DIPLOMATIE INTERNATIONALE & SOCIÉTÉ par Dan Albertini
- Attaque.l Trump-euse en Irak Est en hostilité contre
- LA DIPLOMATIE FRANÇAISE AU DÉTROIT D’ORMUZ
- Entre (), imaginez un fou hors de l’asile. Guaido se veut président du Venezuela, président du parlement. Président de sa femme ne lui suffit plus, il l’avait livrée à D Trump. Fermons ().
Après la distribution de friperies dans les cartiers de Noirs à Paris-banlieue par des habits militaires américains, le véritable sens de la frappe Trump-euse tuant le général Soleimani est d’ébranler la diplomatie française qui s’évertue à diluer le drame du détroit d’Ormuz visé par le «mein kampf[iste]» de Donald J Trump pour affaiblir le tronc des É.U.. Certains proches de Vladimir Poutine ne comprennent même pas pourquoi le président américain en poste veut la honte de l’Amérique comme dévolu personnel. Interférer oui, mais déstabiliser à ce point non, car ils craignent un effet boomerang imprévisible. Il ne faut surtout pas se Trump-er sur le sujet, la seule option en accéléré se trouve entre les mains de la cheffe de la véritable représentation directe du peuple É.U-nien, Nancy Pelosi en l’occurrence, leader assermentée du Congrès, généralement appelé speaker of the house. C’est de dégager le personnage de Trump de la présidence, après les preuves irréfutables et les élans insensés à reproduire la même vieille formule de la camorra : le chantage et la menace pour collecter.
Nous savons que la France éprouve énormément de problèmes structurels, mais l’urgence est ailleurs, l’impératif est de sauvegarder la paix fragile qui fait l’objet d’assauts répétés du clan mafieux qui monnaye ses interventions illégales au gré de sénateur Graham-McConnell. Jusqu’où devra-t-on craindre le mal, les deux derniers «Mr. speaker», en l’occurrence Paul Ryan et John Boehner, l’ont explicitement déterminé. Mais jusqu’où doit-on craindre le pire, même Moscou craint l’ignorance avec un fou dangereux à la dérive.
La crainte de représailles est réelle. Les ressources déployées sont inadaptées d’après la simulation de l’observatoire du dies (opérée depuis 2013 et répétée en 2015). Les facteurs et indices associés ne démontrent pas une connaissance de l’enjeu ni un esprit de prévention, que dire d’intervention. Il est évident que l’effort le plus louable ne suffira pas (7) ans après, pour protéger le citoyen américain de grandes villes, et la menace s’étale aux États puissants occidentaux aussi. Le mal cette fois-ci viendra par l’eau à notre avis, basé sur une lecture de l’observatoire, en matière comportementale. Le drame c’est que la catastrophe si elle arrive (avec la nuance des saisons, bien que la simulation démontre une plus grande vulnérabilité en hiver), le l’armée ne pourra rien et la sécurité civile sera d’autant plus affaiblie. Si aucune autorité n’y prête attention aujourd’hui encore, le jour où cette conscience sera, la première victime sera le citoyen ordinaire dans sa vie comme dans sa profession (commerce). Seule la diplomatie peut non seulement et encore dissuader, mais offrir une vie d’espoir au facteur.
La France entière même dans son opposition a intérêt à diluer ses revendications comme à ajourner ses manifestations. Toute erreur en ce sens est regrettable, mais trop tard. Ce n’est pas en agression, mais le Gilet jaune devrait aller mesurer son savoir d’activiste à Hong Kong, en même temps inviter cette coopération de l’île du Pacifique à venir étudier à Bordeaux comme échanges culturels rentables et pacificateurs, au lieu d’affaiblir le pouvoir qui se démesure dans une bataille contre la folie mein kampfiste de Donald J Trump exprimée par le slam rapporté : «constitution ‘doesn’t matter’ because he’s’rich’»/MSNBC. (la constitution ne compte pas, parce qu’il est riche). Le président Macron a besoin d’y répondre de fait.