Jean Claude Pallas the Guardian of the Palais des Nations

Jean Claude Pallas The Guardian of the Palais des Nations

  • « Defenseur du Palais des Nations » – this is how Jean Claude Pallas is known at the UNOG and internationally. His contribution to the preservation of the Palais des Nations is remarkable, in this sense he is The Guardian of the Palais. His book «Histoire et architecture du Palais des Nations (1924-2001). L’Art Déco au service des relations internationales» can be seen on the shelves of home libraries of Ambassadors, diplomats, researches, architects, and of all those who love the Palais des Nations. It would be the rarest occasion to meet Jean Claude at the Palais as he left Geneva after his retirement. Being privileged to keep close contacts with him, I asked Jean Claude to grant us an interview on the occasion of the forthcoming anniversary of the United Nations.

Pouvez-vous nous raconter votre parcours à l’Organisation des Nations Unies à Genève (ONUG), au Palais des Nations ?

J’en parlerai au passé puisque j’ai quitté ls Nations Unies il y a une vingtaine d’années. De fin 1972 à début 2001 j’ai fait toute ma carrière dans la Section des bâtiments (parcs et jardins) et des services techniques (SBST) dont j’ai assumé la direction à partir de 1995. J’étais donc responsable de tout ce qui concerne l’exploitation, la maintenance, la modernisation, le remplacement de l’ensemble des installations techniques et des nouvelles constructions de cet immense bâtiment, le Palais des Nations (853.000 m3), de ses dépendances ainsi que du parc de plus de 46 ha. Mon activité était également très liée aux conférences puisque nous devions, en coordination avec les services concernés, mettre à disposition tous les moyens nécessaires au bon déroulement des conférences (en particuliers les « sound engineers »).

Comment avez-vous décidé d’écrire un livre sur le Palais des Nations ?

En 1995 j’ai commencé  à titre bénévole,  la rédaction de cet ouvrage sur le Palais des Nations. C’était pour moi u ne sorte de Défense et illustration du Palais des Nations car j’avais toujours été choqué par  et même pour certains  le mépris dédaigneux, des architectes à l’encontre de ce bâtiment. Ma motivation était donc de réhabiliter le Palais en le faisant découvrir et mieux connaître à la fois aux fonctionnaires qui y travaillent, aux délégués qui participent aux conférences, aux membres des Missions permanentes ainsi qu’aux Genevois (et aux architectes sceptiques). C’est donc « l’amour du Palais » qui m’a guidé. 

Dites-nous comment vous avez effectué vos recherches. Est-ce que quelqu’un vous a aidé dans vos recherches ?

Pour la préparation du livre sur le Palais j’ai été particulièrement aidé par le personnel de la Bibliothèque, à commencer par le Bibliothécaire en chef, Pierre Pelou qui m’a toujours encouragé et soutenu. Le caractère pondéré et le sourire permanent de cet agrégé de philosophie, grand amateur de littérature et de jazz des années 1950, était un réconfort permanent. Je mentionnerai également Irina Gerassimova, chef du Groupe de la référence spécialisée et devenue par la suite une amie. Elle m’avait aidée lors de mes recherches sur le Palais, mais j’ai surtout apprécié sa collaboration pour mes investigations sur les visites de Léon Tolstoï à la ville Le Bocage en 1857. Du fait de sa formation et de ses connaissances elle a pu consulter, et me traduire, de nombreux documents et ouvrages originaux trouvés dans les bibliothèques et archives de Moscou, de Saint-Pétersbourg et de Iasnaïa Poliana. J’ai donc associé son nom au mien dans mes articles sur « Léon Tolstoï au Bocage » qui ont été publiés en 2010 sur le site de la Bibliothèque de l’ONUG, dans la revue des fonctionnaires internationaux « UN Special » et dans la revue de la Société des écrivains des Nations Unies à Genève, « Ex Tempore » de décembre 2010 (traduction en russe par Irina). Je citerai également Christina Giordano, administrateur chargée du Groupe de la médiathèque et des collections et les fonctionnaires du Groupe des archives de la SDN et des collections historiques, qui a pu me procurer de nombreux ouvrages grâce aux prêts inter bibliothèques. Enfin dans mon ancienne unité, la Section de bâtiments et des services techniques (SBST), Catherine Mabilon, architecte, qui assura la mise au net des 26 plans spécifiques à l’ouvrage et Jean-Jacques Ferret qui réalisa les 8 petits plans de situation des différents corps de bâtiment.

