É.-U. ne peut pas gagner ni mener cette guerre avec l’erreur de se surestimer […] sous-estimé l’émule

l’Amérique ne peut pas gagner ni mener cette guerre

  • avec l’erreur de se surestimer quand elle a sous-estimé l’émule visé
  • par Rédaction

Est-ce l’obsession, l’ardent désir au point de perdre la raison dans le cliché. Non, nous sommes, dans les archives de l’observatoire du dies élaborées de prévisions, il y a deux décennies. Nous sommes dans le vase de cette Amérique, bien qu’au Canada, mais le vrai visage de Kamala a menacé des pays sur leurs droits.

Il n’est plus nécessaire ni obligé en 2024 de soutenir une thèse ou en rassemblant des mémoires pour démontrer, non ab absurdo, mais de fait que les É.-U., ont perdu le contrôle de leur propre machine, que le canevas américain pour les autres Nations n’est pas la démocratie prônée, que partant de Bagdad en passant par Damas-Tripoli pour aboutir à Kiev, sont une preuve de chute du rêve né du May Flower. De Trump à Biden où celui-ci vient de démontrer ses émotions irlandaises et non américaines et celui-là ses ambitions d’être l’empire lui-même, démontre les deux réalités irréconciliables, et en guerre intestine, avec d’énormes ressources prêtes à se faire la guerre, ‘comme des damnés’ disait-il. Dans ce numéro en cours, l’Édition soutient que : Obama-Biden est l’apéro de Biden-Harris qui croit qu’il suffit de crier plus fort que Donald Trump pour changer l’avenir du monde. Hélas, le vieillard trébuchant s’en va vers une impressionnante vue  tellement différente que son fils à protéger ne suffira pas à l’Amérique pour la définir en une nuit à DC éculé.

Comment faire la guerre ailleurs, et contre la Chine en se cachant derrière Moscou?

Mais avant tout, nous reprenons un extrait de : l’APRÈS DONALD TRUMP ET LA MISÈRE DES DÉMOCRATES par Dr J. Gérard Kennedy Alcius Les spécialistes de la science politique ont souvent fait mention de cette tendance et de ce penchant américain pour un certain «isolationnisme» : la société et la culture américaine seraient davantage repliées sur elles-mêmes et peu enclines à s’intéresser au sort des autres nations. Il y a sans aucun doute du vrai dans cette assertion même s’il faut demeurer prudent et ne pas accorder une portée trop radicale à ce genre d’affirmation. Malgré quelques épisodes terrifiants comme la crise des missiles à Cuba et l’exigence universelle d’avoir à affronter le règne de la nécessité (économie prospère), on peut sûrement affirmer, pour faire bref, que l’Amérique a représenté au 20’ siècle une société «passablement» heureuse tout en servant de modèle quasi universel à toutes les autres sociétés existantes. Mais comme toute société, les États-Unis d’aujourd’hui sont également les héritiers d’une histoire parsemée de violence, de misère, de discrimination et d’iniquités – à l’intérieur comme à l’extérieur : comme toute société, les États-Unis ne peuvent effacer les zones d’ombre qui hantent son histoire.

l’APRÈS DONALD TRUMP ET LA MISÈRE DES DÉMOCRATES par Dr J. Gérard Kennedy Alcius

Cela nous permet d’emblée de dire que la première erreur des É.-U., est de s’embrouiller sur son premier contraire à moins d’admettre qu’elle se bat pour la seconde place avec un ancien rival qui ne lui cédera pas le pas ni le pavé, mais le force tant à se commettre en erreur multiple. En effet, le rêve du vieux continent a toujours été de contrôler l’électron libre parti et perdu. S’il y a un ennemi invisible, c’est plutôt l’Europe, ancien empire disloqué, jamais révélé de ses ambitions, que cette Amérique a humilié autrefois, et se croit supérieure à traverser le temps.

Comment mesurer le poids américain chez lui et ailleurs alors : réponse éloquente!

Che Guebara les États-Unis d’Amérique ont perdu ou gagné la bataille – Che, une icône qui se vend à New York sur t-shirt tandis qu’à La Havane, le dollar, la Ford ancienne, font trésor. Cuba a-t-elle perdu sa révolution quand l’Amérique répond aux attentes par Obama tandis qu’à Cuba c’est encore Castro ou Castro, après Castro.

Un dossier à venir

Traité par des journalistes correspondants aux Nations Unies dont Maria de los Angeles Simon Rodriguez, correspondante cubaine de l’ère Castro, un journaliste qui a vécu l’affaire du jeune Cubain Eliàn Gonzalez, en reportage à Cuba et Dan Albertini qui avait tracé le profil d’une victoire Obama, depuis avril 2008, et, qui pose aujourd’hui la question des concordances de ces grandes révolutions. Il présentera aussi des personnages clés des débuts de Castro, avec la probabilité des sons recueillis par une journaliste dans la jungle bolivienne, datant des dernières minutes de la vie du Che. Int/14-09-09 int che gebara les americains (reseauhem-archives.ca)

Ce sont des considérations tirées de l’Observatoire du dies depuis plus de dix ans.

Blinken secrétaire d’État pas plus que Chris Murphy, sénateur du Connecticut depuis la démission de Lieberman, il n’y a pas de compétence au Département d’État avarié par le boniment d’Hillary Rodham Clin-tox épargnée.

Seconde erreur, avoir sans cesse envoyé le mob casser plier piller partout au monde, taxant de terrorisme de communisme, in fine, affamé NJ.

New Jersey de l’abnégation étalée après l’ère de la mafia italienne, suit la perte des 8/24 de New York qui s’est réveillée en pleine nuit pour surveiller D Trump accusé. Rien n’apaise le drame de: New York Times 2 ans après les grandes menaces de faillites

Il ne faut plus penser il faut tout simplement consommer. Sinon, le géant américain s’affaissera plus tôt que prévu. C’est ce qu’on semble craindre dans les hautes sphères de la politique américaine, mais c’est ce qu’on constate à New York et c’est ce que le New York Times n’a plus l’exclusivité de dire sur les autres. …

New Jersey, voisin affadi,  pèse lourd dans la peine de l’empire du déni qui s’est invité D le dealer extraverti.

ID Canada / ISSN 2563-818X (En ligne) – ISSN 2563-8181 (Imprimé)