DIPLOMATIE INTERNATIONALE & SOCIÉTÉ par Dan Albertini
- Trump-Iran : Décevoir la Raison ou Soutenir l’Enfer
Entre (). Macron de moins en moins communiste mange du caviar à capitaliste. Fermons ().
Rohani Hassan a peur de perdre chez lui, mais croit inverser la vapeur par les menaces, après son erreur en Syrie. Non trois fois non, il ne faut pas jouer la carte de l’erreur, BB a raison, mieux vaut maintenant que plus tard, car trop tard ce sera-ce pour récupérer. Ce ne sont pas des jupettes qui vont en guerre. Le président Donald Trump a toute cette latitude : remettre le pendule en marche par la voie de la rupture. Un faux drapeau de paix tendu sans valeur.
Trumping the States, telle est la devise que nous avions perçue bien avant la prise de fonction du président Donald Trump. Il était en campagne électorale, donné perdant face à cette intelligence hillaryenne, mais en réalité bill-oise. Présumé dangereux, du fait d’imprévisibilité jugée par des analystes perdants encore en poste tant chez certains médias publics que de ténors de chaires d’études fanatiques du mensonge et de l’enseignement de l’ignorance. On cri : « miserere », aujourd’hui. Mais, tout en menaçant, n’est-ce pas ! Il n’est pas ici question d’une décision prise par Barack Obama que l’on révoque par le fait d’un remplacement. Le pseudo Perse qu’est Hassan Rohani ne l’a-t-il pas lui-même fait par rapport à Mahmoud Ahmadinejad ! S’il a eu le temps pour mieux faire, il s’est résolu à Damas, qu’à cela ne tienne, il faut fixer le pendulaire.
Pourquoi répondre aux attentes de ceux qui ont perdu, car ils avaient, non seulement mis en gage, mais établi les règles du jeu après avoir décidé de créer un jeu. Lequel : évincer Trump par les mensonges qu’ils ont soutenus en faisant payer le lecteur ou en récoltant les subventions d’état comme moyen de survie. C’était de l’indécence.
Ne faut-il pas se rappeler l’Accord de Paris du communiste François Hollande aujourd’hui en disgrâce après avoir menti aux Français alors qu’il a été président pour ne rien faire sinon jouer à la poupette-en-scooter chez l’actrice aimée, tandis qu’il mettait la présidence à risque. Les temps ont changé et cette leçon vaudra pour Kim-au-bouton.
J’avoue attendre de Donald Trump une décision conséquente, mais je sais aussi qu’il est le président en fonction, qui doit décider. Je sais en outre qu’on ne joue pas avec des menteurs qui nous pointent une arme au visage en nous laissant croire que ce sont des fleurs. Que Rohani tombe par sa politique c’est une affaire iranienne. Nous serons tous alors avisés sur l’alternative et sur sa nature. Étonnant n’est-ce pas le jeu caché qui mijote pourtant dans une marmite percée. Je le répète depuis 2013, Israël devrait être soutenu afin de résoudre le problème syrien, Poutine n’est pas notre homme de confiance, mais un Russe lâche du KGB qui menace le monde quand la faute revient aux communistes du Kremlin.
Concluons. Barack Obama de son temps a pris la décision qu’il fallait en suivant le conseil de son entourage immédiat et des experts anonymes.
Donald Trump n’a d’ordre à recevoir de ce lessivage à mémé pourtant claire. Pire, qui a tout fait pour le faire chuter.
Faut-il rompre, alors rompons. Car, ce n’est pas le p’tit doc Kadir, politicien à Montréal, qui s’en va empocher ses millions maintenant la table servie par Couillard, qui va faire la leçon. À chacun ses intérêts.