Marit Fosse reçue à Trygve Lie Gallery, New York NY

RELATIONS INTERNATIONALES DIRECTES

  • Marit Fosse reçue à Trygve Lie Gallery, New York NY
  • Composition

L’histoire de cette exposition new-yorkaise part sans le savoir sans le vouloir, des  débuts de l’Organisation des Nations Unies en 1946 avec son second Secrétaire général, nom que porte la galerie d’art (et de conférence). En réalité le vrai premier, car Gladwyn Jebb a été en 1945  de fait pour la gésine e l’AG. Ainsi, telle galerie porte le poids des arts en concept associé à son ambassadeur secrétaire général, et oblige en réputation, en qualité, en représentativité au standard du personnage. C’est donc dans cette empreinte que l’artiste Marit Fosse a mis les pieds en exposant là-bas. En étalant des tableaux, ses peintures, son art, ses couleurs, ses espoirs en parallèle avec les relations professionnelles à titre de journaliste éditrice aussi. C’est d’une part un besoin d’expression invité dans la diplomatie des relations internationales directes.

D’autre part et en relation directe avec le sujet Trygve Lie, c’est le lien avec l’église  de la même ascendance, à New York, que l’amateur des arts ira chercher les ressemblances avec les éléments d’église dont les vitraux, les muraux ornant la foi, les dimensions extensibles pour de grandes surfaces. C’est l’autre face à explorer.

Ceci n’est pas sans importance, sans faire dans les illusions nécessairement, si di Lodovico a su ou s’est vu offrir la décoration du plafond de la chapelle Sixtine.

Que peut-on donc y trouver entre église et diplomatie de, et dans l’art de Marit Fosse si ce n’est une modernité!

En conversation avec le père Geir Oy, Marit Fosse expose et s’expose sur les éléments de la richesse du temporel qui gagne les âmes éprises des arts et de la bourse des valeurs en douane. Est-il émerveillé par ses prochains vitraux ou, par sa nouvelle commande à Marit Fosse qui nous rappelle en quelque sorte, les temps de l’école nationale de Paris qui a vu tant de fameux de tous arts confondus, qui font l’objet de prises faramineuses sur le marché des arts et chez les marchands de tableaux, hormis ce étonnant Fernand Legros de son temps, faussaire, associé proche du drôle de baron, Elmyr de Hory.

C’est donc curieux que le suivant après Trygve a été Dag Hammarskjöld (1953-1961) d’origine suédoise, intimement liée aux histoires lugubres de Fernand Legros citées dans les célèbres Tableaux de chasse de Roger Peyrefitte, dont des fameux vrais faux Matisse, signés de la veuve Matisse, et le faux Van Dongen, par lui-même,  etc. Ceci c’est sans soumettre Marit Fosse ni son art ou ses tableaux en subsidiaire de tout autre et aussi fameux fut-il au passé puisque Marit Fosse a pied à terre à Paris comme à côté de Genève, autre lieu de passage de cet étrange F Legros qui s’y cacha ouvertement pour fuir les étalages de sa galerie parisienne entravée à travers l’Amérique d’Algur H Meadows, de la France, de Rio.

C’est au point de pousser un Orson Welles à s’intéresser à le faire reluire dans un de ses films en 1973: Vérités et Mensonges.

Rassurez-vous nous quittons ce chapitre qui touche en réalité un circuit connu sur le marché des arts à travers le monde, comme de grosses bourses, et de marchands de tableaux avérés, proches de la clientèle de l’ONU même.

Art Student League, un autre baromètre sur le pas de l’histoire de l’art contemporain n’est pas du tout étranger au niveau de Marit Fosse, elle a  sur son carnet de voyage aux quatre coins du monde plusieurs passages à New York, et au moins une visite qui relate le nom de cette école en évolution constante. Là on y retrouve tant le nouvel élève devenu maître en la matière que l’ancien qui a fait grandir le patrimoine. La notion: liberté d’expression. Et, oser l’exprimer par sa technique choisie, mais en définissant cet art au maximum. Marit a  découvert ce secret.

Verra-t-on Marit Fosse aux enchères de ce fait, chez Sotheby’s près des Degas, c’est l’objet de l’exposition.

  • Art Student League
  • Palette de liberté et Chromatisme du détail…Rêver!
  • De la NORVÈGE à la France – de Paris à Genève pour New York NY

ID Canada / ISSN 2563-818X (En ligne) – ISSN 2563-8181 (Imprimé)