La sortie de votre livre en 2001 – qu’avez-vous ressenti ? Je sais que l’ancien Secrétaire général des Nations Unies Monsieur Kofi Annan a été particulièrement intéressé par votre livre, et aussi Monsieur Vladimir Petrovsky, l’ancien Directeur général de l’ONUG.

Racontez-nous.

J’ai remis officiellement un exemplaire de mon ouvrage le jeudi 6 juin 2001au Directeur général de l’ONUG, Vladimir Petrovsky, que je connaissais bien et il n’y avait donc pas d’émotion particulière. Par contre il n’en fut pas de même un mois plus tard, le mardi 17 juillet lorsque, toujours dans le grandiose bureau du premier étage qui a gardé sa décoration et son ameublement d’origine, je fus présenté par Vladimir Petrovsky au Secrétaire général des Nations Unies Kofi Annan, en présence du Bibliothécaire en chef Pierre Pelou. Ce jour-là l’émotion fut grande lorsqu’il m’a serré la main et félicité. Quelques heures plus tard l’émotion fut encore beaucoup plus forte lorsque le photographe officiel du Palais m’avoua humblement que toutes ses photos étaient ratées ! Il inaugurait son premier appareil numérique (nous étions en 2001) et il n’avait pas encore bien assimilé tous les réglages. Je pensais donc ne pas pouvoir conserver de trace de cette consécration. Fort heureusement le SG ne se déplace jamais sans un photographe du Siège qui travaillait encore en argentique. C’est son cliché qui m’a été transmis et qui est reproduit ici, et qui se trouve encadré dans mon bureau, en face de moi, en Charente.

Pouvez-vous partager avec les lecteurs votre découverte fascinante à la Villa Le Bocage ?

Après la publication de mon ouvrage sur le Palais des Nations, en 2001, je me suis retiré en Charente, pays de mes ancêtres paternels dont j’ai remonté la généalogie jusqu’à la fin du XVIe siècle et l’historique de ma nouvelle résidence jusqu’au XIIIe siècle (en 1274 : « molendinum de Ayzeto », moulin d’Aizet, Marcillac-Lanville), Toujours ce goût pour l’histoire des gens et des propriétés ! Dès notre installation dans ce nouveau domicile j’ai repris les recherches sur les dépendances du Palais en vue de terminer l’écriture d’un nouveau livre consacré au parc de l’Ariana et aux dépendances du Palais. En 2011 j’ai rédigé une détaillée sur les passages de l’écrivain Léon Tolstoï à la villa Le Bocage « Léon Tolstoï (1828-1910) à la villa Le Bocage (avril, mai, juin et juillet 1857) », j’avais terminé celle-ci en faisant la proposition suivante : « Pour en conserver le pourrait être apposée soit dans le hall d’entrée de la villa soit à l’extérieur de celle-ci ». Cette initiative été retenue par la direction de l’ONUG qui a repris contact avec moi, en Charente et j’ai rédigé le texte de cette inscription et préparé un discours pour la cérémonie d’inauguration. Celle-ci s’est déroulée le 21 février 2011, devant le Directeur Général Sergei Ordzhonikidze et Son Excellence Monsieur Valery Loshchinin, Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire, Représentant permanent de la Fédération de Russie auprès de l’Office des Nations Unies et des autres organisations internationales à Genève. Ne pouvant me rendre à Genève pour participer à la cérémonie de dévoilement de cette plaque, Irina Gerassimova, mon amie de la Bibliothèque, avait volontiers acceptée de me remplacer et de lire le discours que j’avais préparé pour cette occasion. Quelques jours après le dévoilement, la plaque commémorative a été fixée sur la façade de la villa Le Bocage (les extraits du discours sont publiés séparément).

