HISTOIRE PASSAGES OBLIGÉS Visages de guerres…de Méneval

HISTOIRE PASSAGES OBLIGÉS Visages de guerres…de Méneval

Dix ans avec Napoléon, des mémoires de Claude François de Méneval sans citer Toussaint Louverture dans l’histoire tandis que Macron est allé visiter le Château de Joux et saluer la mémoire de ce général qui a fait la 1e guerre de l’Indépendance d’Haïti. Quand l’histoire s’écrit de cette façon, il y a lieu de douter de la bonne foi, des compétences, et du racisme. Alain Fillion doit s’expliquer sur de Méneval en lisant [L’intérêt est donc élevé à ce standard, à un niveau où histoire pour histoire, cordon pour cordon, les mémoires de Méneval n’ont le courage de la réconciliation ni de la vérité historique qui vivifie ce symbolisme interprété, immortel de statut par les nouveaux cordons Laferrière sur les cimes d’une langue adoptée au Château de Joux], la visite de Macron là-bas.

De Méneval ne pouvait donc ignorer Toussaint Louverture arrêté en 1802 et mort le 7 avril 1803, si Macron a retrouvé ces archives pour y aller.

C’est donc pourquoi nous avions consulté l’observatoire SLRDC élaboré en critique fictive et scénario imaginaire, sur de Méneval/Fillion. Extraits : Le film de Méneval n’obéirait donc aux règles des sciences de l’historien, mais d’un propagandiste. Car, de Méneval dans sa reconnaissance du Code noir en projection futuriste ne mentionne Toussaint dans le Jura français, à Joux, tandis qu’il pleure Napoléon à Sainte Hélène pour la même cause. Une affaire de cordon d’honneur dénoué. Il nous est facile de supporter cette thèse par l’apport des recherches De Boeck, le Bozec, cités dans les considérations sur l’ouvrage collectif qui incluait Guy Despeignes, PhD. la semaine écoulée.

De Méneval explique en réclamation de crédits, ses années à titre de secrétaire particulier de l’Empereur, ce qu’il a donc vécu comme témoin privilégié dont le besoin de ressortir cette mémoire, par Alain Fillion.

Qu’a-t-il laissé dans Lawrence d’Arabie, dans la Chute de Bagdad, dans la Bérézina ?

C’est la rigueur des recherches d’une part, de l’honnêteté d’un côté, d’autre part, ce sont les détails les indices qui révèlent par exemple sur l’analyse, le promontoire de Fillion en ce temps de 2014, mis à nu en 2023.

Ce qui a changé depuis 2015 après la publication de l’article avec ID-G, sur la Route du Cinéma de Dan Albertini.

Il n’est donc pas sans intérêt quand le président Macron II [qui n’a pas su réformer ni se dépanner en crédibilité sera sûrement jugé en historicité par flagornerie pour convenir à l’ouïe française dans cent ans], s’en va à Joux banalement, là où hélas de Méneval n’a pas souligné l’intérêt caché de l’éducation en France, pour se dire ouvert à Toussaint Louverture le général français (de l’époque) assassiné par sévices saisonniers hivernaux rigoureux et privations multiples, au Château de Joux surveillé de l’autre crête voisine, du Fort de Joux. Une telle histoire réveillée à la présidence française aujourd’hui démontre des failles d’irresponsables qui n’avaient pas prévu, par exemple, ce que Jacques de Cauna allait tenter d’élucider sur cette époque. Si Napoléon par de Méneval ramené par Fillion est à ce titre à refaire par Macron II, c’est qu’il y a péril en la demeure pour tenter une telle récupération.

La considération associée trouve en témoin le maire de Piffonds, Xavier Rosalie qui affiche en format de carte de visite la photo du président, par obligation de la loi votée, mais le président Macron, dans un immense cadre pour une photo si réduite du sujet, c’est pour le lecteur l’occasion de le reconsidérer en Napoléon, autrefois.

(https://www.instagram.com/p/CsLwzyqAzc4/?igshid=MTc4MmM1YmI2Ng%3D%3D&fbclid=IwAR0ue2w9DvThP1JjmOwqlh7a2Z7Cb9g3epzYVeY3ehCnkLrYNTq2XIcCkEE)

Disons-le en citation : ‘la France de Fillion ne peut donc rêver d’un beau film, d’une mission accomplie. Je dirais malgré tout, c’est une bonne lecture qui élucidera le lecteur haïtien, sur la France’. Au Canada, et  au Québec, si la raison prime.

ID Canada / ISSN 2563-818X (En ligne) – ISSN 2563-8181 (Imprimé)