certaine reprise économique par la vertu du pétrole finalement libéré, ils sont au rendez-vous, sans scrupule. Absolument rien de l’Amérique que nous aimons tous, de celle pour qui nous contribuons au quotidien. Notre allié c’est notre intelligence. Fermons ().
Les exécutifs locaux
Je savais qu’en mettant en exergue l’importance et le poids constitutionnel des exécutifs locaux, Martelly risquerait de tout faire, tout en son pouvoir pour biaiser, afin de ne pas y arriver à échéancier. Il n’avait vu cet angle mort-là. Il y a là évidemment une potentielle action citoyenne, nonobstant l’incapacité de l’opposition telle que connue, de s’organiser autour. Martelly prend de plus en plus conscience qu’il perdra son emprise sur l’appareil d’état, à court terme. Le temps lui fait défaut, s’il veut conséquemment organiser des équipes locales à travers le territoire pour les maitriser. Un véritable leadership. Ce génie ne se trouve au Champs de Mars, ni au cabinet sur Harry Truman. suite à venir