ÉDITORIAL : le Québec Séparé du CANADA Justin Trudeau (PLC) Validera le VATICAN-POLITIQUE

ÉDITORIAL : LE QUÉBEC SÉPARÉ DU CANADA

  • JUSTIN TRUDEAU (PLC) VALIDERA LE VATICAN-POLITIQUE

Si l’on part en ce mois de clôture du quart de l’année en cours qui s’inspire de la mi-finale du dernier quart de l’an 2024, la piste de la psychométrie relative de l’Amérique post-Biden [simulation psychométrique clinique en relief, référentiel, publiée en nov-déc 2024], afin de bien discerner, s’impose comme repère sur au moins six mois chez IDC, pour l’IH. L’intérêt de considération relative de la chronique citée en sa matière, soit, ce besoin d’évaluer via le test de quatre péchés sur les sept du cluster-capitaux, de Justin Trudeau en est la suite logique, même pour le PLC. La considération américaine a priori sur Trump, le mois de février, à savoir les sept travaux d’Hercule de Donald Trump sur les douze, américains, filtre aussi le Canada. Ici, déguerpir-Trudeau là, par le BLOC ou échouer en Conservateur, le NPD étant incertain ! 

Les quatre péchés C, sur les sept, de Justin Trudeau

L’Orgueil (l’héritage du père au fils, et de Jean Chrétien qui le soumet aux BRICS)

La Colère (tardive et sans effet contre un allié des enfers de Guantanamo)

L’Avarice (du per diem chez Trump, en novembre 2024 : Justifier ou rembourser)

L’Envie (se croyait Donald Trump pour parler mieux que lui, à l’électeur américain) 

  • La Paresse (instituant un cannabis de plaisance pour tromper la société, l’économie, le Canada récolte l’addiction partout, au point de tester l’employé quand il protège le politicien par une période de décompression).
  • La gourmandise (symbole de trahison quand des É.-U., d’Amérique, Trudeau attaque les relations diplomatiques de New Delhi (croyant dompter les juments de Diomède pour l’Amérique en départage avec la Russie et la Chine millénariste). Protéger le taureau de Crète appartenant au roi Minos (Groenland) visé de Trump.
  • La Luxure (aveuglé, croyant récupérer la ceinture d’Hippolyte, reine des Amazones (Ukraine) pour le Yankee, il fait face à Donald Trump avec une plus grosse formule du luxe : prendre le Canada frénétique aussi. Calcul immoral provincial sur Donald Trump, pour qui, nettoyer les écuries d’Augias (Metoo) ? C’est pour lui : ramener les pommes d’or des Hespérides. MAGA, par voler les bœufs de Géryon, ramener Cerbère, le chien à trois têtes, des enfers (Antifa, Houthis, Hezbollah), par Jérusalem. 

BRICS : l’orgueil tombé du Justin (PLC). Car, ayant péché contre la motion prescrite du Donald J. Trump président américain en 2025, le Canada devient allié stratégique aux BRICS par la Chine (énergétique, d’où la menace de coupure stratégique de Doug Ford l’ambitieux pm qui se croit celui du Canada). Le Canada se fait de là aussi, l’allié de fait du Venezuela [qu’il a décrié en faveur de Donald Trump l’excentrique démuni auparavant, tandis que nous avons publié l’ère post Pinochet de Trump veut imposer Guaido-l’idiot à Caracas], contre N. Maduro. et de là avec la Russie [contr’allié naturel de metoo canadien] aussi. Aux portes du mur de l’ALENA porphyrique de Brian qui piège le Justin Trudeau démissionnaire. Donc, NOARD ne tiendra plus pour Donald Trump qui dans ce jeu qui était refusé au Canada depuis l’Alberta d’Ed Steelmach, vers 2009, en rapport avec la CP (China Petroleum) depuis l’ère Obama. Même si le mur au Sud de Donald Trump démontre la pensée de limite géographique qui délimite la pensée du président des 2/3 des anges, le mur au Nord est encore imaginaire. Signe des temps ! 

Colère tardive du Canada-CORE, sans effet contre l’allié des enfers de Guantanamo

La lecture d’un vrai diplomate étranger aux É.-U., et même celui du Canada, serait que la seule option de Donald Trump reste carrément une nouvelle forme de pression accrue sur Justin avant Doug Ford en visite aussi, imbu de la faiblesse de l’un et de l’autre. Car, échec au roi par la tour nord, il doit rentrer en territoire canadien pour casser l’élan chinois, d’une part, étouffer la complainte locale chez lui en même temps. Contrôler, une fois pour toutes, le littoral du Pacifique et l’Atlantique, en touchant l’Arctique par ses eaux territoriales. Ainsi donc, un immense territoire qu’aucun américain (même adversaire) ne se refuserait, si l’on parle de la vraie histoire américaine née de Plymouth-Mayflower-Plymouth. Négocier avec Beijing par le pétrole albertain entre les mains. Et, le Brésil des BRICS n’attend Ottawa que là, avec Lula contre Bolsonaro, vs Ottawa.

Justin démissionnaire, ne possède ni mandat ni temporalité sur la localité désormais réduite et mise en échec par défaut de calculs pour un vieux théâtre démodé divorcé agonisant, dans tous les sens du terme, sans luxe.

Relions la luxure via la paix la sécurité qu’il admire en Russie orthodoxe, la constitution déiste des É.-U., saxons lui vaut sitôt ce fait pour l’acquitter de fautes connues aux yeux tenaces qui exigent tant de son joug. 

Ce n’est pas une position d’éditoriale politique ni l’inversé composé, c’est une lecture diplomatique que tout ambassadeur américain ferait au président des É.-U., sur le Canada, dans son état actuel et réel. C’est la lecture diplomatique rapportée chinoise comme russe aussi, afin de mieux se positionner aux éventualités pour se préparer à l’affrontement réel, peu importe sa nature, fut-elle commerciale, industrielle ou martiale. Et, mieux dans les RI, que tout diplomate d’un pays dictatorial en quête de faiblesse cachée ou avérée, pour un positionnement favorable en face de l’un ou de l’autre, dans ce nouveau monde en définition inattendue.

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ID Canada / ISSN 2563-818X (En ligne) – ISSN 2563-8181 (Imprimé)