Bolivarisme: Maduro-en-Petro

Bolivarisme: Maduro-en-Petro

Il n’est plus de circonstance atténuante pour excuser les relations tumultueuses entre Bogota et Caracas pris sous l’influence inflationniste yankee. D’autant plus de Donald Trump. Pour au moins une durée conséquente au Bolivarisme. Si le Yankee se targue d’être intelligent en utilisant le génie des autres pour sa fortune, il est un fait probant, l’Amérique de la combine de la menace ne fonctionne plus. Elle s’attend à des jours sombres, raison pour laquelle elle s’empresse d’impressionner là où même le converti n’y croit plus. La campagne nouvelle des démocrates (DNC), réclamant la valeur de leur vote, fait face au minuscule maga de Donald Trump qui doit enfler les tarifs pour croire pouvoir s’en sortir. Bogota et Caracas seraient profondément détendus à savoir que le mal change de camp.

Loin d’un choix délibéré, mais le président américain, Donald Trump en l’occurrence, pousse toute Nation à s’arc-bouter pour mieux se lancer dans leur propre stratégie, là où il faudrait leur faire la guerre. Néanmoins, il n’y a plus de blé et il faut sabrer en tout, ce malgré toutes les requêtes et mesures judiciaires qui s’ensuivront sous peu.

Ce n’est pas un besoin d’IDC que d’abattre l’arbre, mais les racines sont coupées et se voient coupées encore en 2025, même si Vivek Ramazwamy croit que son ingénierie à la Pol Pot peut fonctionner en 2025 dans un pays qui fait la guerre au communisme réinventé de l’an Kissinger-Pinochet, dans le sud des Amériques, pour se croire géant.

Une occasion rêvée qui peut permettre au Bolivarisme de prendre de l’altitude une fois pour toutes dans le concert des Nations. Balancer les aléas de revers, renforcer une économie sans l’intermédiaire de la manufacture américaine yankee qui se croit le nombril du monde à genoux.

La manufacture est morte, la Chine en est la preuve. Il y a plus encore, la Russie ferait par litote pour croire en la bonté de Donald Trump qui a déjà failli dans son pays. Car, son véritable ennemi serait son vice-président, Vance, qui a tout intérêt à voir chuter le vieux vieillard qui traîne tout le monde dans la boue pour les pousser à s’enfuir afin d’être le seul, par défaut, à rester, comme il fait depuis 2016 même chez lui, avec les républicains (GOP).

Vance sait sûrement que si Donald Trump met à exécution son plan fabuleux, il ne verra pas l’après-Donald Trump sinon une nouvelle école Trump à la barre après changement. Il faut être fou pour croire en un miracle après toutes ces vertus perdues.

Les sénateurs américains, par définition, sont des ennemis du showbiz, de la classe extravagante de cowboys qui se croient politiciens. En fait, Donald Trump lui-même disait aimer les Haïtiens, ainsi qu’ils devaient comprendre qu’il est un politicien et fait de la politique…, à leurs dépens. Confirmé par Vance en campagne aussi, pour gagner. Le sénateur, les marines…, etc., c’est du vieux jeu désormais si l’on compare la percée de Musk, Ramazwamy, Patel…, etc. Et, ce n’est pas la fin de cette dite méritocratie sans preuve politique dans un pays qui possède son levier d’élus du peuple au Congrès de la République de T Jefferson dans sa déclaration où le simple citoyen est lourdement armé pour se muter, s’insurger, se défendre…, passons.

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ID Canada / ISSN 2563-818X (En ligne) – ISSN 2563-8181 (Imprimé)