La trilogie du MOB de Jean Charest MASQUE OMBRE BANNIÈRE

DIPLOMATIE INTERNATIONALE & SOCIÉTÉ par Dan Albertini

  • La trilogie du MOB de Jean Charest
  • MASQUE OMBRE BANNIÈRE
  • Entre (), le 20 mars 2020, deux ministères du Québec signent la note conjointe sur la santé les services sociaux dans le cadre de la COVID, de l’isolement. Forme d’équité élaborée suggérée, la femme, seules les femmes sont victimes de violence conjugale mâle. Nulle femme ne violente ni d’homme violenté expose le contexte. Au Canada pourtant, il y a le mariage pour tous de cette province, entre deux femmes. Illustré dans les livres d’enseignement de compétences du PDSB, il y a des situations. Entre deux mâles aussi. Qui est la victime, si ce n’est la discrimination gouvernementale orientée par induction, c’est le déni ? Fermons-les (). 

Dois-je relater Jean Charest 2022 après l’avoir signalé vainqueur en 2003, nouveauté ou ancienneté après tant de scandales ? Surtout, après la faillite du QC branché promis ? C’est ici Jean Charest lu par le masque de Jean à deux faces, libéral en bas-lieux conservateur en haut Lieu.

Jean Charest vu de son masque, doit-on l’aborder pour se l’expliquer : joute

Si je parle de promesse politique, exemple «un Québec branché», votre gouvernement avait, d’après Christophe Jost de Trace (Suisse), retenu ses services tout en lui dictant la résidence au Québec, condition sur la notion du contrat, pour la CSST d’abord. Le citoyen a découvert le vide en la matière après votre départ du pouvoir, que peut alors espérer le Canada qui a accès à cette immense richesse et ne sait encore sa valeur pour pouvoir occuper au minimum le 5e rang mondial de l’économie en transit. Pourquoi le PC vous croira apte à lui offrir d’abord ce gouvernement, puis cette croissante, quand la Chine l’a démontrée, l’Inde idem ?

En 2022, qui est l’homme du plan Macerola sur l’axe diplomatique du Québec ?

Conservateur transfuge libéral sur appel broussard, en quoi l’après Kim Campbell, et quel serait alors votre rapport avec le Québec où vous étiez premier ministre, afin de renforcer le Canada par cette voie ? On soutient l’homme avoir des acquis sur Kyoto.

Qui ignore la faillite onusienne des RI au point qu’un État tel le Canada calque le pas de l’ultra vires des É.-U., bypassant engagements onusiens acquis. Vous êtes d’après ce plan Macerola, après 2003, d’une diplomatie québécoise influente, qu’en serait-il pour le PC avec vous, si vous y accédiez à la chefferie, ensuite à la primature par voie d’élections générales, tandis que le PC vous avait vu perdre face à l’inexpérimentée qu’était Kim Campbell, quelle différence aujourd’hui ? Toujours au dialogue simulé.

En quoi admettre la nouvelle diplomatie canadienne d’abord si vous prenez la régie du PC avec une influence d’anciens contacts politiques locaux et voisins, ensuite si le gouvernement Trudeau perdait son chef, à la merci de séismes internes vous facilitant la tâche, faire noyer le gouvernement de transit ? Simulation issue de B Landry 2003.

Parlons-en affaires économie finances dans un terme de croissance réelle au moment où le voisin immédiat de la ZLÉA se propose de vendre du gaz de schiste à l’Europe. Le Québec se prétend tant environnementaliste, peut-être autant ou plus qu’Al Gore le démocrate. Constat : le Canada s’est vu virer par le même J Biden dans sa décision sur la révocation d’une partie de Keystone, et aussi critique sur le sable bitumineux de l’Alberta. Je cite votre voix numérique : «Il sait comment mener de grands projets à bien, à l’instar du projet d’oléoduc qu’il a réussi à mettre en place». Quels sont vos filons pour profiter de ce nouvel espace favorable, compléter rapidement, combler les retards, voir le Canada en plus grande puissance énergétique. Je prends à témoin le livre de Paul Michael-Wihbey : The rise of the new oil order, paru en 2009. Qu’en dites-vous ? Ed Stelmach avait fait le pari par China Petroleum en ce temps-là.

En litige avec Paris le bail Saint-Pierre-et-Miquelon: statu quo, pétulante dynamique ?

Nouvelle coopération avec l’Afrique, spécifiquement là où Paris perd le pied au profit de nouvelles émergences, que serait votre Canada coopérant: affrontement, abandon?

Est-ce mieux le considérer sur la route du cinéma, car il n’y a que ce scénario ?

