Polytechnique 150 ans – ISTEAH X ans Prof. Samuel Pierre, PhD, FCAG, ing.

Polytechnique 150 ans – ISTEAH X ans

  • Prof. Samuel Pierre, PhD, FCAG, ing.

La formule, quelle est-elle?

Si Samuel Pierre professeur scientifique arrive à aborder l’homme franc de la foi, non pas pour le convertir scientiste, il envoie déjà ses enfants bénis de, à l’université pour changer leur vie en chant: bénédictions de… l’ISTEAH, il aura admis la source de financement en implémentation. Par la foi pour les sciences pour l’ISTEAH, pour tout enfant. Simulation, de suite $5M, et aller jusqu’à doubler les capacités de l’ISTEAH dans la garantie immédiate de l’atterrissage pour utiliser un langage nouveau local, qui n’est pas à l’oral. Ce n’est pas une église avec antenne satellitaire de $10M qui vend la vie post apocalypse de la foi pour l’avant apocalypse. Il n’y a pas de mal à dire la vérité quand on ne fait pas de politique ni de prêchi-prêcha. En tout prédicateur il y a cette envie d’accueillir un scientifique en son assemblée pour faire la différence avec l’autre chapelle. Compatibilité, étudier en sciences est acte de foi!

Nous ne citons pas la valeur en douane, le pas-de-porte de Samuel Pierre prof où la valeur de R connue est égale à carrière salaire vie, est réel.

N’allez pas croire que nous tentons de redéfinir par l’indéfini le religieux, d’ailleurs, l’UDM offre le programme en sciences des religions. En outre, l’esprit pragmatique n’a pas besoin d’accélérant à trinôme religieux pour s’édifier, c’est faire du prosélytisme de leur part que de s’attaquer aux sciences, quand dans le religo c’est l’esprit de rivalité qui mène.

Rivetons la formule, si tout Haïtien qui soutient à l’∞ le migrant risqué, pour choir au Canada via ch. Roxham après des décennies de support financier infertile, et paye l’offrande Salomon, investissait en l’ISTEAH, Haïti ferait plus que Kigali.

Contexte: Quand est-ce que je pourrais venir te voir pour une conversation de trente minutes, sujet:

  • la prise de contrôle du secrétariat de l’IUT en perspective par le Canada;
  • les portes ouvertes et les risques d’en découvrir des interdites dans ce monde numérique indomptable pour au moins 40 ans;
  • notion de Géographie cybernétique, jusqu’où l’infini numérique ou faut-il forger de nouveaux axiomes pour simplifier?
  • Évidemment, l’ISTEAH dans tout ça, quel avenir?

Ne vous attendez pas au discours-fleuve du politicien ni prêchi-prêcha du gestionnaire de l’intemporel dans ce monde dit spirituel dans le temporel, le professeur a peu parlé, il a montré des chiffres, une à deux simulations, des photos de réalisation de la genèse au fonctionnalisme d’une véritable préfecture du savoir de haut niveau, des projets connexes. La complémentarité associative en caution d’une affinité de générateurs de grandes cognitions engagées à ce titre, à travers le monde, au service d’Haïti, qui comme une grosse tête de 1804, s’est repliée en court esprit balafré partisan-opposant duvaliériste qui, n’arrive pas à faire bouger la tête en quête de plus de neurinomes létaux par les prosélytes politiques.

La curiosité à ce titre est phénoménale, la lutte contre le racisme réunit mieux cet être que le nationalisme qui détruit le patriotisme au pays de la 1e et de la 2e guerre de l’Indépendance, citées de A. A. Nemours (général).

Le professeur Samuel Pierre en est conscient, mais mise encore plus sur la confrérie du savoir engagée avec lui.

Le long escalier monte à pic en sortant du métro de l’Université, 3 colonnes d’escaliers, plus deux autres et encore, des courbes. Il faut être cardiovasculaire pour ne pas rebrousser chemin. Au 3e étage Lassonde, les couleurs sont. La couleur est vive. Nouvelle approche pour le milieu généralement pastel depuis les cathos et du refus global avec valeur unicolore. Deux panneaux l’indiquent, il est là, sa fenêtre une baie large vitrée ensoleillée, le feuillage vert. Souriant, Samuel Pierre est en formation à distance. On entame la conversation à la pose dans une atmosphère de courtoisie au lieu de planifier l’entrevue formelle.

Rentrons en conversation, et dans le vif des considérants. UIT (Union internationale des télécommunications),

Samuel Pierre, pragmatique, nous sort l’IETF (Internet Engineering Task Force) des Américains, mais il reconnaît aussi la valeur étatique globale de la notion subsidiaire de l’ONU.

La question est posée: le Canada restera-t-il subsidiaire de voisin immédiat, mimant  son développement comme la grande Nation. Puis, les portes sont-elles ouvertes avec risque dans ce monde cybernétique inconnu en dehors de notre simple infini.

En fait, l’ISTEAH nourrit de grandes ambitions coopératives internationales. Le patriotisme bien aiguisé aussi. L’humain dans tout cela est un impératif où le développement doit changer sa vie pour le meilleur. C’est aussi l’objet du génie humanitaire lancé par l’ISTEAH.

La formule consiste aussi à inviter le donateur désireux de voir son nom inscrit sur le socle de fierté de l’ISTEAH, partant d’un montant fondé, à venir lors de cérémonies appropriées au département de l’institution en fonction de son exposé à un public désiré. Une fierté partagée pour le, et par patriotisme! Il y a là un intérêt avéré.

Abordant le professeur Samuel Pierre au cocktail dinatoire (10 ans) de l’ISTEAH (150 ans) et de Polytechnique, nous avons tenté de lui formuler la question à savoir quoi dire pour attirer le franc donateur jusqu’à celui d’une importante firme ou d’une famille concernée afin d’attirer en valeur réelle des fonds pour financer la fortune notable de développement et de progrès national pour les Haïtiens, dans leur pays. Si la question est ouverte, le devoir de financer l’ISTEAH est sans délai… Il  s’assied, photo dos au soleil.

Série émancipée en juin

ID Canada / ISSN 2563-818X (En ligne) – ISSN 2563-8181 (Imprimé)