HISTOIRE PASSAGES OBLIGÉS
- Julie Payette un Visage Spatial sur le Lit d’une Gouverneure Générale du Canada
La jeune fille d’Ahuntsic a été prête pour être de l’ingénierie dans l’espace réel, monde virtuel, au point de gérer en millimétrique la mission de l’Agence spatiale canadienne en sus, la maîtrise du bras de contrôle du satellite, à au moins 450000 km, loin de l’appui intermédiaire et de son voisin dans la civilité de quartier. Qui est donc ce cerveau réel, non importé et imprégné de légendes urbaines comme tout le monde, qu’on ignora, que pigea Justin, pour être GGC? C’est-à-dire le plus haut niveau diplomatique canadien!
Qui est-elle dans ce monde trans-spatial, si l’on scanne la pensée profonde inconsciente, elle était pourtant une diplomatie canadienne réelle que ne possédait pas le Brésil, la grande concurrente d’aéronautique sur le continent hémisphère Sud.
Pourquoi Marc Garneau a-t-il voulu le siège du gouvernement au confort protocolaire de Gouverneur Général du Canada, importe peu, ministre député élu, il n’a jamais su s’y rendre pourtant ce ne sont pas les degrés, le curriculum qui lui manquent ni cette vision de l’espace qui fait peur au temporel comme à l’intemporel aussi bien que l’état de sa vie alocal. Pourquoi donc Julie Payette aura-t-elle cédé à la tentation, aux flatteries pour se voir rejeter comme une vieille chaussette, dans le monde du mensonge?
Sur Terre
De retour sur terre, mais avec une position de cheffe savante de l’agence spatiale canadienne qui a vu ce que l’œil sur terre n’a point vu qui était cette perception scientifique mise à part dans les secrets insoupçonnés de ces politiques sur terre, pour être récupérée GG du Canada avec une hauteur diplomatique exceptionnelle qui dépasse plus que l’ordinaire avec qui elle devra travailler?
Trudeau PM politique
Quelle est la responsabilité de la machine administrative, et celle, politique du gouvernement, de l’office du Premier Ministre, Justin Trudeau au coût financier et économique de l’élu, pour agir avec autant d’indélicatesse si l’on considère les grisailles sur le dos de l’ancienne Gouverneure Générale qu’est Julie Payette, quand Stephen Harper enfin 2009, à la suite de critiques de l’Observatoire du dies à son égard, avait signifié qu’il avait envoyé la GG qui représente le plus haut niveau diplomatique du Canada, au Chiapas et au Mexique pour la Culture Maya en particulier.
Le premier ministre Justin Trudeau a simplement imposé, comme avec la ministre Jody Wilson-Raybould dans l’affaire de la SNC-Lavalin, une mise en demeure politique, une incompétence administrative dans le choix de Julie Payette à titre de Gouverneur Générale du Canada, pour quatre ans.
Qui est en temps réel et dans l’administration politique à domicile, Marc Garneau ou, Saint-Jacques, Armstrong aux É.-U…., etc.?
La question légitime qui se pose est la suivante: si les astres font appel à son expertise pour un cas d’urgence critique, le jugement déconcertant tient-il encore?
Dans l’Espace
Une fois Gouverneure Générale du Canada, avec en tête la machine canadienne qui voyait ce titre de l’espace avec ses défauts, comment ce plus haut niveau diplomatique canadien sur terre qui n’a pas la lecture de ce standard, que dire de la compréhension, pour s’attendre à la minutie qui ne tolère aucune erreur dans les labos que les attachés politiques et de communication ne pouvaient imaginer côtoyer au quotidien sinon d’une photo promotionnelle d’égo pour une médaille hautement qualifiée remise lors d’une cérémonie sans panthéon ?
C’est cette femme que l’on a voulu dompter en politique, mais qu’on a condamnée par le jugement média-médecin
Reconnaissance et respect patriotique à Julie Payette, ancienne Gouverneure Générale du Canada
In memoriam, hommage à Jean-Martin Tchaptchet de l’édition de Diva Magazine International. Le prochain No du mois de juillet 2023 lui rendra hommage. Pour son courage, pour ses écrits, pour sa culture, pour ‘la Marseillaise de mon enfance’ qu’il a publié en (2) tomes, pour l’Afrique de sa vie de lutte et de combats.
ID Canada / ISSN 2563-818X (En ligne) – ISSN 2563-8181 (Imprimé)
