EDITORIAL
Entre (). Ce qui suit doit ne sait être compris que dans l’esprit de la Géographie Cybernétique comme nouvelle notion. Ce qui suivra en est la résultante, le principe fondamental aussi. Nous croyions en l’axe numérique et l’ère numérique nous oblige en ce sens. Fermons les ().
Quand Marit Fosse m’informa que Diva International Magazine développait une extension mais, différente du format édité, je me suis dit : oups, l’Européenne bouge enfin [car je la connaissais plutôt intéressée au niveau des recherches sur la défunte SDN]. Je vivais à Meriden CT aux U.S à cette époque-là. J’ai ainsi appris avec oh combien d’étonnement et de satisfaction que d’une part le titre serait International Diplomat et d’autre part, j’aurais un rôle clé à jouer. Nous étions dès lors sur la même longueur d’onde car, j’alimente depuis 2002, une chronique personnelle intitulée Diplomatie Internationale & Société. Marit entretenait soigneusement le « Diplomatic Pouch » avec Diva, il répondait à un besoin de cœur de l’humaniste qui ne sommeille mais vit en elle. Une nuance néanmoins, le numérique devrait constituer l’épine dorsale de cette plateforme. Évolution, nous présentons donc aujourd’hui une nouvelle édition dans les cordes du Magazine International Diplomat. Pourquoi une édition canadienne avant toute autre sur le chemin ou, est-ce le fruit du hasard ?
Le Canada est un creuset essentiel dans la mobilisation et dans la croissance du numérique. C’est un fait établi et reconnu en termes de gouvernance et de globalisation. Le Canada est aussi la voie par laquelle je suis passé en introduisant Réseau HEM International, en 2002, avant la Suisse-multilingue en 2004. Il y a donc une similarité avec la Suisse qui accueille Diva. Le facteur linguistique en partage.
Co-partenaire majeur de la Suisse dans le fait français-international, le Canada s’expose et vend l’image d’un important acteur du Commonwealth. Ce qui fait déjà de lui, un puissant bridge de la matrice culturelle de l’UNESCO et de l’IUT.
Ensuite, voisin immédiat de la plus grande puissance anglicisée du monde, les États-Unis d’Amérique qui sont aussi, non seulement la plus grande puissance économique du monde connu, mais un puissant partenaire numérique dans le sens émancipé du terme. Cette réalité s’alimente et est implémentée par une autre proximité linguistique-commerciale-culturelle que constitue l’espagnol. Le Mexique, par l’ALENA. Bien que sans frontière sur la base de la culture numérique, International Diplomat en Suisse et maintenant au Canada, s’offre ainsi un vaste bassin pluriculturel naturel de fréquentation globalisé. Il n’est d’ailleurs ignoré, puisque nous sommes en diplomatie internationale, que le gouvernement canadien de monsieur Trudeau préconise l’utilisation de cet outil qu’est le numérique, comme axe privilégié ; fondamental dans les échanges accélérées de tous genres. Le canada étant une étape de franchie pour International Diplomat, l’expansion suivra son cours dans un avenir rapproché.
C’est alors pour nous, le temps d’inviter les deux bouts du marché des auditoires à utiliser notre plateforme canadienne, de l’alimenter aussi. Un jour nous serons probablement sur Mars avec vous, dans ce monde accéléré de la globalisation numérique élargie !