DIPLOMATIE INTERNATIONALE & SOCIÉTÉ
- Si Taubira est la Façon de Rêver la Parafrique
- LA FRANCE OSERA-T-ELLE CE RÊVE par Dan Albertini
Entre (), RD, est-ce la bulle fictive de développement au point où elle se confond au Chili par rapport aux millions qui ne sont encore volatilisés comme d’habitude par la corruption dénoncée à même les campagnes électorales : Fernandez I-II, Abinader ? Pourquoi la vendre comme modèle de vertu alors sur le dos d’Haïti ? Fermons-les ().
Macron parle de l’Europe telle une fin en soi du vieux monde pour redéfinir le monde évolué si l’on ne faisait rien de son côté. Est-ce le Sarkozy-II (2008) qui sue la perte à la tête de l’UE (avec conflit russo-géorgien et pré-régression de Mirek Topolanek le Tchèque 2009). La nuance, Macron part du conflit russo-ukrainien post-présidence de la Slovénie européenne, sans pacte de retour d’élu, quand Kaja Kallas, la 1e ministre estonienne réclame la fermeté contre Poutine. Je note ici qu’avec la notion de multi pôles où la France serait présente, laquelle exprimée en août 2019 à l’occasion de la conférence des ambassadeurs. Macron alors, est-ce le bon aviseur qui s’édifie du glas de l’Afrique, et le Russe aux portes suivant le millénariste chinois agissant ? En effet, Macron 2022 ne peut revendiquer de victoire contre le Russe. Sarkozy : telle image !
Paris renaîtra-t-elle cette fois-ci autrement que de sa gloire de patrimoines ou ravagée de poussières comme la vieille tombe d’un pharaonique d’Eiffel, avec autre forme de virus. Tel celui du racisme hexagonal avare ? Voici en lecture le portrait du discours de la conférence des ambassadeurs du 27 août 2019, dont des pistes multiples du macemm et le manu-tisme en bourse à 11M : Brexit, trahison, Chine, revers, Afrique, émergence, intérêts, influence, Poutine, France, valeurs.
(M est Macron, macemm est Macron Emmanuel, manu est l’ex-citoyen ami évadé)
Simulons la mine de l’observatoire avec sept diplomaties amies conviées à l’aréopage. Haïti, Rwanda, Israël, Russie, É.-U., Liban, Argentine, leurs liens multilatéraux aussi. Le rendez-vous pris via 2019 pour 2030 avec poste d’observation en 2022. Où sont-ils à cet effet : ami, juge, perdu, le lecteur tirera ses conclusions. Voici E Macron alors :
«Le rapport au monde, je crois profondément, irrigue la nation. Et donc, je ne veux pas voir nos échanges comme une discussion qui serait en quelque sorte à part du reste du cours de notre vie, mais plutôt dans la cohérence profonde de ce que nous sommes en train de faire» […], «C’est pourquoi en toute chose, je voulais très rapidement partager avec vous au fond une espèce de tableau rapide du monde et de ses désordres et dans ce contexte, de nos priorités». L’UE est-elle placée si sécure ?
Brexit. Macron a cru retenir, mais il perd Londres : insécurité financière et globale. Il avait d’ailleurs gardé la Livre sterling, et forte, signe précurseur pendant les (47) ans.
«Parce que je crois que c’est ce qui très profondément doit inspirer notre action en France, en Europe et à l’international».
Scolie. La priorité française était-ce en prime le Brexit, ou la peur du Brexit, c’est un fait, la défaite française. Tel tableau voisin tel tableau du monde ? Ce désordre persiste ! Lisons : Israël est à Jérusalem, Kigali est coopérant revendicateur satisfait, Haïti en est si satisfait d’un paresseux emprunté à l’Académie française que l’INAGHEI dort. Les grandes écoles de Macron sont-elles en berne sinon où est le résultat du discours, c’est ici une piste d’essai pour l’observateur même peu averti. L’Euroécole reste si piégée. La France le savait-elle depuis ?
[Allez donc interroger Dr Liam Fox (1961, East Kilbride Écosse), politicien britannique conservateur qui était au IISS-2010. À East Kilbride avant de poursuivre ses études en médecine à l’université de Glasgow, nommé MB ChB., est médecin généraliste. Élu en 1992, est en 1993 assistant parlementaire de Michael Howard, puis ministre de l’Intérieur. En 1997, sous-secrétaire d’État aux Affaires étrangères. Paris savait ?]