Le Rapporteur spécial de l’ONU sur la question du raciste systémique au Canada, au Québec que vous connaissez tant pour avoir été le premier ministre assez longtemps. Je vous ramène donc à votre rencontre à la permanence du PLQ, avec une collectivité noire libérale dont P Gilles, J Morency, vous vous étonniez du racisme encore présent et vouliez y lutter contre, si élu. Y a-t-il du nouveau dans votre approche quand Justin Trudeau a poussé assez loin le dossier par rapport aux torts subis par les autochtones du Canada dans les affaires d’orphelinats, de déplacements acculturés forcés d’enfants de femmes des Premières Nations à tel point de découvrir des cimetières jadis cachés par l’église même, par le politique ? Qu’en est-il des Afros indigènes, car il y en avait ?

Dans le dossier connexe par rapport à Québec dans l’application de traités concernant le statut de protégé en vertu de la convention, dans le reste du Canada cela se passe en accéléré même. Au Québec à votre époque, paraît-il aussi. Comment voyez-vous cette asymétrie appliquée par le gouvernement Legault dans le cadre de RI canadiennes sur le sujet, n’accueillant pas la famille de réfugiés admis au Canada (3) ans après tandis qu’il dit favoriser le citoyen européen et francophone avec l’application de quota, il ne respecte pas l’accueil, le regroupement familial conséquent ? Charest est-il là, Irish ?

De l’Observatoire du dies, voit-on son ombre cachée ou son profil projeté ?

Question impérative tardive, vous voulez revenir en politique fédérale après avoir été ministre de Brian Mulroney, il y a de cela plus de trente ans. Ensuite, une défaite à la chefferie. Récupéré par le PLQ, de là premier ministre qui évinça B Landry. Quel défi maintenant ou pour quelle mission ? Mieux cacher le passé, garantir l’avenir…

Quel est le carnet de la presse locale sur le sujet Charest à Ottawa : «Le boulet chinois de Charest» Journal de Québec ; «Charest muet sur ses derniers mandats» Journal de Montréal ; «Charest n’a pas mis fin aux pluies acides» QUB ; «Chefferie conservative : la longue expérience et les quelques casseroles de Jean Charest» Le Devoir ; «Jean Charest de passage à Sherbrooke samedi» La Tribune. Laurence Tôth restera-t-elle le nom que l’on citera aussi pour les passifs démêlés de Jean de-l’Estrie, sa vague affairée sur Twitter Facebook Linkedin, porte à croire à la communication à sens unique. Fait acquis, Jean Charest se vend les adhésions même à partir du portail de communication numérique. Cela hèle-t-il la méthode l’homme le produit l’erreur ? Effet inverse s’il perd, est-il candidat député, il y a une tache indélébile : démission (1990) pour ingérence (affaire juge Macerola). Vase communicant, mais poursuivons.

En fait, votre plateforme numérique dit : «Jean Charest a répondu présent lorsque le Canada avait besoin d’un leader de la cause fédéraliste lors du dernier référendum et il a réussi à mener les forces fédéralistes vers la victoire». Étiez-vous alors de l’éclat des commandites, vous aviez des acquis certes, mais ces scandales majeurs aussi. De ce fait, pourquoi vous faire confiance après tant de scandales ? 

Est-ce mieux le considérer sur la route du cinéma, et qu’il n’a que ce scénario ?

Les prix explosent : logement, immobilier, panier d’épicerie, transport, études, taxes, automobiles. Quelle réforme pour garantir le citoyen, la justice, la paix ? Silence !

Enfin, vous dites par votre plateforme numérique, je cite : «Le temps de la politique amateur est révolu. Notre démocratie est en jeu...». Alors, si O’toole est cet amateur, pourquoi lui avoir fait confiance avant, deux fois aux élections générales, ensuite, qui a mis la démocratie en jeu : Justin Trudeau, Legault, Biden…, qui ?

La question se posera évidemment pour le lecteur curieux insatisfait, car du haut de l’Observatoire du dies, je projette la forme vue de celui d’aujourd’hui à travers les jumelles de l’avenir. C’est pour l’œil non avisé, plus une forme d’encodage, sorte de vue embrumée puisqu’il est habitué soit aux infos toxiques partisanes ou d’État, soit à l’analyse qui réclame une grille parfois dépassée. Donc, le produit de consommation limité pour nourrir le flux d’un système dit capitaliste pour l’identification, mais en réalité c’est du romantisme financier pour nourrir ceux, qui autrefois de l’esclavagiste économique détiennent pouvoir patrimoine. Jean Charest doit proposer mieux, merci !


ID Canada / ISSN 2563-818X (En ligne) – ISSN 2563-8181 (Imprimé)