
Les UN N@tions Unies Peuvent-elles DIRE OUI AU QUÉBEC État-membre.
- SOUVERAINETÉ: EFFET BOOMERANG, LE CANADA VISÉ À L’ONU PAR LA MOSCOU-DIPLO
LE QUÉBEC Un État Souverain onusien au nez de [CARNEY] qui sépare déjà OTTAWA-QUÉBEC AU VATICAN[A]MÉRICAIN DES GRANDS DÉFIS, les Nations Unies peuvent-elles refuser Sans se risquer elles-mêmes ?
Après le siège de Donald J. Trump qui arrive à stigmatiser le Nord, l’effet des élections fédérales, dans la foulée de la démission de l’ancien Premier ministre du Canada, a établi sans détour que les partis politiques impliqués ne se valent pas plus qu’avant sur la pesette de tous bords. Nul leader n’a émergé pour aller rivaliser ou négocier à Washington. Les ambitions sont figées, les prétendants restent sidérés aux abords de leurs vaisseaux amiraux, à la base du go sans butin.
Qui viendra donc se plaindre de notre interrogation !
L’État est faible, si faible qu’il a fallu se répéter dans un énième exercice électoral où les autres n’ont pas su rassurer quand la méfiance du vote l’a emporté encore sur les Libéraux fédéraux (PLC) pris dans un Canada qui a peur d’être grand pour ne pas s’affronter mentalement dans une lutte qui est finalement arrivée par défaut, avec Donald J. Trump habité d’une ambition personnelle qui a trouvé son seul adversaire en la personne d’un autre égo prudhommesque. Elon Musk, en l’occurrence.
Après ces élections fédérales récentes, personne ne veut se risquer à faire tomber le gouvernement, a-t-on dit mort-né alors. Sous prétexte qu’il y aurait une guerre avec Trump, là où il faudrait appliquer l’article adapté de la Constitution.
Un faux débat d’ailleurs, le Québec fait plus que bande à part, il négocie par la faiblesse d’en face pour récolter sans perte, avec le Bloc Québécois devenu le poids négligeable à Ottawa qui n’en demande pas autant pour survivre sans les aléas référendaires des années de commandites.
L’État est alors faible, et si faible qu’on se le souhaite sans le dire pour autant, les méprises coûteraient bien moins chères dans la dite Grand’Amérique qu’avec la potentielle séparation du Québec. Et de ce fait, deux fois plus vulnérable par les deux capitales opposées.
La chute a été instruite de l’infortune diplomatique.
Moscou serait la première tranchée comme alliée des RI diplomatiques, tant pour le oui au Québec que pour le rempart d’un Canada qui l’a menacé. Que dire, que faire ou quoi faire de tous bords ? Le premier défi majeur aux abords.
DC, plus que les intérêts conjoncturels qui l’inspirent, ne peut non plus dire NON à Thomas Jefferson, sans secouer les tiques du terroir. Si le cas est validé pour Kiev avec de fausses garanties, ce n’est pas Ottawa qui le lui reprochera.
Paris ne se verra pas jouer la carte du refus global de Saint-Pierre-et-Miquelon pour s’ambitionner le Québec tandis qu’elle est partie annexée plus que l’Afrique éloignée, mais l’Outremer. Il faut donc voir tel matou, avec clé et phallus, ici !
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ID Canada / ISSN 2563-818X (En ligne) – ISSN 2563-8181 (Imprimé)