Macron : «Nous le vivons tous ensemble ce monde et vous le connaissez mieux que moi, mais l’ordre international est bousculé de manière inédite, mais surtout avec, si je puis dire, un grand bouleversement qui se fait sans doute pour la première fois dans notre histoire à peu près dans tous les domaines, avec une magnitude profondément historique».
Redisons-nous là, le Président des grandes écoles s’adresse soit du ronron diplo, de l’édification savante au diplomate. Effet de causalité en aval, ceci peu importe le tas en amont. Il nous faut donc, même avec peu de discernement, dégager: réussite échec.
«C’est d’abord une transformation, une recomposition géopolitique et stratégique. Nous sommes sans doute en train de vivre la fin de l’hégémonie occidentale sur le monde. Nous nous étions habitués à un ordre international qui depuis le 18e siècle reposait sur une hégémonie occidentale, vraisemblablement française au 18e siècle, par l’inspiration des Lumières ; sans doute britannique au 19e grâce à la révolution industrielle et raisonnablement américaine au 20e, grâce aux 2 grands conflits et à la domination économique et politique de cette puissance».
Scolie. Ramenons le Brexit effectif, échec : Delors-Maestrich, puis la magnitude a-t-elle augmenté en 2022 ou, s’est-elle calmée ? Les bouleversements sont-ils exogènes strictes, ou avec Zeymour qui prépare Bolloré, indoor aussi ? Et, pour être réaliste, il a usé du mot «inédit» que nous retenons, et revisiterons plus loin au point influence. Est-ce en fait : saturation ou émergence, de, et le cycle qui définit l’éminente fragilité des limites de la pensée primaire humaine ? Alors, Macron ne peut prétendre plus d’actions que de bruits de calèches sinon des rêves de l’incapable. Pékin a avancé en dépit de tout quand la Grèce n’est que feu de paille de dieux esseulés. Ses six mois ne suffiront pas à refaire le monde si turbulent si l’on considère Poutine & Biden filius.
Trahison. Macron a hélas jeté aux É.-U., le blâme de l’Occident afin que Paris faible indue soit de valeur française depuis les lumières déchues, vivantes. Covid en parle !
«Les choses changent. Et elles sont profondément bousculées par les erreurs des Occidentaux dans certaines crises, par les choix aussi américains depuis plusieurs années et qui n’ont pas commencé avec cette administration, mais qui conduisent à revisiter certaines implications dans des conflits au Proche et Moyen-Orient et ailleurs, et à repenser une stratégie profonde, diplomatique et militaire, et parfois des éléments de solidarité dont nous pensions qu’ils étaient des intangibles pour l’éternité même si nous avions constitué ensemble dans des moments géopolitiques qui pourtant aujourd’hui ont changé. Et puis c’est aussi l’émergence de nouvelles puissances dont nous avons sans doute longtemps sous-estimé l’impact».
Scolie. C’est le même big qui de sa posture de président dont on le saisit dans «monsieur le président, pas manu», s’étale dans la pure tradition du player sweet miky au point où l’on se demanderait si l’ambassadeur qui y découle ne lui eut pas soufflé le tic de meringue pathogène de bassecour contre les concitoyens. Oh, Europe si É.-U.
Chine. Macron a cru négocier sur le modèle éculé de Carrefour là-bas, mais perd encore plus de terrain en 2022 que de l’époque Sarkozy rêvant de domination.
«La Chine au premier rang, mais également la stratégie russe menée, il faut bien le dire, depuis quelques années avec plus de succès. J’y reviendrai. L’Inde qui émerge, ces nouvelles économies qui deviennent aussi des puissances pas seulement économiques, mais politiques et qui se pensent comme certains ont pu l’écrire, comme de véritables États civilisations et qui viennent non seulement bousculer notre ordre international, qui viennent peser dans l’ordre économique, mais qui viennent aussi repenser l’ordre politique et l’imaginaire politique qui va avec, avec beaucoup de force et beaucoup plus d’inspiration que nous n’en avons. Regardons l’Inde, la Russie et la Chine».
Scolie. L’époque de Sarkozy a vu et constaté l’industrie lourde française exportée là-bas en Chine, adaptée aux nouvelles technologies pour alimenter même Paris. L’Inde par exemple, avec l’industrie automobile française qui se testait et est vue perdre en faveur de Tata Motors. Macron n’a pas su signer ni ici-là en Asie l’amie du Russe.
