La Grande Faille UBS-Crédit Suisse – ‘UBS’ Culprit, tel titre publié en 2009 / par Dan Albertini

DIPLOMATIE INTERNATIONALE & SOCIÉTÉ

  • La Grande Faille UBS-Crédit Suisse
  • ‘UBS’ Culprit, tel titre publié en 2009
  • par Dan Albertini

Entre (), …connaissez-vous quelqu’un quelque part dans le monde qui n’a jamais gagné la cause de la raison d’État, telle est la célèbre phrase dans le film d’André Cayatte c/o Jean Curtelin qui fit l’objet de rétention sémantique dans la mémoire de plus d’un au point de la citer. Si vous avez un État qui ne prend pas soin de ses bourses de ses douanes donc, de ses valeurs en, de ses épargnes, que dire de biens mal acquis qui profitent, c’est qu’il n’est pas du monde moderne réel. Ce n’est pas un souhait ni une maxime préférée, c’est la lecture réaliste qui me permet de comprendre là où je mets les pieds avant de peser sur le sol. Certains préfèrent l’angélisme, fermons-les ().

‘UBS’ Culprit, voici l’extrait du titre publié en 2009 avec Réseau HEM US alors que le Crédit Suisse passait pour un joyau, la Suisse paya afin d’éviter par anticipation. Et, quatorze ans plus tard, la grande coupable avale le joyau ? Il faut sauver l’autre joyau du système bancaire suisse tellement convoité de par le monde. Autre époque, autres mœurs ? Cette Suisse qui paraît si tranquille gère pourtant les affaires de colosses, de pauvres, de guerriers, d’escrocs… etc.

UBS CULPRIT ACCORDING TO THE PRINCIPLES – The Helvetian Bank sinned against the interests of all the Americans. When we consider the economic problems due to the frauds, the scale is considerable, the consequences also. A federal arrangement can include the individual rights until the level of the citizen?

However, when we take into account the reliable level which existed, the bank took advantage of it to deceive in a systematic way. It is unbearable and liable to penalties. UBS deceived deliberately every American. Such a scale probably owes concerned more than an institution. The Swiss could not so ignore what was made in the illegality.

The presence of the State at the highest level in the negotiations is a sufficient (self-important) proof.

The American treasury has to go into the depths of the affair (business).

Switzerland cannot be considered as an appropriate (clean) State in the relations as in the principles. The question which remains justifiable is : what she (it) would not have made and, during how long ? What would be the price (prize) for us?

When the Swiss exults at home to have made a success of a big diplomatic blow in the negotiations, it demonstrates their level of bad faith. It is necessary to take into account it, it is a great disappointment. Our country has the duty to search farther to know if this fraud got (touched) the other friendly countries.

Otherwise this pendulum could return to us by circumstances. It is thus the law of the rigour.

Ceci n’est pas sans rappeler aussi une rencontre particulière dont voici un extrait:

ASSOCIATION SUISSE DES BANQUIERS

Genève, c’est la rencontre annuelle de deux importantes associations : les banquiers suisses et la presse étrangère en Suisse. Les intérêts divergent, les spécialistes se courtisent, l’un veut rassurer et informe tandis que l’autre s’informe pour mieux informer. Leur cible se confond en ce qu’on appelle dans le langage du milieu : le consommateur. Celui-ci, d’après la nature de l’objectif visé, se trouve tout aussi en Suisse que dans le fin fond de l’Asie, de l’Amérique et même de l’Afrique. La presse étrangère a donc un beau rôle, un important rôle à jouer dans ce canevas de rencontre annuelle. De quoi s’agit-il donc?

Les termes sont complexes, les spécialités sont nombreuses, mais les nouveaux défis sont énormes, non seulement en termes de spécialités financières, mais depuis la canicule terroriste du 11 septembre 2001 à New York, en termes de chasse aux sorcières. La Bush list en dit long à ce sujet.

Pierre Mirabaud, président de l’Association des banquiers s’est donc adressé aux journalistes en termes de défis que les banques actives sur les marchés globalisés vont devoir relever tandis que les membres de la presse ont carrément préféré le créneau blanchiment d’argent en passant par l’argent des dictateurs pour aboutir aux comptes secrets, le compte anonyme à numéro. Pur scénario de Hollywood dit Pierre Mirabaud qui laisse sceptique tout de même, plus d’un correspondant étranger. Corée du Nord, Nigeria, Cuba…, etc. toutes des évocations qui laissaient un Pierre Mirabaud indomptable, référant aux commissions fédérales, comme une affaire de politique de préférence que de gestion financière.