« Palais qui est un peu (beaucoup) le vôtre.. » Jean-Claude Pallas

Je sais que vous travaillez sur un nouvel ouvrage… Quel est le titre ?

Lors de mon départ du Palais, le 31 mars 2001, mon nouvel ouvrage était déjà bien avancé et le Bibliothécaire en chef, Pierre Pelou, m’avait d’ailleurs proposé de le faire publier s’il avait été terminé. Il restait encore beaucoup à faire et j’ai quitté les environs de Genève pour m’installer dans la région d’origine ne de ma famille, la Charente, berceau de l’Art roman et du cognac (nous en produisions autrefois, j’ai encore sur les étagères de mon bureau une petite bouteille – une « mignonnette » – avec une étiquette « A. PALLAS & Co, COGNAC », provenant de mon grand-oncle Achille) et mon arrière grand-père, Jean, en exportait au Royaume-Uni). Le travail n’était effectué qu’à environ qu’à 70 % environ. Pris par de nouvelles activités comme l’entretien de la propriété et la rédaction d’une vingtaine d’articles pour des revues d’histoire locales, je n’ai repris que tardivement l’écriture de ce nouveau livre.

Quand pensez-vous que ce nouvel ouvrage sera publié ? Quel en sera le titre ? Y-a-t-il eu de nouvelles découvertes au Palais des Nations ? Dans l’affirmatif, est-ce qu’elles seront détaillées dans votre nouveau livre ?

Le titre de cet ouvrage sera : «Histoire du parc de l’Ariana et des dépendances du Palais des Nations (1920-2020). L’architecture du XIXe siècle au service des relations internationales». Il s’agira d’un nouveau livre, qui sera une suite logique de celui paru en 2001 et qui était consacré uniquement au Palais des Nations. J’ai privilégié la continuation des recherches (je ne peux m’en empêcher !) en particulier dans la presse genevoise des XIXe et XXe siècles. Parmi mes dernières découvertes la visite de George Sand et Frantz Liszt à La Fenêtre en septembre 1836 et en 1857 la grande-duchesse Maria Nikolaievna (1819-1876), fille du tsar Nicolas Ier, loua la villa où elle séjourna longuement et y fit faire son portrait, vers la mi-juillet, par le célèbre peintre Winterhalter (ce tableau se trouve au Musée de l’Hermitage). J’ai maintenant plus de 600 pages que je dois considérablement réduire et remanier pour laisser de la place aux très nombreuses illustrations. La date de publication n’est pas encore fixée, elle sera probablement reportée à l’année prochaine en raison de la pandémie et de la longue réduction d’activités au Palais.

Depuis que vous avez quitté Genève et le Palais des Nations, comment vivez-vous sans le Palais, « votre » Palais ?

Je connais en effet le Palais 3e sous-sol du Conseil au 10e étage du bâtiment E, et les villas des caves aux greniers. J’ai circulé sur toutes les toitures et visité pratiquement tous les locaux, j’ai même voyagé sur le toit de la cabine d’un ascenseur lors de la réception des travaux de remplacement… Je me sentais donc comme chez-moi au Palais. Comme me l’avait écrit M. Maryan Baquerot, Directeur de la Division de l’Administration, à l’occasion de mon départ : « J’espère bien sûr que vous viendrez nous voir de temps en temps pour nous faire découvrir d’autres aspects de ce Palais qui est un peu (beaucoup) le vôtre.. ». Bien sûr un peu de nostalgie maintenant, j’y pends encore souvent, mais j’ai tellement d’autres activités…Je terminerai en citant Guillaume Fatio, auteur d’excellentes monographies de communes genevoises (Pregny, Genthod, Bellevue, Hermance), et d’autres ouvrages : « Ces vénérables demeures du Pays Genevois, encadrées d’ombrages séculaires, ont une âme faite de tout ce qu’elles ont vu, de tous les souvenirs qu’elles abritent. Il nous a plu d’évoquer, de réveiller des voix éteintes depuis longtemps… ». Je rajouterai, avec regret, que malheureusement « les ombrages séculaires » se réduisent comme peau de chagrin en raison de l’emprise des nouvelles constructions…