Émergence. Macron n’a pas su contenir l’Inde ni l’Afrique en 2022, tel que postulé lors de la conférence des ambassadeurs qu’il se savait bien édifié (je certifie, dit-il).
«Elles ont une inspiration politique beaucoup plus forte que les Européens aujourd’hui. Elles pensent le monde avec une vraie logique, une vraie philosophie, un imaginaire que nous avons un peu perdu. Et donc tout ça vient nous bousculer très profondément et rebattre les cartes».
Scolie. Le revers n’est pas seulement dans l’énumération des 11M, mais la logique d’ensemble est intimement liée. D’où, la crainte dite étudiée de Macron, comprenons-le dans l’aspect politique local pour son électoralisme, a cru devoir amplifier au lieu de gérer. En outre, une fois de plus, ce qui va à l’influence, le calcul asiatique. Ceci me pousse à évoquer cela, venant de Macron :
«Fini le temps où on expliquait à nos concitoyens la délocalisation, c’est l’ordre des choses, c’est une bonne chose pour vous. Les emplois vont en Pologne ou en Chine, au Vietnam et vous allez retrouver le … on n’arrive plus à expliquer cette histoire»
Afrique. Macron a dû signer les fautes de Paris à Kagamé afin d’élaborer le dialogue, évidemment on ne sait pas de quelle France il s’agit si Sarkozy flâne, là.
«Je ne parle pas évidemment de l’émergence africaine chaque jour confirmée et qui se traduit aussi là par une recomposition profonde et j’y reviendrai aussi. Le risque dans cette grande bascule se double également d’une bascule géopolitique et militaire, nous sommes dans un monde où les conflits se multiplient et où je vois 2 principaux risques».
Scolie. Si ce n’est pas «inédit», et ce pourquoi je soulève en titre essentiel la note sur le rêve Parafricain et la question sur Taubira dans le cadre du rêve américain réalisé en 2008 (que nous avions exprimé depuis fin avril 2008). il est important de regarder sur le vecteur où Napoléon n’a su en 1803. L’autre curiosité africaine demeure le fait que dans le cas de l’Amérique de 2008, le rêve était un sénateur né de territoire d’outremer des É.-U., moulé de grande école de Droit. En France à ce tournant, l’ambition porte le nom d’une femme, déjà élue députée et autre, dont la loi éponyme votée en 2001. Ancienne Garde des Sceaux cette fois-ci, née de territoire outremer de la France. Moulée en sciences économiques, sociologie, ethnologie. Grande adulée aussi de la Parafrique en développement. Macron l’a-t-elle vue venir, quand au timon rotatif de l’Europe, il parle de lois punitives réelles sur le discours haineux, tandis que la France originaire du Code noir qui piste aujourd’hui encore des souverainetés pour atteindre ses colonies appelées ‘territoire outremer’ sans assumer de réparation a minima. Oh, le mal fait qui a vu la fortune, celle de l’Europe de la déshumanisation.
Macron : «C’est aussi pour ça que nous avons décidé que l’innovation sera le thème majeur du sommet Afrique-France que nous accueillerons à Bordeaux en 2020. C’est une manière de prendre acte qu’au fond demain se prépare en Afrique, et avec les Africains».
Scolie. Sa rencontre Afrique-France (France-Afrique) a lieu en 2021 et non en 2020. Le destin dira si c’est un subterfuge pour pallier à ce que d’abord Pékin, ensuite Moscou se réserve de dévoiler parmi les rimes cachées de l’Occident en Afrique.
Influence. Macron dit «inédit» cité plus haut par le monde qui change, les empires qui disparaissent, aux dépens de l’amitié É.-U., il offre en quelque sorte l’Asie Indo-Chine comme valeur nouvelle à courtiser.
«Le dire est une chose, quelle part avons-nous à prendre ? Nous pouvons décider d’en être les spectateurs, les commentateurs. Et je pourrais m’arrêter sur ce que je viens de dire. «Et au fond de dire : nous allons continuer la même action en France et la même action diplomatique dans ce contexte. Cette stratégie de la prudence ou de la poursuite des habitudes parce qu’on peut d’ailleurs suivre cette voie sans considérer qu’on est prudent. Si on continue à faire comme avant pour le dire autrement, qu’on soit d’ailleurs une entreprise, un diplomate, un ministre, un Président de la République, un militaire, tous ici dans cette salle, si on continue à faire comme avant, alors nous perdrons définitivement le contrôle. Et alors, ce sera l’effacement».