Pierre Mirabaud a longuement exposé auparavant en termes de gestion de fortunes, de présence internationale, de Bourse, de pétrole, mais surtout d’expertise de la spécialité suisse qui se trouve au cœur de NY, au centre de Dubaï, même à Hong Kong, mais et, surtout en tête après Londres en matière de négoce international. Il renchérit sur le fait que nous citons : le programme de Nations Unies pétrole contre nourriture à destination de l’Irak a, par exemple, fait fleurir de nouveaux intermédiaires qui ont choisi Genève comme résidence.

Nous y voilà en 2023, le scénario des gestionnaires de richesses ramène au tableau de ces bourgeoisies de…avec un déficit chronique au point de vouloir changer de souliers sans changer de pointure.

Pourquoi y revenir si ce n’est de la jalousie diront ces bourgeois qui se veulent philosophes, intellectuels, mêmes aristocrates pour certains.

Que cache cette perte de crédits anticipés si ce n’est une autre opération suspecte à venir, quand les É.-U., traversent des turbulences jamais vécues comme le disent tous les anchorman comme les politico de tous acabits.

Cela fait-il partie de la Globale Gouvernance ?

Quand Ki moon disait à [DAVOS, BAN KI-MOON PLAIDE EN FAVEUR DU `MILLIARD DES PLUS DÉMUNIS – New York, Jan 25 2008 12:00PM – « Pas sous nos yeux », a lancé aujourd’hui le Secrétaire général Forum économique mondial de Davos, alors qu’il parlait des 10.000 enfants qui, chaque jour, meurent de maladies souvent évitables. Ce que nous y avons soulevé alors].

[En septembre, a ajouté le Secrétaire général, une initiative avec les dirigeants mondiaux permettra de réunir au plus haut niveau un sommet sur les Objectifs du Millénaire pour le développement, particulièrement tourné vers l’Afrique.

« Nous devons redonner de l’énergie aux engagements mondiaux pris en faveur des objectifs du Millénaire pour le développement (OMD) », a-t-il insisté].

Si UBS, de cette époque a été reconnue coupable par rapport aux É.-U., qui triment en dette déplafonnée aujourd’hui tandis qu’elle avait les mains dans les affaires de dictateurs réputés comme tels depuis le temps de la confiance, qu’en est-il de ce pas de fusion CS?

Combien de fois Ki moon s’était-il rendu en Suisse en discuter avec : Hans-Rudolf Merz, Moritz Leuenberger, Micheline Calmy-Rey. Continuité avec Guterres ?

Où sont les pays pauvres qui s’en sont sortis par la grâce d’une aide, de la coopération sinon qu’on leur en prit encore plus ?

Si Gasparini, journaliste enquêteur argentin a fureté au dossier Kirchner-Menen depuis la Suisse et l’Argentine d’où sa documentation impressionnante de liens démontrés avec des procès qui citent le prochain guichet-joyaux de la Suisse, pays dans lequel, tout citoyen est en fait un banquier quand il dépasse le virtuel. Le coffre-fort, la rétention quotidienne  de sommes énormes de crédits de créances, et UBS?

Photos: Gasparini, ave des drapeaux UNORG; fiche de la charge de l’Autorité américaine des échanges. L’ex-exécutif de Siemens a plaidé coupable pour $100 millions pour stratagème de corruption transnational. Ce montage financier est-il passé par l’UBS, et qui aujourd’hui…?

Photo: le lac de Luzerne de la ville si calme du pays de même réputation cache pourtant les secrets si bien gardés, avec l’or du monde en garantie. C’est la garantie suisse où chaque citoyen est un banquier personnel potentiel en veilleuse pour se garantir la culture de ces bourgeois qui finissent par avoir l’air d’aristocrates fortunés qui gèrent richesse et diplomatie des bons offices.

ID Canada / ISSN 2563-818X (En ligne) – ISSN 2563-8181 (Imprimé)