l’Amérique ne peut pas oser s’avouer en guerre asiatique même chez elle avec Trump

l’Amérique ne peut pas gagner ni mener cette guerre même chez elle avec Trump par Dan Albertini

  • l’Amérique ne peut pas oser s’avouer en guerre asiatique

Ici, en situation réelle dans le cas de la Géorgie, on se rappelle de George Bush braqué de Condoleezza Rice et de Robert Gates [free seaport, airport, all port] avec en prime, Saakachvili qui s’était révélé comme un Zelensky que l’on finira par larguer aussi, tôt ou tard. Juliane Smith m’avait expliqué lors du forum annuel de l’IISS à Genève, à la même place où était passé Kissinger, sous haute surveillance pour cause de menaces suspectes associées à son passé réputé de criminel, lorsqu’il a été Secrétaire d’État de Richard Nixon. Je simule avec Donald Trump, un scénario.


DIPLOMATIE INTERNATIONALE & SOCIÉTÉ

  • Trump doit ôter 2/3 des anges pour garder l’hanse
  • LE TIERS-PROFIT NE POURVOIRA PAS
  • Entre (), Bogota vit encore avec son gouvernement Petro élu malgré des décennies de prédictions de catastrophes sans ses régimes dictatoriaux traditionnels, la paix avec Caracas en faits réels…, fin de (). 

Si j’étais dans les considérations politiques, dans une chronique de politique, plus précisément, américaine non partisane, que dire de partisane, j’écrirais : l’Amérique ne supporterait pas le coût d’une victoire de l’Âne en 2024. En outre, le contexte de cette chronique me presse d’exprimer le même avis en ajoutant ceci : le monde n’a jamais été si menacé, directement par ailleurs. Hélas, c’est une histoire que ne m’arrivera plus malgré les goûts prononcés, si j’étais l’ambassadeur délégué dans la mission permanente de mon pays d’envoi, je demanderais audience sans délai, au chef de l’État en fonction pour lui exprimer clairement cette même crainte en relation avancée, ajoutant : le vieillard a dépassé le stade de la sénilité pour rentrer dans la démence insensible avec action aux effets d’entraînement alarmants. Rencontre qui à priori commencerait par : excellence, si vous ne souhaitez pas de turbulence dans les relations bilatérales, déplacez-moi en mission ipso facto, car le statut d’ambassadeur plénipotentiaire me demande de visiter le chef de l’État d’accueil afin de lui réclamer la raison, en considérant les diplomates étrangers en présence dans le confort de la sauvegarde de l’humanité de l’homme. Comprenez que mon retour sur place m’engage en ce sens avec ce statut de la mission actuelle. Vous récolterez mon expulsion comme persona non grata si les estimations sont avérées en fait, car je ne peux y assister sous le coup de l’omerta pour laquelle je démissionnerais ici même. Il y a néanmoins avec ma conservation le cas échéant d’une part dans vos estimes, et d’autre part dans mes actions sur notre territoire souverain chez l’État d’accueil, le risque de confrontation directe impulsive de sa part. Ceci, c’est un État moins hostile à ma présence, mais aussi soucieux de la sauvegarde de l’humanité de l’homme qui vous conviendrait en transfert post-event, d’autant plus que ma compréhension leur serait utile et salutaire dans leur lecture réaliste en support à leurs diplomates dans ce pays en décadence avancée et aveugle. Lequel pays serait son adversaire réel en puissance et en faculté d’hostilités diplomatiques.

Je dois avouer en écrivant cela, que j’aurais compris que D Trump candidat, serait moins toxique pour les autres États d’envoi comme pour son pays, s’il arrivait à se faire élire une seconde fois délayée où il lui faudrait les 2/3 des anges pour ôter le président du circuit, reprendre l’hanse hors de tout doute dans l’exercice électoral amorcé. Édifié cette fois-ci, sur la méthode roentgenthérapie qui par la luminescence due aux rayons braqués sur son évolution républicaine réelle, l’a fait s’endormir sur l’électorat sans tenir compte du fait de l’adversaire, ce que Pete Brodnitz a esquivé en simulation d’entrevue avec nous, lui a fait perdre de vue le vrai de l’arithmétique électorale en 2020, avec une clientèle de l’économie Avon étourdie.

Je sais aussi par option nationaliste, que je devrais accepter de suite après la victoire du candidat D Trump, le transfert vers un autre État d’accueil afin de mieux servir les intérêts de mon pays. Cependant, je suis journaliste avec une chronique particulière aux effets de société et de diplomatie internationale, je me sens libre dans la rigueur.

J’ai à l’occasion sur d’autres colonnes, traité du sujet Trump en lui signifiant son pas à proximité de la défaite jusqu’à cette réalité (Haïti-Observateur). Il devait en ce sens, et il a payé à mon avis. En outre, contrairement à la presse fanatisée dressée contre Donald Trump, arguant que les accusations suffisent pour étouffer sa candidature, ce qui n’est encore le fait avéré, je crois que la situation de Lula da Silva réélu après les années d’internement jusqu’à sa relaxation, démontre le potentiel de Trump en 2024.

Ici, en situation réelle dans le cas de la Géorgie, on se rappelle de George Bush braqué de Condoleezza Rice et de Robert Gates [free seaport, airport, all port] avec en prime, Saakachvili qui s’était révélé comme un Zelensky que l’on finira par larguer aussi, tôt ou tard. Juliane Smith m’avait expliqué lors du forum annuel de l’IISS à Genève, à la même place où était passé Kissinger, sous haute surveillance pour cause de menaces suspectes associées à son passé réputé de criminel, lorsqu’il a été Secrétaire d’État de Richard Nixon. Je simule avec Donald Trump, un scénario.

ID Canada / ISSN 2563-818X (En ligne) – ISSN 2563-8181 (Imprimé)