Scolie. Sur la notion de l’effacement comprise depuis le discours de 2019 précité, quelles sont les réussites de sa démarche qui ne tenait même pas aux ‘gilets jaunes’ au point où il insultait les chômeurs au milieu de ses privilèges présidentiels. Paris la citée est de la nature du siècle si dépassé, même par les plats Barbarin-Preynat.
Macron a-t-il compris que les plats de Barbarin-Preynat, Lyon font partie aussi de cet héritage français doté à ses enfants, lesquels enfants n’arrivent pas à trouver équilibre et justice ni réparation et honneur perdu. Dans cette Europe aveuglée et aveugle sur les méfaits de certains, mais pénalisant la misère du faible. Aussi dit-il et je cite :
«Fini le temps où on expliquait à nos concitoyens la délocalisation, c’est l’ordre des choses, c’est une bonne chose pour vous».
Scolie. Ne le fait-il pas en disant : «croyez-moi», malgré le savoir de ses diplomates !
[Que représente la recette de la France à manu, mesurée à Londres ? Illustrons avec Oksana Antonenko de l’IISS-2010, experte du contrôle de risque pour la construction d’engagements stratégiques (clients de grandes corporations, et d’investissement client dans l’évaluation, l’administration de politiques de risques, des opportunités. Développeur de base de rétention de relations client à un niveau senior à travers l’Europe, en Afrique, étalée sur plusieurs années d’expérience. Avisant le faiseur de décision senior – Secteur public et privé autour du monde]. Les prémices d’août 2019 de Macron aux ambassadeurs français, incluant ceux de l’Europe par association ne répondraient tout simplement pas à un audit en 2022 pour l’Ukraine ambivalente. Je note : la prise en charge de la présidence rotative de l’Europe n’est pas la tombola.
Entre obéissance et collaboration
Intérêts. Macron savait qu’il serait de la présidence rotative quand il a parlé de ceux de la France contre l’amitié américaine en comptant sur Trump, le croyant invincible. Mais il s’est vu reaxé sur Biden malgré Hubert Védrine en interview, en mai 2021.
«Je peux vous le dire avec certitude. Nous savons que les civilisations disparaissent, le pays aussi. L’Europe disparaîtra. L’Europe disparaîtra avec l’effacement de ce moment occidental et le monde sera structuré autour de deux grands pôles : les États-Unis d’Amérique et la Chine. Et nous aurons le choix entre des dominations».
Scolie. La question ici a un lien avec Haïti dans le temps, sur le pacte de la Louisiane, car la France sait déjà avec les effets réducteurs de l’Occident, que Pékin prendra de ses territoires, si elle veut rester d’abord dans les sentiments favorables, et survivre.
[Il faudrait aussi interroger James Braidy Steinberg (1953) vu à l’IISS-2010, aviseur académique et politique américain, ancien député de secrétairerie d’état des É.-U. Professeur de sciences sociales, de RI, de droit à Maxwell School of Citizenship and Public Affairs à l’Université de Syracuse. Nommé doyen en septembre 2021 à Paul H. Nitze School des études internationales avancées de Johns Hopkins University]. Cette vision française rassure-t-elle quand les difficultés de Biden fils en Ukraine pèsent.
Revers. Macron au début, croyant Trump l’imprévisible invincible, a donc critiqué le poids décisionnel des É.-U., le fixant à l’administration précédente tandis que Biden a ramené la vieille recette méprisée. L’effort diplomatique piétiné par l’exécutif savant.
«Nous pouvons faire semblant de l’oublier. On peut le faire très bien. On l’a déjà très longtemps fait sur beaucoup de sujets. On expliquera que nous sommes souverains. On se battra pour maintenir les emplois dans notre pays en faisant des compromis bancals avec des groupes sur lesquels nous ne pouvons plus rien. […] C’est la ligne des plus grandes pentes. Il y a une autre stratégie, celle de l’adaptation. Cela consiste à dire : il faut au fond courir plus vite face à ce monde qui bouge. Donc on va essayer […], simplement en essayant de ne pas vraiment changer, ne pas vraiment peser».
En outre, et une fois de plus, ce qui va à l’influence, c’est le calcul américain muet.
«C’est un scénario intermédiaire qui assez rapidement à mes yeux nous conduira au même résultat. Je pense même qu’il nous conduira au même résultat avec pour conséquence une réaction profonde, un rejet de notre population parce que nous ne sommes pas un pays qui aime s’adapter. Donc, parfois même le défaut de vouloir changer le monde pour ne pas nous adapter, mais nous n’aimons pas nous adapter».