Nous vous remercions pour cet entretien,

  • Evelina Rioukhina

« Bocage est un délice »

Lev Tolstoi, vendredi 10 avril 1857

Extraits du discours de Jean-Claude PALLAS rédigé pour la cérémonie du dévoilement de la plaque commémorative des visites de Léon Tolstoï au Bocage1


Dans le courant de l’hiver 1856-1857 la grande-duchesse Maria Nikolaïevna, fille aînée de l’empereur Nicolas Ier et soeur du tsar Alexandre II, est venue s’installer comme locataire dans la villa Le Bocage. Elle était accompagnée de sa famille, de son personnel et des deux comtesses Tolstaïa, Alexandra Andreïevna et sa sœur Elizaveta Andreïevna. Après avoir perdu son premier époux en 1852, le prince Maximilien de Beauharnais-Leuchtenberg, elle s’était remariée en 1854, sans autorisation impériale, avec le comte Grigoriï Alexandrovitch Stroganoff (1823-1879) pour lequel elle éprouvait une passion inaltérable depuis plusieurs années. Le mariage civil fut célébré en cachette, durant l’été, dans le petit village de Gostilitsy dans les environs de Saint-Pétersbourg. Le mariage religieux, en novembre de la même année, fut encore plus rocambolesque. En 1856 le nouvel empereur Alexandre II, reconnaît, enfin, ce mariage, mais à la condition que son altesse impériale s’éloigne de St.-Pétersbourg à chaque fois qu’elle se trouvera enceinte. C’est pourquoi le couple quitta la Russie et alla se réfugier dans la campagne genevoise alors que Maria Nikolaïevna attendait un enfant qui naîtra dans ces murs au mois de mai 1857.

Il y a donc un peu plus d’un siècle et-demi Lev Nikolaïevitch Tolstoï se trouvait ici, dans cette villa Le Bocage. Dès sa première visite, le 10 avril 1857, il fut séduit par l’atmosphère qui se dégageait de l’ensemble de cette propriété et il note dans son « Journal intime » : « Bocage est un délice ». Il faut cependant préciser qu’au charme romantique et champêtre de l’endroit s’ajoutait celui, encore plus fort, de sa cousine, la comtesse Alexandra Andreïevna Tolstaïa.

Pour se mettre dans l’ambiance de 1857 il faut s’imaginer la villa et ses abords à cette époque. Construite en 1824, soit quatre ans après sa voisine La Fenêtre, résidence des Directeurs généraux de l’ONUG depuis 1979, Le Bocage avait à l’origine des dimensions beaucoup plus modestes et plus familiales. En particulier il n’y avait pas de deuxième étage côté Genève et l’aile coté Lausanne n’existait pas. Le cloisonnement intérieur était bien sûr différent et l’on trouvait essentiellement au rez-de-chaussée trois grandes pièces principales d’une superficie moyenne de 60 à 70 m2 : le salon ovale, une vaste salle à manger (actuels bureaux 17, 18 et couloir) et une généreuse bibliothèque-fumoir (bureaux 8 et 15). On trouvait également quatre salons. Le tout était décoré et meublé dans le plus pur style Empire.

En dessous du Bocage, en direction du lac, la villa La Pelouse venait d’être construite en 1853 par David Jacob Duval (1814-1891) dont les ancêtres firent fortune à Saint-Pétersbourg, où ils étaient installés depuis le milieu du XVIIIe siècle comme joailliers de la Cour. Ils rentrèrent à Genève dans les toutes premières années du siècle suivant.

Tolstoï n’a, malheureusement, pas eu l’occasion de rencontrer ce voisin du Bocage. Lorsqu’il rendait visite à Alexandra il pouvait, probablement, apercevoir «Le Temple de la Paix et de l’Amitié»2 construit par le comte de Sellon en 1838 à coté de la villa La Fenêtre. Il ne le mentionne pourtant pas dans ses écrits. Ironie du sort ? Funeste présage ? Cet édifice emblématique fut entièrement détruit par la chute d’un arbre lors d’un violent orage le 15 janvier 1946, soit moins d’un mois avant le choix de Genève comme siège européen des Nations Unies (le 12 février 1946) et 3 mois avant la dissolution de la SDN (le 18 avril 1946). Aucun des nombreux projets de reconstruction n’aboutira.

