L’ÎLE QUI S’ENFONCE OU L’EAU QUI MONTE
- par Editor
- Manhattan est-elle condamnée, mais par qui?
Rassurez-vous, il était une fois…, etc., c’est l’histoire contée de la culture, ce n’est pas dans le réel. Diplomatie, oui, il y a des limites à ne pas franchir, les prévisions imputent ceux qui les produisent. En outre, il nous revient de commenter, d’opiner d’apprécier. Critiquons, il ne faut surtout pas céder à la panique collective, elle est nocive. Il faut planifier développer changer…, etc. Ce n’est pas là une opinion experte néanmoins, si l’on se rapporte aux propos du président des Maldives, de passage sur invitation pour la tenue d’un événement apparenté à l’environnement, à Genève vers 2009-2010. Ce pays vit si bas du niveau de la mer, des eaux en fait, que l’incapacité d’abord le rend plus que vulnérable. Ils sont du déluge, de l’eau non sans raison. Ensuite, les prévisions plus que réalistes, ils les vivent au quotidien là-bas, ainsi l’île de Manhattan peut encore s’inspirer de la Hollande, des sciences qui en résultent de l’instabilité sismique au Japon, de la turbulence dans les airs quand on vit ou construit en hauteur surélevée. Manhattan vit encore, est riche à acheter.
Le cinéma new yorkais ne propose pourtant pas son scénario apocalyptique malgré Roland Emmerich, comme Hollywood dont le PNB cinématographique est la panique les émotions survoltées la peur régulée faite dans l’interprétation américaine pour plaire au Pentagon, sur la présumée faille russe aujourd’hui, mais auparavant c’était l’URSS. Ainsi, l’Al-Gorisme vit de ce que le malheur n’apportera pas chez lui, mais chez les autres. Los Angeles dont la fissure connue pour San Francisco aussi vit au gré de folies les plus inusités malgré le mal promis. Il n’est donc pas de la parano, que de faire en simulation, même inversée, par exemple d’une inondation de l’île de Manhattan. Simulons sans déluge, sans réserve pour plaire à Hollywood!
Si l’eau monte, exemple, avec un essai nucléaire chinois dans les eaux internationales au moment de plaidoiries dans l’histoire de Trump persécuté politique puisqu’on ne l’a pas interné a contrario de tout quidam présumé coupable à ce niveau de gravité, c’est qu’il y a parti pris ou une raison inexpliquée. Dans les faits, une discrimination sous prétexte de secrets étatiques pervers dans un État de droit qui parle de loi appliquée. Alors, l’eau descendra!
Si le scénario n’est pas irréaliste d’une part, il ne saurait l’être équitable, d’autre part.
La simulation qui a effrayé Paris et l’Europe sous la présidence rotative de Macron président français, venait de Zelenski. Elle démontre la fragilité de l’Occidental ego qui concerne New York aussi. La même simulation est aussi valable pour tous et partout. Le mal de l’auto-destruction vibre et fait vibrer nos nerfs plus que les Maldives ou le Bénin.
Faut-il négocier avec la nature pour garder New York avec son patrimoine de Manhattan, c’est là le boulot des fées comme de ceux qui prient pour garantir le post apocalypse, non pas NYC.
Le facteur de risque d’une manipulation des eaux de la cité par le plombier, en infiltrant comme à l’époque de l’Anthrax, des produits sous haute pression dans le circuit de distribution et provoquant par exemple la gastro pour au moins 72 heures chez le citoyen, c’est une probabilité plus que élevée de New York sous les eaux, suggérée de l’Al-Gorisme encore aigri de sa défaite électorale en l’an 2000 alors qu’il se voyait déjà président si facilement. Rappelons-nous des effets de négligences graves aux premiers temps de la Covid-19 aussi. Et la sanitation ?
Défier le temps comme les intempéries, construire des passerelles surélevées sur les immeubles dit: gratte-ciel.
C’est dans l’esprit de New York!
Nous nous sommes posé la question à savoir si l’eau monte tant que cela, pourquoi les tunnels profonds, les sous-sols des édifices mal calculés ne sont tout simplement pas inondés déjà!
Il y a les observations certes, mais le monde a subi des mutations, des catastrophes naturelles comme provoquées par des mains criminelles, la bombe à Nagasaki, on ne s’inquiète pas!
Nous avons consulté les archives de l’Observatoire du dies afin de considérer une vue du passé qui reflétait un intérêt pour New York, Manhattan inclus. Nous avons trouvé ‘Montréal New York, round trip so far’ qui du Canada proposait une visite au château du monde moderne, même s’il fallait revenir à Montréal. Il n’y aurait plus de ‘round trip so far’ pour Montréal ni d’ailleurs.
Manhattan nous laisse sceptiques dans cette affaire de couler ou d’inonder par un effet environnemental désastreux. D’où notre crédo du tourisme pour la paix.
S’il fallait sauver Manhattan pour son ‘Flatiron Building’ ce serait déjà une bonne raison pour une bonne action. En effet, chaque pays a ses FIB qui attirent l’œil de la caméra de tout amateur comme de professionnels.
ID Canada / ISSN 2563-818X (En ligne) – ISSN 2563-8181 (Imprimé)