Scolie. Les É.-U., à ce pas s sont adaptés en 2008, la France est-elle prête en 2022 ?
Valeurs. Macron a littéralement mandaté sa curie à ne pas céder, mais il n’a su en fait tenir au point où Le Drian se plaint en réaction aux Russes (privés) au Mali réveillé.
«L’esprit français c’est un esprit de résistance et une vocation à l’universel. Un esprit de résistance, cela veut dire, ne pas céder à la fatalité ni à l’adaptation des choses et aux habitudes».
«Le projet de civilisation européenne ne peut pas être porté ni pas par la Hongrie catholique, ni par la Russie orthodoxe»
Scolie. La France est-elle si laïc que ça quand Notre-Dame en feu revit de trésors de l’État-Macron indifférent aux autres cages taxées de dangereuses pour islamisation. Il s’ose même en provoquant ainsi tandis qu’il demande à la curie de ne pas y céder. Cet énoncé pêche par contre avec le mot ‘intérêts’ sans celui de ‘vitaux’.
«Je vous demande de ne rien céder aux provocations, de toujours défendre nos intérêts, notre souveraineté, de rester fort, mais je crois très profondément qu’il nous faut aussi profondément rebattre les cartes dans un dialogue franc et exigeant avec la Russie. Et je veux que nous jouions cet axe parce qu’il est indispensable pour réussir à obtenir des résultats et une vraie stratégie européens».
Poutine. Macron a cru bien estimer la Russie, mais elle est aux portes de l’Ukraine au nez de l’OTAN, comme un doigt dans l’œil quand le maître locataire du Kremlin a déjà explicité l’erreur de l’Occident en Ukraine dans l’OTAN, aux frontières russes.
«C’est ce que feront les ministres de l’Europe et des Affaires étrangères et la ministre des Armées lorsqu’ils se rendront dans quelques jours à Moscou pour reprendre le dialogue 2+2. C’est ce que nous poursuivons par un dialogue constant avec le Président POUTINE et nous allons mettre en place ce groupe de travail pour avancer sur cette architecture commune».
Scolie. S’il y a là, trois ans de dialogue de sourds évident, à qui revient la faute ?
[S’il faut comprendre le Russe au Mali par Heli Tiirmaa-Klaar-IISS-2010. Ambassadrice en diplomatie cybernétique, DG pour la diplomatie cybernétique au département du ministère des affaires étrangères estonien. …2018, est chef de la coordination pour la législation cybernétique au service de l’action externe européen, a dirigé et est la coordinatrice des relations extérieures de l’EU, sur les questions cybernétiques en 2012. Elle met en place le dialogue européen sur la stratégie cybernétique avec les É.-U., l’Inde, le Brésil, le Japon, la Corée du Sud ainsi que d’autres organisations internationales. 2011, Directoire international de l’OTAN pour préparer la législation de défense cybernétique. Il faudrait fortuitement la rejoindre pour nous édifier ici].
Constat d’échec au menu
France. Macron des grandes écoles était perçu comme faiseur, mais se voit looser chez lui, et en Europe. Il l’est évident aujourd’hui avec la crise factice de Kiev, à DC.
«Je crois qu’il nous faut construire une nouvelle architecture de confiance et de sécurité. La diplomatie française doit aussi servir l’égalité entre les femmes et les hommes. Nous l’avions mis au cœur de la lutte contre les inégalités au G7, mais là aussi il nous faut poursuivre une vraie diplomatie féministe. Le Canada avait initié d’ailleurs et inspiré cette démarche, il faut reconnaître à la présidence précédente ce mérite, nous avons gardé le Conseil consultatif pour l’égalité femmes-hommes et nous avons adopté un bouquet législatif formellement, conformément aux recommandations qui étaient faites. Cette action doit être poursuivie, amplifiée en vue de la conférence que nous tiendrons à Paris en juillet 2020, puis Pékin 2025 qui sera un rendez-vous important sur ce point en termes de résultats».
Scolie. En fait, elle n’exista pas s’il a fallu la construire. Existe-t-elle en ces temps-ci quand Moscou s’étend aujourd’hui en Europe réduite Londres, Pékin 2025 dira tant.
Adieu, Lisbonne bonjour Berlin
Macron ici, prend rendez-vous, un rendez-vous solennel, tel un pape contesté indoor.
