
Ontario’l 2 Doug Ford est Saisissable
- Si Doug Ford s’en va noyant le poisson, il fêle la notion du contrat des RI de l’érable de la sécurité énergétique avec les É.-U. Il y aura un effet de causalité incalculable, une autre lecture
Historicité et Historicisme
Standard historique de deux pays sur la défense aérospatiale intégrée en NORAD. La GB en en amont.
De cette souche, la nôtre en exiguïté abrégée, il y a eu d’abord l’affiche de Rob Ford, ses historiettes, c’était jadis. Le cas Doug Ford, car il y a Doug, le frère Ford aussi, ses audaces, ses élans, il est encore de la cité en ce temps-là. Plus affirmé, il va de ce parc plus large. Queen’s Park, place conservatrice en relief, devient son nouvel axe d’action politique. De l’autre côté, il y a eu Donald Trump, son temps a forgé Boris. Il y a eu Boris Johnson. Le temps évolua, Doug a encore la main, mais sur la frontière. Donald est revenu contre vents et marées.
De ces vents et marées, il va envers et contre tous, son tourbillon de récupération a l’essence stérile, dangereuse pour celui qui se plie. Doug a aussi le poing sur la table. Si certains esquivent le pas de sa monture, d’autres ont par contre cette envie de le confondre. C’est là qu’intervient Doug Ford en Ontario quand Justin Trudeau plie.
Doug Ford et le Canada
Doug Ford est du trillium ce qu’il n’est pas de l’érable. Considérant ceci par la rose et par l’iris, Doug Ford perd cet effet de négociateur par le poids des intérêts de leur pas. S’il n’a pas la légitimité canadienne, il n’aura jamais celle d’un Canad[a]méricain pris par la notion du talest guy, que dire de Boris. Et de fait, y a-t-il Rob en Doug ?
Le contexte Taxé-répliqué. Cette lutte se fonde, s’envenime par la faute du PM abdicataire de confession libérale, Justin Trudeau. Doug Ford sent le vent virer, il se lance : invectives. Doug a le vent en pourpre, toutes directions sans timon ni timonier. Mais la notion du contrat.
Il y a tant d’indicateurs légaux, le Canada peut en effet parler aux É.-U., avec le statut souverain malgré NORAD. Non pas par l’Ontario ni par Doug Ford au ton de futiles défis d’entorses si la taxation gonfle. C’est en fait le rôle du Premier Ministre du Canada, non pas de l’Ontario. Province, elle jouit donc de ce label canadien, il vend de l’énergie chez son voisin (US) par la notion légale du contrat (sur la sécurité).
La structure d’érable a son cours à l’OMC sur les relations US-CA, elle ne va pas plaider l’initiative de Doug Ford qui semble tester un leadership fédéral inopportun ici. Si le politique survolte sur l’État-Frontière CA-É.-U., les rapports frontaliers sont d’État à État souverain dans le concert des Nations au coût d’un conflit armé. D’où négocier ou affronter, deux notions, car si le Canada est achetable, le voisin le serait aussi en vertu du coût de l’offre et de la demande. La dette américaine est au-dessus des moyens de l’érable certes, mais l’inverse est fou et les fonds pour le Groenland et l’érable sont illusoires, sauf pour une fusion.
S’il y a fusion, et non par voie d’annexion martiale dans le but de renforcer le Nord, elle est sujette au recours impératif de leadership (vigile de la fin de la Guerre de Sécession). Réalisme canadien aussi. Mais, Trudeau-Trump est le pacte revanchard justifié.
Il y a des joints partagés de tous ces égos allant jusqu’à Doug. Ils n’ont pas subi les effets d’altération par l’axe-Malouines (Malvinas) où la GB a vilement profité du support logistique (AIM-9 S) des É.-U., en tiers, contre un pays souverain, même s’ils trouveraient des chevaliers par l’aspect ibérique qui, à moins de relations cachées improbables après les libérations de ces pays dits du sud des Amériques. Il n’y a eu de corrélations avec l’Argentine sinon le rapport d’Anglo-Saxon qui lie la Couronne (royale) britannique aux É.-U. (USA).
La notion du contrat tient!
(autre lecture: Psychométrie relative de l’Amérique post-Biden)
ID Canada / ISSN 2563-818X (En ligne) – ISSN 2563-8181 (Imprimé)