C’est lors de la deuxième étape de son périple dans l’ouest de l’Europe, d’une durée totale d’environ six mois, que Tolstoï s’est rendu à Genève. Après avoir quitté Moscou le 29 janvier 1857 (calendrier russe) il se dirige vers la capitale française où il séjournera environ sept semaines. Désirant rencontrer ses parentes, les deux sœurs Alexandra et Elizaveta (en fait il ne s’intéressait qu’à la plus jeune, Alexandra), il arrive sur les bords du Léman le 9 avril et s’installe dans le très confortable Hôtel des Bergues. Il y avait une génération d’écart entre Léon et les deux comtesses, mais seulement onze ans de différence avec Alexandra. Léon avait 28 ans et Alexandrine 39. Le Bocage abritait déjà les amours de la grande-duchesse et du comte Stroganoff et une autre idylle aurait pu s’y nouer entre Alexandra et Léon, si ce dernier avait été plus entreprenant et moins indécis. Ses relations avec les femmes furent toujours très compliquées. Cependant, il se noua entre eux une sincère et très profonde amitié et ils continuèrent à échanger une abondante correspondance pendant près d’un demi-siècle, jusqu’à la mort de la comtesse en 1903. Dans le courant de cette année 2011 ma collaboratrice pour ces recherches3 ira consulter à Moscou les archives d’Alexandra Andreïevna Tolstaïa, ce qui nous permettra peut-être d’en savoir un peu plus sur son séjour au Bocage et sur les visites de Tolstoï. Ce dernier restera au bord du lac une quinzaine de jours, du 9 au 21 avril, durant lesquels il se rendra trois fois à la villa. Par la suite, lors de son séjour à Clarens et sur la Riviéra vaudoise (entre le 21 avril et le 30 juin), il y retournera six fois et une dixième et dernière fois le 1er juillet à l’occasion d’un nouveau passage à Genève. Ils eurent également l’occasion de gravir ensemble le Salève et de visiter Clarens ainsi que de se revoir plusieurs fois sur la route de retour vers la Russie.

…Cette plaque commémorative rappellera les passages successifs d’un des génies de la littérature mondiale et permettra d’avoir un autre regard sur cette villa [Le Bocage].

ocage). …Rappelons qu’un autre voisin immédiat du Bocage, le comte de Sellon (1782-1839), ayant fondé en 1830 la Société de la Paix, avait lancé un concours ouvert au monde entier « pour rechercher les meilleurs moyens de procurer une paix générale et permanente ». Voila un programme qui aurait plu à l’auteur de « Guerre et Paix » et qui est une des aspirations fondamentales de l’ONU.

  • Jean Claude Pallas

1 Monsieur Jean-Claude Pallas n’a pas pu assister à la respectueuse cérémonie organisée sous les auspices du Directeur Général de l’Office des Nations Unies à Genève, le 21 février 2011. Il a confié la lecture de son discours à Mlle Irina Gerassimova, ancienne chef du Groupe de la référence spécialisée de la Bibliothèque de l’ONU et amie très proche de Jean-Claude Pallas.

2 La série d’articles sur le Temple de la Paix et de l’Amitié a été publiée dans Diva International Diplomat, 1, 2020, pages 25-39, par Evelina Rioukhina, Ryan Kennedy et Oleksandr Svirchevsky, avec la contribution de Jean-Claude Pallas.

3 Mlle Irina Gerassimova a été la collaboratrice de Jean-Claude Pallas dans ses recherches. Leur article « Léon Tolstoï à la villa Le Bocage » est disponible sur le site de l’ONUG, rubrique Palais des Nations (https://www.unog.ch/80256EE600581D0E/(httpPages)/6FC10502DAE464DAC12577F3005284EB) et dans UN Special No. 702/Janvier 2011 (https://www.unspecial.org/archives/UNS702/t54.html ).


Cet article est une collaboration spéciale de Diva International Diplomat, et est publié (PDF) dans l’édition mois de novembre 2020 et se trouve en P.38-43

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