«Et je serai en tout cas toujours à vos côtés pour que la France soit au cœur de ces grands sujets, pour que nos concitoyens soient représentés partout avec force pour que nos intérêts soient défendus et qu’au-delà de nos intérêts, pour que nos valeurs soient partout. Je vous remercie. – Vive la République et vive la France..» In texto.
La France au modèle US de la 2e est-elle viable, prévisible ?
Un an après, la justice de la pensée américaine est restée l’affaire de violents Irlandais protestants v/s catholiques du même genre quand Macron cite le Russe ‘orthodoxe’. De mafias italiennes de même génération. D’Allemands néonazis cachés rescapés de WWII. De laquais cubains qui se vendent au prix d’anticommuniste, aux frais de la nation yankee : no Justice. Est-ce donc pour ça que la sanction des É.-U., étayée sur la Russie ne se vaut pas l’enjeu ?
[Qu’est-ce qu’offrirait Henry Kissinger (Heinz Alfred Kissinger), diplomate américain de confession juive (Fürth, Allemagne, 1923). Politologue consultant en géopolitique vu de l’IISS-2010 émigré aux É.-U. (1938) pour fuir les persécutions nazies. Naturalisé en 1943. Interprète pour les services secrets (US) durant la 2e en Europe, et ancien administrateur de la ville de Krefeld pour une courte période. Paris l’ignore de fait].
Émancipons avec la simulation de départ de l’observatoire : diplomates amis invités au cénacle. L’Haïtien est à Bâton-Rouge en Louisiane à se faire interpréter en créole afin de savoir ce que veut dire : décider. Il reste ami. Le Rwandais, fort de la mission Kagamé, négocie aux petits contrats semi-durables. L’Israélien ami, position de juge, infiltre encore plus son Pegasus. Le Russe grand conquérant le sait, l’incontournable même avec une pointe d’humour européenne dans ce discours macemm. L’Américain profite pour négocier les erreurs du fils Biden sur fond de Kiev. Le Libanais, une fois de plus pour répéter Tarek Daher dans ses critiques sur le fait libanais, négocie avec sa force de Paris un dégagement israélien, là donc, crédité l’État stable. L’Argentin vend son bœuf pour contrebalancer ses dettes et Ottawa. Interaction à saveur chinoise même étant absente, les liens multilatéraux sont la grande interrogation sur le discours local pour se justifier leader. D’ailleurs, Londres par les É.-U., est si ce n’est perdu, le juge après Brexit. Le rendez-vous pris en poste d’observation en 2019 pour 2030 via l’effet 2022, où sont-ils à cet effet ? Ami juge perdu en réalité, Ottawa ne sait en dire !
[Si Rio était au lieu de Buenos Aires parmi ces diplomates simulés de l’Observatoire, que dirait Celso L.N. Amorim-IISS-2010, politicien (1942, Santos Brésil), ministre des Affaires étrangères du président Lula 2003–2010, ministre de la Défense de Dilma Rousseff août 2011-2014. Dire sur la sécurité de l’Europe, mieux, «la première loi au monde contre la déforestation» quand Paris en a déjà fait et vit la régénération, au timon de l’Europe 2022. Si, elle vise l’Amazonie, et faire «subir le choix» européen].
Revenons à Macron de la présidence européenne après les treize ans dans le discours qui dénonce l’entêtement français, mais surtout une idiotie américaine non payante pour Paris qui se voit déjà comme la principauté outremer de l’Occident ancien. Sous la vaste domination hégémonique asiatique orientale, par la si grande si dense ethnie vue de partout. Qui sait, cette arrogance nouvelle en boomerang globale organisée ?
Concluons l’affaire ici. Il ne consiste pas de copier tardivement pour nous un modèle américain ni de le suggérer. En outre, c’est l’ego de Macron qui, de sa pensée 2019 fixa le pas 2022, puisque c’est l’échéancier français à moins de se croire roi. Mais, cet aujourd’hui de deux grands pôles seulement, sans Europe avec Brexit si bien menée par le Russe, soit : Chine É.-U., hégémoniques de son postulat. D’où le modèle US par Taubira. Renforcé de la réalité de la défense de la femme soutenue en ce discours de Lumières éculées. Toujours, dans la pensée émise à soutenir par sa curie inefficace avouons-le alors. Mais, du dernier élan mu par l’instinct de survie. Puisque la Russie revivra Kiev, peu importe l’échéancier, car il suffit de réguler Biden trop limitrophe..
ID Canada / ISSN 2563-818X (En ligne) – ISSN 2563-8181 (Imprimé)