Quand la CIA Espionne Haïti-Observateur
- POST ÉPILOGUE D’OBSERVATOIRE
Haïti-Observateur espionné de la CIA, tel le prisme étroit qui peut sembler au délire de la quête de sensation à IDC. Que l’on passe par La danse des saltimbanques, le livre de Paul Arcelin, l’ambassadeur haïtien qui parle de mémoire de tous ses couloirs diplomatiques, et autant For whom the dogs spy, quand on considère le beau slogan de l’œil de l’hebdo espionné qui est moins fort par contre, que le chien noir qui tient le journal de sa gueule laissant paraître le titre ‘Haïti-Observateur’. Il y a aussi ce besoin de rendre rond, le carré d’as afin de savoir si prisme il y a, autre nom, ML Bazin arrive à reculons sur lui-même.
Le dossier est fort probablement plus complexe que nous le croyons au point d’adopter le contraire. Loin de la paranoïa ou même de la petite manie, les couloirs diplomatiques de cette République qui a généré tant Clémard J Charles que Ray Joseph et sa co propriété de l’époque, soit Haïti-Observateur devenu même par la main de Duvalier un sujet de convoitise, jusqu’à l’administration gouvernementale des présidents : JB Aristide, René G Préval, et Joseph M Martelly, la question qui reste à élucider est pourquoi, puisque NYC a sa vie.
Aussi sera-t-on étonné d’apprendre que le 3e frère jumeau de ‘lavalas’ en l’occurrence, Patrick Élie a fait plus qu’avouer son appartenance, mais il a fourni des informations utilitaires dans la vérification de ses dires, tandis qu’il était interné à Maryland, pour sa sécurité personnelle, malgré des ordonnances de libération d’un juge. Clé: SK Doe
Patrick Élie avoue lui-même à un journaliste de l’Observatoire, avoir été un pion infiltré dans la CIA, même si le contraire était aussi plus vrai quand H-O devait être en ce temps l’ennemi politique juré de ceux des Américains aussi, pourquoi alors, de la CIA, du KGB, du SIS, du MSS par ce pas, qui se livraient une guerre, avaient lu la présence d’un autre ennemi de H-O, S Beaulieu.
Bazin Marc Ls, réputé être l’homme des Américains au grand dam des duvaliéristes va se faire ministre ainsi, il est en fait la création de Ray Joseph qui était à priori anti duvaliériste par défaut du réformé haïtien vissé à la suite de l’occupation yankee en Haïti (take Haiti by force, de major. McPherson), le mister clean aussi venait de Ray Joseph. Qui est donc Ray Joseph de fait, si CIA il y a?
Collaborateur d’autre lieu et autre temps, le chef de l’Opposition officielle sous Brian Mulroney, Joseph J Chrétien qui était de l’État de siège fédéral sous Bourassa au Québec, était-il au courant que H-O l’hebdo espionné de la CIA, lui rapporterait en influence au point de s’y accrocher par le bureau de G Louis-Jacques, Montréal QC pour l’hebdo, jusqu’à sa victoire? GL-J ne savait rien!
Considération diplomatique en (P.2) qui a suivi celle du mois d’août écoulé, la question s’étend à plus d’un État puisque l’hebdomadaire Haïti-Observateur est distribué depuis le début avec un tirage de 70 000 exemplaires chaque semaine. Haïti, Afrique, France, Canada, Antilles, RD, en plus de la large diaspora haïtienne qui vit aux É.-U., et la CIA.
La première considération a droit naturellement au Canada par le fait de la motion faite en collaborateur d’autre lieu et autre temps, le chef de l’opposition officielle, en l’occurrence, Joseph J Jean Chrétien qui a collaboré de son statut de chef de l’opposition officielle, à sa victoire en 1993, avec H-O, si l’on cite Gérard Louis-Jacques qui a été le représentant de l’hebdo au Canada à cette époque, a occupé de hautes fonctions politiques et ministérielles au Canada, par exemple dans l’État de siège fédéral de PE Trudeau, sous R Bourassa au Québec, pouvait-il ignorer qu’à l’hebdo espionné de la CIA, il pouvait récolter en influence au point de s’y accrocher par le bureau de G Louis-Jacques, Montréal QC pour l’hebdo, jusqu’à sa victoire? Comprenons le par la suite du 11 sept 2001 quand la CIA a récolté de ce prisonnier mineur canadien, détenu à Guantanamo au point que la Cour suprême sous l’Administration de la Justice par JWR, a reconnu les réparations à ce citoyen victime par la faute d’autorités canadiennes qui l’ont livré aux Américains. Pourquoi même Brian Mulroney bon ami de R Reagan, a-t-il préféré fuir le redoutable Jean Chrétien aux urnes?
Qui se servait de qui?
La piste ouverte canadienne est-elle à écarter par la motion Patrick Élie citée en P.2 aussi, qui a avoué lui-même à un journaliste de l’Observatoire, avoir été un pion infiltré de la CIA même si le contraire était aussi plus vrai quand H-O devait être en ce temps l’ennemi politique juré de ceux des Américains associés. Patrick Élie interné à Maryland, a fait parvenir un dimanche à la radio, une copie audio, par un cousin domicilié à l’époque à Saint-Bruno QC, et qui avait son bureau de contractuel de la GRC disait-il, à titre d’analyste informatique, dans le Vieux-Montréal. Alors, pour vérifier ses dires puisqu’il était encore incarcéré pour sa protection disaient les autorités carcérales aux juges, il avait fait foi de ses engagements par le dossier du sergent Samuel K Doe/Libéria, et c’est de là qu’il dévoila la trahison de JB Aristide qui l’a conduit à la prison. Bien d’autres officiels d’Haïti ont été cités dans un dossier de corruption, à partir de DC (Casimir, Longchamp, Chanoine, etc.) et une affaire de femme de la famille rapprochée de René Préval. Le canada pouvait-il ignorer Clémard Joseph Charles, l’ambitieux et réputé banquier haïtien qui visait la présidence, ce depuis 1968, par le ministère concerné à la fiscalité?
Revenons aux ennemis politiques jurés de Ray Joseph qui les cite dans son ouvrage publié sous le titre de For whom the dogs spy, qui sont aussi ceux des Américains et probablement des Canadiens. On trouve le fameux Serge Beaulieu qui aurait été un agent formé en autre au Canada, un infiltré du KGB, du SIS, du MSS et par ce pas, qui se livraient une guerre fatale et féroce dans l’ombre. Si Beaulieu a travaillé pour Duvalier autrefois, pourquoi Ray A Joseph a-t-il alors infiltré Marc Ls Bazin dans le gouvernement de Jean-Claude Duvalier avec comme effet, l’étalage d’un réseau de vols de voitures de luxe démantelé dans les jardins mêmes des Duvalier? La curiosité s’étalait encore plus loin, avec la formule soutenue de Léo Joseph, l’autre éditeur associé qui avait quitté Chicago à cette époque: «selon une source d’un US marshal»
Notre exposé qui soulève des motions trouve sa vocation dans les RI, plus précisément dans la diplomatie qui lie les relations entre les États membres de l’ONU, et selon la convention de Vienne sur les relations (diplomatiques, consulaires), a priori dans une gouvernance globale des États souverains à partir des traités signés, dont ceux des droits de l’homme, de la liberté de presse. Alors, la CIA a-t-elle triché ou est-ce un signe de paranoïa? suite P.32
ID Canada / ISSN 2563-818X (En ligne) – ISSN 2563-8181 (Imprimé)