Quand le Chili réclame plus pour sa culture, pour son peuple, pour son existence

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  • Quand le Chili réclame plus pour sa culture, pour son peuple, pour son existence

ID-C les années Pinochet ont fait leur temps comme celles des hommes de la garde rapprochée jusqu’à la suite de Bachelet. Le prétexte n’est plus d’actualité, ainsi donc le Chili a évolué avec une autre histoire qui lui est favorable si l’on parle de son économie. Il y a autant d’histoires que de réserves qui sont soulevées pour faire réémerger la culture amérindienne extraordinaire qui dépasse tant Santiago, G.S.A. Gossens. Il y a celle de l’église, de sa religion de qui par le passé ont laissé dans ce pays des traces qui témoignent aussi à leur tour, ce qui était secondaire, caché. D’où, réémergence, le Chili attire. Capitaux, investisseurs. Cultive ses cépages, vend ses vins, appelle à la main-d’œuvre. Recrute garde ses ressources savantes, fait partie du SUD marchand.

C’est dans ce contexte que la plaidoirie ID-C doit se voir. Certes le Chili est séparé de l’Uruguay par la vaste Argentine, le pays s’étend sur un long littoral de la pointe sud ibérique, comme l’Uruguay de l’autre côté au bas du Brésil. Il possède aussi l’avantage de la vision diplomatique près de La Paz (Bolivie), ce qui vaut un intense pouvoir de dialogue avec le voisinage comme une raison d’accès et de tourisme, grande thématique de ce trimestre qui s’achève.

Loin de nous l’idée de vouloir faire du Chili comme de l’Uruguay le tracé d’un parcours unique incontournable tandis que la zone s’accompagne à plein d’égards, mais le Chili sait se vendre, est le contrat de régénérescence et de paix avec ce que nous admettons nécessaire aux autres destinations touristiques à travers le globe.

ID-C quand Albina traversa ce pacte ibérique dans la première décennie du nouveau millénaire, l’intérêt touchait déjà le Chiapas comme Mexico la capitale du Mexique. Il y avait aussi cet intérêt pour les indigènes (Mayas, Aztèque), le Brésil avec les siens. Le Chili était donc naturel avec l’Uruguay par la suite.

Le Chili est l’occasion photo qui tente à tous points de vue. Car, le Chili touche aussi le Pérou directement à un point commun bolivien, grand lien qui développe plus que de la diplomatie au quotidien. C’est cette proximité que propose déjà le Chili à la famille canadienne large du Nord.

Pourquoi le touriste de l’Alberta (Canada) par exemple devrait s’y retrouver?

Ce n’est évidemment pas de la propagande qui nous est proposée à redistribuer, c’est de notre part (ID-C) la compréhension de l’outil et des organes du tourisme pour la paix engagé, de tout citoyen du monde quand de notre démocratie, la diplomatie s’est effondrée pour l’égo du politicien dans les prétentions dépassent les droits des autres. Le Chili et l’Uruguay sont des exemples de peuples dont la naïveté a payé le prix de la passivité. L’Albertain se retrouverait en terrain connu là-bas, plus encore, avec tant de valeurs à partager qui enrichiraient plus que le fermier et la ferme, ce sont aussi des travailleurs spécialisés qui connaissent le saisonnier comme horizon de travail partagé entre deux territoires.

ID Canada / ISSN 2563-818X (En ligne) – ISSN 2563-8181 (Imprimé)