New York s’essouffle – les 24H diminuent dans la nuit au matin (2)

New York s’essouffle

  • les 24H diminuent dans la nuit au matin

Il faut se l’avouer, New York sans Donald Trump, sa géologie, manque une pièce au  puzzle, animation il importe la teneur, c’est un fait. Plus d’ébullition à Trump Tower ni de hauteur en réalité show. Murs décrépis, un quart parti dans la somme, New York ne veille, mais sommeille, dort!

Conrad Black ne flirte plus à NYS. Que peut vouloir dire cette lexie, elle n’est pas de nous: l’Amérique ne peut pas gagner ni mener cette guerre? Elle est de Juliane Smith en partie, et date de l’ère de GW Bush aux déclarations de principe dans l’affaire Saakachvili en Géorgie, ce qui allait B Obama par la suite pour bonifier les corporations qui avaient causé tant de maux à l’économie américaine en leur offrant plus, et aux dépens des victimes réelles. Cette Amérique du déni qui a menti sur l’Irak.

Second aveu, c’est de là qu’intervient un certain Donald Trump qui depuis l’ère Reagan avait compris comment, et qu’il devait être président pour dominer le pays, comme il faisait à New York déjà. Il avait compris le bluff d’Howard Hughes dans ses diatribes avec l’entourage de Nixon dont bébé Rebozo et Maheu du FBI et de la CIA confondue, de la mafia dans ses casinos, comme la ville (Vegas) et de ses règlements affaiblis. Héritage: la TWA, le Taj Mahal, les femmes, le scandale, l’écran, etc. Ainsi, pour se rendre à DC évincer l’héritage fragile de Barack  Obama en colmatant Hillary, il alla même visiter les Haïtiens de la Floride à Miami, d’où le cuisant dossier des barils de poubelles posées avec le drapeau haïtien que l’on voyait déjà en cette rencontre-là. Une marque, une odeur de scandales à Miami avec le drapeau haïtien sous les écritures d’ordures…

Autre aveu, Donald Trump  le Yankee n’avait pas eu de bourse, mais une méthode à exécuter: salir la scène, faire fuir les autres, rester le seul.

Ce n’est donc pas sans raison que l’on verra la glose de Baron Black pour se faire pardonner des forfaits par le grand pardon présidentiel.

La grosse erreur venait donc de la presse américaine, surtout new-yorkaise qui n’a su voir venir Baron Black.

Donald Trump est arrivé par ses essais trompeurs, à évincer Jeb Bush aux primaires. Il a fait de New York le chef-lieu de DC, en gardant mar-a-lago en réserve, devenu depuis la tanière du loup.

La série Trumping the world à Haïti-Observateur, annonçait la catastrophique avenue qu’allait prendre tant New York que l’Amérique post B Obama, incluant J Biden. La sénilité en prime du butler.

Oui, Hillary depuis Chappaqua aurait causé plus de tort, même selon Gary J Byrne en ‘Crisis of character’ publié.

La grande presse américaine dont sa fable new-yorkaise en partie, fait partie de la problématique qui guida Donald Trump à Washington. Et, depuis l’homme n’avait plus rien à se prouver, car s’il n’avait pas le génie des milliards en centaines des autres entrepreneurs habiles, il a à sa faveur, la protection présidentielle comme institution qui fait défaut aux autres. Le scandale en sus, et New York paye le prix fort, perdant le quart en sommeil dans cette ville qui ne dormait jamais. Une fois de plus, la vanité de la presse locale fait tomber New York malgré les avis sur le 09/11.

L’Amérique est ici en guerre contre elle-même, mûre pour son implosion, en accusant à terme la Russie. Elle a cette  guerre lasse contre Donald J Trump qui la menace de la même sous une autre forme d’implosion, elle qui a pourtant attaqué la présidence qui lui aurait fait découvrir ses faiblesses pour les corriger.

Elle a perdu le quart de NYC

Revenons à l’article cité: pourquoi Conrad Black rejoint-il le courrier de Seth Lipsky pour soutenir Trump ?

Entre (). Notre-Dame des offenses pleure de bonne conscience quand on oublie les larmes de ses moult victimes importées de la construction de cathédrales pour s’affirmer.fr, fermons ().

C Black écrit-il aujourd’hui en revanche contre l’intérêt américain, pour le Sun de Seth ? .

‘Je ne suis le premier ni le seul à se poser la question bien qu’a posteriori, car Paul McLeary de Columbia Journalism Review le fit bien avant, soit le 18/07/2007, avec en titre: Conrad Black’s Apologist at the Sun4. Tr: l’ode de Lipsky à un ami et bailleur de fonds. Je dis bravo !’

Il faut dès lors enlever les lunettes du lessivage interne pour le voir quand on est journaliste déchu par le malséant. Ce qui a amené l’entrepreneur en prison, je n’étais ni gardien ni juge.

Mauvaise posture pour se faire pardonner, car, il y a trop de monde de l’entourage immédiat dans cette affaire qui a avoué à moins d’être deux fois menteurs pour protéger Donald J Trump. De quoi alors la juge est-elle coupable ? J’ai bien observé Trump depuis 1982, avant sa victoire…

Tout ceci de NYC devient le mal de l’Amérique et de ses ouailles qui se prétendent…!

ID Canada / ISSN 2563-818X (En ligne) – ISSN 2563-8181 (Imprimé)